« Siamo tutti antifascisti », « alerta alerta antifascista »
Montpellier - dai maoisti francesi
Violences
miliciennes, autodéfense prolétarienne! Construisons les outils pour
riposter aux attaques fascistes comme celle subie par les étudiant.e.s
de Montpellier hier soir!
Le lycée autogéré de Paris à nouveau attaqué par des individus d’extrême-droite
Ce vendredi
16 mars, vers 17h, le lycée autogéré de Paris a été attaqué par une
dizaine d’individus se réclamant du GUD (Groupe Union Défense).
Ces individus, dont certains étaient armés de barres de fer, sont rentrés dans l’établissement ;
ils ont alors effectué des saluts nazis, proféré des insultes
(homophobes et autres) à l’encontre des élèves et des professeurs, jeté
des projectiles cassant une fenêtre et agressant deux élèves qui seront
légèrement blessées. L’établissement a porté plainte et l’institution
judiciaire est saisie.
Les insultes et les slogans criés ne laissent aucun doute quant à la volonté de ces individus de s’en prendre au Lycée autogéré pour ce qu’il représente : un espace de liberté et d’émancipation dans le vivre ensemble. Cette attaque s’inscrit dans un long historique
Les membres du lycée autogéré de Paris
dai compagni maoisti francesi a Montpellier
Hier soir, après la manifestation du 22 mars, des étudiant.e.s des différentes universités de Montpellier ont organisé une assemblée générale dans l'amphiteatre A de la faculté de droit et de science politique. Celle-ci s'est déroulé sans problèmes, malgré la présence de quelques éléments
fascistes du groupuscules "génération identitaire" dans les parages. L'AG a voté l'occupation pacifique de l'amphiteatre jusqu'à la prochaine AG, le vendredi matin.
En pleine nuit, une dizaine de personnes cagoulées et armées (lattes, tasers, etc) ont déboulé dans l'amphiteatre, accompagnés par du personnel de sécurité et par le doyen de l'université, d'après différentes témoignages de camarades présent.e.s sur place au cours des événements. Les individus cagoulés et armés ont sauvagement agressé les personnes présentes, toutes pourtant pacifiques et certaines très jeunes. Quatre personnes ont dû être admises à l’hôpital en urgence (crâne ouvert, etc). Si il est trop tôt pour tirer des conclusions, cette lâche agression semble couverte, voire orchestrée, en haut lieu. La police n'est bien sûr pas intervenue, à part pour escorter les agresseurs en fuite...
Face aux agresseurs fascistes, face aux briseurs de grèves, face aux choix de la police, une seule solution: l'organisation de l'autodéfense populaire, pour garantir la sécurité et le bon déroulement de nos mouvements.
Une milice cagoulée et armée tabasse des étudiants en lutte sous le regard complaisant du doyen de la fac de droit de Montpellier
Montpellier Poing Info, le 23 mars 2018 – Scène surréaliste la nuit
dernière dans la faculté de droit et de science politique de
Montpellier. La cinquantaine de lycéens et d’étudiants qui occupaient
l’amphi A, dans le cadre de la mobilisation contre la loi Vidal, se sont
fait tazer et taper à coups de bâtons par une dizaine d’hommes
cagoulés. Au moins trois personnes seraient partis à l’hôpital dans la
foulée. Tous les témoignages désignent le doyen de la faculté de droit
et de science politique de Montpellier, Philippe Pétel, comme le
commanditaire de l’attaque. fascistes à notre encontre : des élèves et des professeurs de notre
établissement avaient déjà été violemment passés à tabac à plusieurs
reprises les dernières années et, plus récemment, le 8 décembre 2017 des
militants d’extrême-droite avaient tenté de s’introduire dans notre
établissement.
Ces agressions, aussi imbéciles que violentes, ne font que renforcer nos valeurs humaines, pédagogiques et politiques.
Les membres du lycée autogéré de Paris
Les insultes et les slogans criés ne laissent aucun doute quant à la volonté de ces individus de s’en prendre au Lycée autogéré pour ce qu’il représente : un espace de liberté et d’émancipation dans le vivre ensemble. Cette attaque s’inscrit dans un long historique
Les membres du lycée autogéré de Paris
dai compagni maoisti francesi a Montpellier
Hier soir, après la manifestation du 22 mars, des étudiant.e.s des différentes universités de Montpellier ont organisé une assemblée générale dans l'amphiteatre A de la faculté de droit et de science politique. Celle-ci s'est déroulé sans problèmes, malgré la présence de quelques éléments
fascistes du groupuscules "génération identitaire" dans les parages. L'AG a voté l'occupation pacifique de l'amphiteatre jusqu'à la prochaine AG, le vendredi matin.
En pleine nuit, une dizaine de personnes cagoulées et armées (lattes, tasers, etc) ont déboulé dans l'amphiteatre, accompagnés par du personnel de sécurité et par le doyen de l'université, d'après différentes témoignages de camarades présent.e.s sur place au cours des événements. Les individus cagoulés et armés ont sauvagement agressé les personnes présentes, toutes pourtant pacifiques et certaines très jeunes. Quatre personnes ont dû être admises à l’hôpital en urgence (crâne ouvert, etc). Si il est trop tôt pour tirer des conclusions, cette lâche agression semble couverte, voire orchestrée, en haut lieu. La police n'est bien sûr pas intervenue, à part pour escorter les agresseurs en fuite...
Face aux agresseurs fascistes, face aux briseurs de grèves, face aux choix de la police, une seule solution: l'organisation de l'autodéfense populaire, pour garantir la sécurité et le bon déroulement de nos mouvements.
Une milice cagoulée et armée tabasse des étudiants en lutte sous le regard complaisant du doyen de la fac de droit de Montpellier
Ces agressions, aussi imbéciles que violentes, ne font que renforcer nos valeurs humaines, pédagogiques et politiques.
Les membres du lycée autogéré de Paris
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