Lentement, le projet de mise sur pied de la force militaire conjointe du G5 Sahel prend corps. Ce samedi 9 septembre 2017, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta se rend à Mopti, à 600 km au nord de Bamako, pour l’inauguration de son poste de commandement opérationnel. Cette force sera composée de militaires de cinq pays de la sous-région : Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad. Objectif : la lutte contre le terrorisme.
Le cœur de la force conjointe du G5 Sahel
va désormais battre quelque peu, dans la localité de Sévaré, au centre
du Mali. Cette localité mène vers le grand nord du Mali. Sur place, le
chef de l’Etat malien doit commencer sa visite par le poste central de
la force militaire.
Ibrahim Boubacar Keïta doit notamment s’entretenir avec le général malien Didier Dacko, commandant de la force conjointe G5. Son adjoint, un officier supérieur de nationalité burkinabè, ainsi que le chef d’état-major du G5, de nationalité nigérienne, sont également sur place.
5 000 militaires
Situé dans une zone militaire à Sévaré, ce QG du G5 sera en contact permanent avec des armées des cinq pays membres. Mali, Mauritanie, Niger, Burkina Faso et Tchad vont mobiliser ensemble quelque 5 000 militaires au total pour lutter contre les terroristes dans l’espace qu’ils partagent au Sahel.
Les premiers bataillons de la force seront disponibles en principe fin août 2017. En termes de mode d’action, dans un premier temps, il s’agira de mener des opérations contre les terroristes aux différentes frontières. Florence Parly, ministre française des Armées, parle d’une opération en octobre.
Ibrahim Boubacar Keïta doit notamment s’entretenir avec le général malien Didier Dacko, commandant de la force conjointe G5. Son adjoint, un officier supérieur de nationalité burkinabè, ainsi que le chef d’état-major du G5, de nationalité nigérienne, sont également sur place.
5 000 militaires
Situé dans une zone militaire à Sévaré, ce QG du G5 sera en contact permanent avec des armées des cinq pays membres. Mali, Mauritanie, Niger, Burkina Faso et Tchad vont mobiliser ensemble quelque 5 000 militaires au total pour lutter contre les terroristes dans l’espace qu’ils partagent au Sahel.
Les premiers bataillons de la force seront disponibles en principe fin août 2017. En termes de mode d’action, dans un premier temps, il s’agira de mener des opérations contre les terroristes aux différentes frontières. Florence Parly, ministre française des Armées, parle d’une opération en octobre.
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