l'imperialisme francais et la Polinesie


Macron : une visite en Polynésie qui n’est pas anodine

Macron : une visite en Polynésie qui n’est pas anodine

Vous avez peut-être vus passer une vidéo ces derniers jours. Elle représente Macron en Polynésie, recouvert de colliers de fleurs de la tête aux pieds. Bien qu’elle soit en réalité un montage, cette vidéo est tirée d’un voyage bien réel effectué par le chef de l’État français à la fin du mois de Juillet. C’était la première fois que Macron se rendait dans les archipels qui composent la Polynésie (Porinetia en tahitien, une des cinq langues reconnues mais pas officielle), 5 ans après la visite de son prédécesseur, Hollande.

Mais ce n’était pas du tout pour célébrer que Macron s’était déplacé. Situées dans l’Océan Pacifique, les 118 îles de la Polynésie, colonisées au XIXème siècle par la France dans son Empire Colonial, sont d’une importance capitale pour les plans français dans la région. Il y a 60 ans déjà, le pays avait été très utile stratégiquement pour l’impérialisme français, puisque la France avait effectué près de 200 essais nucléaires entre les années 60 et les années 90. Ces explosions avaient bien entendu entraîné des conséquences sanitaires pour les populations des îles. Mais Macron n’était pas là pour présenter des excuses : à peine a-t-il reconnu qu’il existait une « dette » française. Comme Chirac ou Hollande avant lui, Macron cherche simplement à faire les beaux parleurs, et ne promet rien de concret par rapport à ce dossier.

Mais alors, pourquoi Macron a-t-il donc effectué ce voyage, qu’il avait conservé de son agenda de 2020? Plusieurs raisons sont à trouver dans les visites et discours effectués sur place par le chef de l’État bourgeois.

Premièrement, par rapport à la situation locale, Macron a insisté sur « l’engagement » de la France envers la Polynésie. Cela touchait particulièrement au réchauffement climatique et de la montée des eaux qui menacent les archipels. La « protection » des îles est une donnée importante dans la relation que la France entretient avec cette colonie : depuis les années 40, où le Rassemblement des populations tahitiennes a été formé, un courant indépendantiste et nationaliste a émergé en Polynésie. Aujourd’hui, même les anti-indépendantistes à la droite de l’échiquier politique revendiquent de « l’autonomie » vis à vis de la France. Alors que 78 % des habitants environ sont Polynésiens et seulement 12 % Européens, il va sans dire que Macron a tout intérêt à présenter la France comme la sauveuse de la Polynésie face aux catastrophes climatiques, s’il veut garder le contrôle sur les archipels.

Deuxièmement, et cela explique pourquoi Macron tient tant à cette visite en Polynésie : ces dizaines d’îles sont situées dans une zone très stratégique pour les puissances impérialistes aujourd’hui, et pour l’impérialisme français en particulier. Pour commencer, la Polynésie représente environ 50 % de la Zone Économique Exclusive (ZEE) française, c’est-à-dire l’immense zone réservée à la France dans les eaux qui entourent les terres. Grâce à cela, la France possède la plus grande ZEE du monde. Cette zone polynésienne contient de nombreux minéraux à extraire, comme le cobalt, le phosphate ou même des potentielles terres rares, ces métaux si recherchés. Mais ce n’est pas tout.

Macron a parlé, dans son discours sur place, d’une « zone où le monde se fait ». En effet, la Polynésie est située dans l’Océan Pacifique, terrain d’une partie importante de la lutte entre grandes puissances impérialistes, particulièrement les États-Unis, la Chine, le Japon et bien évidemment, la France. Macron n’a pas hésité à utiliser ces concurrents impérialistes comme des menaces pour le peuple : « Dans les temps qui s’ouvrent, malheur aux petits, malheur aux isolés. Malheur à celles et ceux qui vont subir les influences et les incursions de puissances hégémoniques ». Il exprime bien là sa volonté de mettre durablement la Polynésie sous la coupe de la France, au service de la « stratégie indo-pacifique » de l’impérialisme français.

Les masses de Polynésie n’ont donc pas simplement eu droit à une visite de courtoisie de la part du premier représentant de l’État français. Pour Macron et l’impérialisme français, ce voyage avait des objectifs clairs : par la peur du dérèglement climatique et des tensions impérialistes dans le Pacifique, il s’agit de conserver et d’approfondir la mainmise absolue et sans partage de la France sur les 118 îles de Polynésie. Macron a d’ailleurs bien résumé le seul programme que l’impérialisme français puisse proposer aux masses de Polynésie : « Soyez fiers […] d’être polynésiens, d’être français. ». Face aux plans de guerre des puissances impérialistes et aux cyclones et autres problèmes environnementaux, la fierté française ne pèsera pas bien lourd pour les masses populaires.

 

COLOMBIA: ¡Libertad para el camarada Gonzalo, dirigente del proletariado mundial! (Revolución Obrera)

¡Libertad para el camarada Gonzalo, dirigente del proletariado mundial! 2

 

A sus 86 años, Abimael Guzmán Reynoso, nuestro querido camarada Gonzalo, se encuentra en delicado estado de salud. Las últimas noticias conocidas a través de los medios de comunicación reportan que fue trasladado de urgencia a un hospital cercano a la cárcel de máxima seguridad de la Base Naval del Callao, donde permanece privado de la libertad desde hace 29 años, confinado en total aislamiento, y condenado a cadena perpetua por el Estado reaccionario peruano. Según un medio de comunicación de ese país: «La fuente señaló que un cáncer de piel que se ha generalizado habría minado la salud»; según la misma fuente, el abogado de Gonzalo, Sebastián Chávez, afirmó que: «Guzmán tiene psoriasis, y se le agrava por la edad y por el frío en esta época del año».

La historia de las últimas décadas, sobre todo del siglo XX, tiene para el camarada Gonzalo un lugar de privilegio, y es sin lugar a dudas uno de los más destacados dirigentes del proletariado internacional y de la lucha de los pueblos del mundo por liberar a la humanidad del horror que representa el capitalismo imperialista. Desde 1980, el partido Comunista del Perú, conocido por muchos como “Sendero Luminoso” lideró el desarrollo de una grandiosa Guerra Popular que puso a tambalear por más de 10 años el raído y podrido Estado peruano, una guerra que conquistó el cariño y vinculación de decenas de miles de combatientes obreros, campesinos e intelectuales quienes encontraron en la Guerra Popular y en la dirección del Partido Comunista del Perú, el sendero luminoso que aclaró el camino hacia la derrota de los reaccionarios y el poder para los obreros y campesinos.

MKP: Yoldaş Gonzalo‘nun Yaşamını Savunmak İçin Alanlara!

sitemize posta yoluyla ulaşan Başkan Gonzalo’nun sağlığı ile ilgili MKP MK-SB imzalı bir bildiriyi devrimci sorumluluğumuz gereği okurlarımızla paylaşıyoruz. Devrimci Demokrasi

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Proleter Dünya Devriminin Önderlerinden Yoldaş Gonzalo‘nun Yaşamını Savunmak İçin Alanlara!
Hakkında önce idam sonra ağırlaştırılmış müebbet hapis cezası tekrarlanan PKP‘nin önderi ve UKH‘ nin önderlerinden Başkan Gonzalonun şu anda ağırlaşan sağlık durumu nedeniyle dün Hastaneye kaldırıldığı kesinleşti.
Kendisine karşı Peru Devletinin ağır izolasyon uygulayarak tüm sivil hakları ihlal edilen ve ciddi sağlık sorunları için gerekli tedavi koşullarından uzak ve son derece hastalığı ilerletecek bir ortamda tutularak ‘doğal‘ infaz peşinde koşan aciz faşist Peru Devleti, Başkan Gonzalo… Abimael Guzman Reynoso‘nun yaşamını yitirmesi halinde tüm kurumları ile bundan sorumludur.
Uluslararası Proletaryanın güçleri ve emekçi halklar bu kararlı komünizm savaşçısı için kamuoyu baskısı sağlayacak tüm araçlarla ve özellikle alanlarda bu göz göre göre katliamı protesto için harekete

Peru - Perú: Las columnas vertebrales del gobierno del "rondero" oportunista Castillo serán las Fuerzas Armadas genocidas y la alta burocracía estatal.



El rondero oportunista Pedro Castillo asumió la presidencia del viejo Estado peruano terrateniente-burocrático, al servicio del imperialismo principalmente yanqui. Como dan cuenta los diarios: "Todavía sin gabinete –el premier se conocerá oficialmente hoy en Ayacucho y el resto de los ministros asumirán el viernes– se presentó ante el Congreso para dar su mensaje a la nación, uno de fuerte carga simbólica, muy ambicioso en lo presupuestal aunque sin explicar cómo se llevarán a cabo las promesas o cómo se financiarán" (diario La República de Lima, de hoy).

En el discurso solo hay algunos puntos que muestran los rasgos generales de lo que será su plan de gobierno que se dará a conocer con su presentación al parlamento para el voto de confianza, por lo que sabemos carece de un plan propio de gobierno, pues como candidato sin partido, ya que candidateo por el vientre de alquiler Perú Libre, propiedad de los hermanos Cerrón, pero claro está, que como representante de la facción burocrática en el ejecutivo, asume el plan reaccionario con las tres tareas, que son necesidad del imperialismo y la reacción como gobierno reaccionario encabezado por el oportunismo en una situación de mayor agudización de la crisis en todos los aspectos del capitalismo burocrático y el viejo Estado. Este plan responde al plan del imperialismo yanqui para América Latina y las especificaciones de acuerdo a las condiciones del país y el desarrollo de la lucha de clases internacional y nacional,

Los tiras y aflojas dentro de la facción burocrática para conformar el equipo ministerial y ponerse de acuerdo en lo que se presentará como el plan de gobierno y las medidas y primeras propuestas de leyes se muestra con la tardanza en dar a conocer el nombre del primer ministro y ministros. El pretexto es que solo han tenido 8 dias desde la declaración del JNE dandolo como ganador de las elecciones generales reaccionarias. Pues desde después de los resultados de segunda vuelta (al menos) han tenido ya la posibilidad de nominar a quienes lo van a secundar en los ministerios, pero las necesidades alianzas y apoyos para su nominación han expresado con fuerza la olla de grillos que es su frente electoral y el mismo que será una de las bases de su gobierno, ya que no tiene partido propio y Perú Libre es una organización casi regional, expresión del gamonalismo, con un señor oportunista que lo encabeza. Las columnas vertebrales del gobierno serán las mismas del viejo Estado, que por propia boca del rondero contrarrevolucionario Pedro Castillo Terrones, y son: las FF.AA. genocidas y la alta burocracia estatal.

Monday, July 26, 2021

BRASIL: 24 de julho: Povo sai às ruas de todo o país contra o governo militar genocida (AND)


 

Milhares de manifestantes tomam as ruas do Rio de Janeiro sob a consigna "Abaixo o governo militar e genocida de Bolsonaro!". Foto: Banco de dados AND

Nesse sábado, dia 24 de julho, dando continuidade à onda de protestos de maio e junho, milhares de pessoas retornaram às ruas para deixar o seu repúdio ao governo militar genocida de Bolsonaro. Os protestos ocorrem em meio ao escândalo de corrupção envolvendo a compra de vacinas que implica diversos políticos da base do governo Bolsonaro e membros das forças armadas. Além disso, as massas repudiaram a ameaça de golpe militar realizada pelo general Braga Netto, apenas dois dias antes do ato, no 22 de julho, como também à aprovação do vergonhoso “fundão” eleitoral de R$ 5,7 bilhões.

Os manifestantes saíram pelas ruas de todo o país exigindo direitos que estão sendo retirados pelo velho Estado e também denunciaram os crimes contra o povo em meio à pandemia de Covid-19. Em algumas cidades, o povo precisou resistir aos ataques da Polícia Militar (PM) e de outras tropas de repressão para exercer o direito à livre manifestação.

SÃO PAULO

Na capital paulista, a manifestação ocorreu às 15h. Nos dias anteriores, a PM de São Paulo convidou representantes de forças políticas para uma reunião acordando, dentre outras coisas, o horário em que o protesto poderia ocorrer, além de "avisar" que “nenhum deslocamento a pé ou veicular pode ser realizado por arbítrio deles [manifestantes] sem diálogo dos Organizadores com a Polícia Militar do Estado de São Paulo”. Manifestantes denunciaram esse ataque ao livre direito de manifestação. Nessas denúncias, as massas já apontavam para a tentativa do governador João Dória de conter e reprimir as manifestações populares. Foram também alvo de críticas as organizações que aceitaram participar da iniciativa fascista da PM.

Desde o início do dia, antes mesmo do horário do início do ato, a PM realizou detenções e apreensões à esmo de pessoas que se deslocavam ao ato. Em postagem no twitter, a tropa de repressão de João Dória (PSDB) dava mostras de seus “troféus”: duas bandeiras de organizações populares, algumas pilhas, um megafone e alguns sinalizadores. Além disso, a corporação inclui na postagem que dava mostras de seu cumprimento do trabalho de reprimir e intimidar o justo protesto popular a apreensão de um soco inglês em outra parte do município. A relação feita na publicação buscava associar as organizações em atos que supostamente iriam ser ocorridos.

Entre os materiais “perigosos” apreendidos pela PM de SP estavam: bandeiras de organizações políticas, vinagre, pilhas e megafone. Os manifestantes foram apreendidos e ficaram por 6 horas detidos.

Mesmo com as tentativas de cercear o direito à livre manifestação, as organizações populares se mantiveram firmes na tarefa de denunciar os crimes contra o povo do governo militar genocida e seguiram para a manifestação.

Manifestação ocorre rechaçando governo militar e repressão

Apesar das ações intimidatórias da PM de João Dória, que atuou contra o direito de livre manifestação de organizações populares desde dias antes, a manifestação de São Paulo ocorreu de forma exitosa. Milhares de pessoas tomaram a Avenida Paulista durante a tarde de sábado. 

Os manifestantes rechaçaram o governo militar de Bolsonaro e generais pelas mais de 500 mil mortes ocorridas em meio à pandemia. Também foram denunciados a falta de empregos, a falta de auxílio emergencial e outros direitos negados ao povo.

Fruto da conciliação de setores oportunistas, a manifestação em SP contou também com grande controle policial. Dias antes, estiveram presentes PCB, CSP - Conlutas, PCO e outros agentes do gerenciamento estadual para organizar tudo que dizia respeito ao ato.

Após o horário indicado para terminar a manifestação, a PM de SP não tardou a iniciar todo tipo de arbitrariedade. Logo após as 19 horas, novas cenas de repressão violenta da Polícia Militar foram vistas. As tropas fascistas avançaram sobre os manifestantes, que seguiam protestando. Muitos manifestantes foram presos. Manifestantes resistiram com rojões e pedras contra a repressão policial.

Do alto do carro de som, dirigentes de movimentos pediam que a Polícia não jogasse bombas.

Em outros registros divulgados pela internet, é possível ver a persistente resistência de manifestantes em defesa do direito de protestar.

Pelas redes sociais, veículos de imprensa democrática repercutiam as denúncias conforme as prisões arbitrárias eram feitas. Alguns dos detidos foram levados para a 78º DP. Muitos manifestantes estavam sendo revistados e alguns eram levados até as delegacias de polícia para que fossem identificados para, só então, serem liberados. 

Estações de metrô foram fechadas pela Polícia Militar, contrariando a própria orientação passada na reunião para “organizar a manifestação”, em que apontaram que um dos objetivos era “garantir o direito de ir e vir”.

Até a publicação dessa matéria, não haviam informações de manifestantes que ainda estavam detidos.

RIO DE JANEIRO

Na capital carioca, o protesto se concentrou às 10h na Avenida Presidente Vargas, em frente ao monumento em homenagem a Zumbi dos Palmares, e seguiu em rumo à Praça da Candelária. Os manifestantes organizaram-se com faixas e bandeiras e entoaram palavras de ordem enchendo o centro do Rio, Havia no ato um forte aparato policial que cercou toda a avenida Presidente Vargas.

Milhares de manifestantes tomam as ruas do Rio de Janeiro sob a consigna "Abaixo o governo militar e genocida de Bolsonaro!". Foto: Banco de dados AND

Milhares de manifestantes tomam as ruas do centro do Rio de Janeiro na manhã do sábado, 24 de julho. Foto: Henrique Pinto

Dias antes havia ocorrido, assim como em SP, uma reunião com siglas eleitoreiras para “organizar o ato” junto à PM. As tropas policiais estiveram durante toda a manifestação dispostas em grupos de 15 a 20 policiais ao longo da Avenida Presidente Vargas, na direção da Igreja da Candelária. Durante a manifestação houve a denúncia de que ativistas da UJC tentaram intimidar manifestantes que discordavam do movimento. A polícia aproveitou-se do princípio de confusão para lançar spray de pimenta no conjunto dos manifestantes.

Apesar da tentativa de repressão ao protesto popular, os manifestantes seguiram em marcha na principal avenida do centro do Rio de Janeiro.

Reuniram-se estudantes, trabalhadores, movimentos de favela e advogados do povo. Os manifestantes entoaram Vacina, Pão, Saúde e Educação!, Eleição é farsa, não muda nada não. Organizar o povo pra fazer revolução!, entre outras consignas de luta, ao mesmo tempo se viam grandes faixas com escritos Abaixo o governo militar genocida de Bolsonaro e Liberdade imediata para os 4 camponeses de Rondônia! Terra para quem nela vive e trabalha!.

Uma grande faixa novamente foi estendida na manifestação exigindo liberdade imediata para os quatro camponeses de Rondônia. Foto: Banco de dados AND

O ato na capital do Rio de Janeiro ocupou a Avenida Presidente Vargas, tomando todas as faixas e seguindo em direção à Candelária. Foto: Banco de Dados AND

Enquanto seguia a manifestação, os policiais concentravam dois grupos mais próximos às organizações independente do velho Estado e combativas. Em torno da Igreja da Candelária, destino final do ato, havia um número maior de tropas da PM que se posicionaram antes de chegar até a Praça. 

Os manifestantes percorreram toda a Avenida Presidente Vargas realizando a denúncia do genocídio planificado para a população que estava no centro da cidade. Foram mais de 3 horas de manifestação que ocupou três faixas da principal rua do centro.


Escudo criado por manifestantes expõe a imagem do grande dirigente comunista brasileiro, Pedro Pomar, junto a frase Rebelar-se é justo. Foto: Banco de dados AND

Faixas exigindo Fora Bolsonaro e um boneco posteriormente queimado foi levado durante a manifestação. Foto: Banco de dados AND

Cartaz de protesto é erguido por manifestante com a frase "Braço forte, mãos leves" em referência ao slogan das forças armadas reacionárias e seus ações em meio a gerencia do velho Estado. Foto: Banco de dados AND

Diversos indígenas estiveram presentes na manifestação expressando o repúdio ao governo militar e genocida de Bolsonaro. Foto: Henrique Pinto


Militares foram vistos filmando e fotografando os manifestantes por todo ato. Foto: Banco de dados AND

Ao final do ano, a manifestação foi impedida pelos policiais de ocupar a Praça da Candelária. O ponto, que é um local histórico em que iniciam e finalizam as manifestações, estava cercado pelos policiais que impediram que as massas ultrapassassem sua barreira. Uma das razões que certamente motivou a presença das forças de repressão foi a necessidade de evitar que se interrompessem o fluxo dos carros. Próximo ao local está localizada a Avenida Rio Branco, principal via da cidade por onde o trânsito se escoava. Também há no local uma via do Veículo Leve sobre Trilhos (VLT), que nos fins de semana é usado principalmente por turistas.

Manifestantes queimam bandeiras ianques enquanto entoam: "Fora ianques da América Latina!". Foto: Banco de dados AND

Boneco representando Bolsonaro é queimado por manifestantes em meio a Av. Presidente Vargas no centro do Rio de Janeiro. Foto: Banco de dados AND

Boneco representando Bolsonaro é queimado por manifestantes em meio a Av. Presidente Vargas no centro do Rio de Janeiro. Foto: Banco de dados AND

Boneco representando Bolsonaro é queimado por manifestantes em meio a Av. Presidente Vargas no centro do Rio de Janeiro. Foto: Henrique Pinto




Sequencia mostra queima de bandeiras ianques no centro do Rio de Janeiro. Foto: Banco de dados AND

BRASÍLIA

Em Brasília, na Esplanada dos Ministérios, milhares de Manifestantes realizaram ato contra o governo de Bolsonaro e generais; dentre as reivindicações, se destacaram os pedidos por vacina e auxílio emergencial digno.

A manifestação ocupou a capital e repercutiu a denúncia feita por todo o país contra o governo militar genocida. Manifestantes independentes do velho Estado também denunciaram a tática da repressão de buscar realizar acordos com organizações políticas para controlar as manifestações.

Antes da dispersão, jovens ativistas se dirigiram para a Rodoviária do Plano Piloto, onde realizaram uma breve agitação e distribuição de panfletos chamando o povo a lutar contra a carestia e contra o governo militar genocida de Bolsonaro e generais.

Manifestantes tomam as ruas centrais de Brasília erguendo faixa exigindo vida digna. Foto: Banco de dados AND

Agitação realizada na Rodoviária do Plano Piloto em Brasília. Foto: Banco de dados AND

FORTALEZA

Na tarde do dia 24 de julho, milhares de estudantes e trabalhadores de diversas categorias tomaram as ruas de Fortaleza (CE) em manifestação contra o governo militar assassino e terrorista de Bolsonaro e generais do Alto Comando das Forças Armadas (ACFA).  O ato teve início durante a tarde, com concentração na Praça Portugal, zona norte da cidade.

Milhares de pessoas ocupam as ruas de Fortaleza em protesto ao governo militar de Bolsonaro e generais. Foto: Banco de dados AND

Entre os manifestantes, foram entoadas diversas palavras de ordem em defesa dos direitos do povo e do direito de lutar, como Presos políticos, liberdade já! Lutar não é crime! Vocês vão nos pagar!, Emprego, moradia, saúde e educação! A saída para a crise é a Revolução! e Eleição é farsa! Não muda nada não! O povo organizado vai fazer Revolução!.


Faixa erguida por manifestantes conclama: "Abaixo governo de Bolsonaro e generais! Por uma Revolução de Nova Democracia!". Foto: Banco de dados AND

Ao final do ato, ativistas fizeram a queima de uma bandeira do imperialismo ianque (Estados Unidos da América - USA). Se ouviam também palavras de ordem contra o principal inimigo dos povos de todo o mundo. Entre outras palavras de ordem, os militantes agitaram: Yankees, go home! e demonstravam de forma contundente a importância da luta anti-imperialista.

Queima de bandeira ianque nas ruas da cidade expressa rechaço ao imperialismo. Foto: Banco de dados AND

Durante a queima da bandeira, os manifestantes também soltaram rojões e balançavam uma bandeira da Palestina, em solidariedade às lutas do heroico povo palestino que segue resistindo às agressões do Estado terrorista de Israel.


Queima de bandeira ianque nas ruas da cidade expressa rechaço ao imperialismo. Foto: Banco de dados AND


No Ceará, ao longo do trajeto do ato pode ser visto nos muros pichações em conclamando: "Viva a LCP!" e "Morte ao latifúndio!". Foto: Banco de dados AND

No Ceará, ao longo do trajeto do ato pode ser visto nos muros pichações em conclamando: "Viva a LCP!". Foto: Banco de dados AND



 

Colombia - Grotesca instalación del podrido Congreso

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Grotesca instalación del podrido Congreso 1

“Inédita instalación del Congreso” fue la tímida calificación de los medios al servicio del capital y su régimen mafioso, sin poder ocultar la exageración del artificio acostumbrado en esa detestable ceremonia.

La respuesta criminal del régimen con el terror de los asesinatos, desapariciones y la extrema represión al pueblo, por el solo hecho de exigir sus derechos en un Paro desarmado, fue blanqueada con el embustero contenido del discurso del títere presidente, aclamado por los aplausos concertados de antemano entre los representantes políticos del régimen.

La matanza de activistas ejecutada por las fuerzas militares y paramilitares del Estado, por la policía y su escuadrón de la muerte, fue descaradamente respaldada con el aplauso y la felicitación a los jerarcas militares.

La burla a que fueron sometidos los jefes politiqueros reformistas, refrendó que su papel en el Congreso no va más allá de ser sirvientes de la democracia burguesa, de ser los utileros que los capitalistas necesitan para disimular su dictadura de clase. Aun así, los politiqueros reformistas de la oposición oficial, siguen creyendo en esa hipócrita y mutilada democracia, siguen defendiendo la institucionalidad que es defender la institucionalidad de la dictadura de los dueños del capital hoy encabezados por la mafia uribista, y tienen la desfachatez de invitar al pueblo y principalmente a la juventud a la trampa electoral del 2022, para legitimar la dictadura de los opresores.

Si la oposición oficial cree en la falsa democracia de la burguesía, si apoya y participa en sus instituciones, si le complace revolcarse junto con los enemigos del pueblo en el estercolero que llaman Congreso… los trabajadores, las masas populares, no están obligados a seguir ese mal ejemplo, ni a apoyar y respetar ese antro de corrupción.

Como parte del Estado burgués terrateniente, el Congreso es una institución al servicio de los capitalistas, demostrado en sus leyes siempre en favor de los explotadores, siempre en contra de los trabajadores.

El Congreso hace parte del poder político de los capitalistas, es una institución corrompida hasta el tuétano, útil a los corruptos, integrada por los representantes políticos de los enemigos del pueblo y de sus falsos amigos reformistas, dirigida hoy por una facción mafiosa y paramilitar, a tal punto que los “elegidos” para presidir el Senado y la Cámara, son directamente emparentados con mafiosos, con asesinos, con paramilitares.

Tal como todo el Estado, el Congreso es una institución podrida, inservible para resolver los problemas de los trabajadores. La actitud del pueblo ante ese antro dictatorial, no puede ser remozarlo, ni reformarlo, ni utilizarlo porque su carácter de clase impide que sirva a los intereses populares. No queda otro camino que destruirlo junto con todo el Estado reaccionario mediante la violencia revolucionaria de los obreros y campesinos, única forma posible de construir un nuevo Estado, ese sí, en manos de la mayoría oprimida para que ejerza su dictadura de clase sobre la minoría de opresores y explotadores, los expropie y entregue toda la riqueza social y natural a quienes la producen y transforman con su trabajo.

 

Friday, July 23, 2021

last documents PCI (Maoist)

2021:

 

Brasil - 'A nova democracia ' Golpe militar em curso: Ministro da Defesa ameaça impedir eleições


General Braga Netto fez ameaça de golpe militar ao presidente do Congresso, Arthur Lira, como revelou O Estado de S. Paulo. Foto: Ricardo Moraes

O general Braga Netto, Ministro da Defesa do governo militar genocida de Bolsonaro, fez, através de um interlocutor político, uma séria ameaça ao presidente do Congresso, Arthur Lira: ou as eleições de 2022 ocorrerão com voto impresso ou não ocorrerão. Isso é o que afirma o jornal monopolista Estado de S. Paulo. A imprensa reacionária colheu tais informações de interlocutores em anonimato. Todos os envolvidos dizem que tal fato não ocorreu.

Os generais não precisam necessariamente cancelá-las para garantir o rumo da marcha política (caso apenas extremo!), mas podem e, pelo desenvolvimento das tendências eleitorais, vão conduzir e influenciar diretamente em seus resultados por processos outros. Neste contexto, a ocorrência ou não de eleições próximas é tema secundário

CPI (Maoist) Posters Surface In Mulugu District Ahead Of Martyrs’ Week 2021


Mulugu District, July 20, 2021: A number of posters allegedly left by the CPI (Maoist) were found by the villagers at Bodhapuram in Venkatapuram (Nuguru) mandal in Mulugu district on Tuesday. The Maoists have appealed to the people to observe the party’s Martyrs’ Week from July 28 to August 3 in a big way.

The posters issued in the name of Telangana State Committee of the CPI (Maoist), urged the party cadre to defeat the ‘Operation Prahar’ onslaught launched by the government. The Naxalite party organize the martyrs’ memorial week in  Chhattisgarh, Telangana, Andhra Pradesh, Maharashtra, Odisha and Jharkhand every year.

In the posters, the Maoists have also made a scathing attack on both the State and Central governments and alleged that the governments had failed to check the spread of Covid-19 that claimed the lives of lakhs of people in the country. It is alleged that the police had killed CPI (Maoist) leaders Gangal and Gaddam Madhukar alias Shobroy by not providing treatment to them though they assured to provide treatment for Covid-19 to the surrendered Maoists.

The CPI (Maoist) also found fault with the State government for its attempt to recruit 20,000 police constables. “The TRS government has been resorting to fake encounters,”  the Maoist party Telangana State Committee alleged. It also condemned the arrest of intellectuals, rights activists and others in the name of Naxalites.

 

GALIZA: Galiza Vermelha chama a participaçom na XIV Cadeia Humana pola Liberdade d@s Pres@s Independentistas Galeg@s




Desde Galiza Vermelha chamamos a participar na XIV Cadeia Humana pola Liberdade d@s Pres@s Independentistas Galeg@s, organizada por @Ceivar_OPAR neste 24 de Julho.

https://twitter.com/GalizaVermelha/status/1417464561561702401

 

PERÚ: MPP: BREVE NOTA SOBRE LA SITUACIÓN POLÍTICA EN EL PAÍS



 


Hace apenas unos día, después de un largo tira y afloja entre los representantes de las dos facciones de la gran burguesía para decidir la nominación del nuevo presidente reaccionario que reeplazará al actual en la presidencia del viejo Estado peruano, terrateniente-burocrático al servicio del imperialismo, principalmente yanqui, el Jurado Nacional de Elecciones decidió que el „rondero“ vendehuelgas Pedro Castillo sería quien como presidente obtenga la posta reaccionario. Ha sido nominado luego de un proceso como todos los anteriores y aún en mayor grado fraudulento y farsesco monitoreado por el imperialismo yanqui a través de sus organismos internacionales, la embajada yanqui en Lima, sus expertos y su agente Gorriti quie se ha encargado de garantizar que el "rondero" oportunista es un contrarrevolucionario probado, que como "rondero" a combatido al PCP y a la guerra popular con las armas como fuerza auxiliar de las fuerzas armadas genocidas bajo dirección de la CIA yanqui y su guerra de baja intensidad. El imperialismo yanqui como siempre ha intervenido descaradamente en las elecciones para nominar a Castillo y le ha otorgado su reconocimiento, declarando por diversos medios que las elecciones reaccionarias "han sido limpias" y que "Castillo es unpresidente legítimo".

Germany - against repression 28th July



 

Alemania. Manifestantes de diversas organizaciones democráticas y revolucionarias desarrollaron una marcha que partió de la estación de trenes de Duisburg hasta el distrito obrero de Hochfeld; la concentración se pronunció contra las tentativas reaccionarias del parlamento que apuestan por endurecer y restringir la libertad de reunión. Las organizaciones convocantes consideran que estas medidas son dirigidas especialmente contra la clase obrera y la juventud, y que se debe defender a costa de lo que sea el derecho de reunirse y protestar. Durante las actividades se registraron nuevos choques con la policía antimotines que desplegó un impresionante operativo con helicópteros, vehículos antidisturbios y caballería; en la refriega dos reporteros resultaron heridos con lesiones provocadas por golpes de macana y gas pimienta. Según informa el medio Dem Volke Dienen, el objetivo de la policía era atacar al bloque antifascista y al bloque anticapitalista-internacionalista, asegurando que el derecho de reunión “no aplica para estos”. Pese a la agresión de la policía, los manifestantes tienen planteada una nueva actividad para el próximo 28 de julio.

 

Brasil - RR: Bombas de uso exclusivo do Exército são usados por garimpeiros ilegais atacar Yanomamis


Garimpeiros estão utilizando armamentos de controle exclusivo das Forças Armadas. Foto: Alexandro Pereira, Rede Amazônia

Armamentos de controle exclusivo pelo Exército e de uso restrito são utilizados por garimpeiros ligados ao narcotráfico. Os artefatos, que somente podem ser adquiridos pelas Forças Armadas ou pelas forças de repressão oficiais, são usados pelos grupos paramilitares que atacam desde maio quatro comunidades Yanomami localizadas na região Palimiu em Roraima.

Essa região das terras indígenas atualmente está sob invasão de aproximadamente 20 mil garimpeiros que têm três livres acessos às comunidades. Indígenas alegam que garimpeiros chegam de barcos atirando as bombas de gás lacrimogêneo para desorientar os indígenas e intimidá-los.

Conforme o Decreto 10.030/2019 responsável pela fiscalização é o Serviço de Fiscalização de Produtos Controlados (SFPC) do Exército, que informou que os fatos estão sob “investigação” da Polícia Federal. O portal Brasil de Fato tentou contato com a Polícia Federal durante 21 dias para questionar como as bombas chegaram nas mãos de garimpeiros ilegais, mas não tiveram nenhuma respostas.

Os ataques começaram em maio, após indígenas aprenderem os maquinários dos invasores. Os povos originários também criaram barreiras nos caminho onde circula o garimpo ilegal e conseguiram interceptar mil litros de combustivel que abasteceria até aeronaves dos garimpeiros.

Leia também: Yanomami resistem a ataques de garimpeiros ligados ao narcotráfico

grande apreensão

No dia 29/06, segundo a Fundação Nacional do Índio (Funai), foi realizado a Operação Omama, em conjunto com forças repressão oficial para “combater” o garimpo ilegal na Terra Indígena Yanomami. Conforme divulgado no último dia 06/07, ocorreu apreensão de uma aeronave, uma máquina caça-níquel, quatro embarcações, dois motores, 12 geradores de energia, 22 bombas de propulsão, 3 mil litros de combustível, celulares, aparelhos GPS e aproximadamente R$ 3 mil em cédulas. Segundo o levantamento, cinco balsas também foram desativadas, e foram apreendidas três motores, 2,5 mil litros de combustível, além de ter sido realizada a “destruição” de 6 acampamentos de garimpeiros ilegais na região de Homoxi.

Ataques contra indígenas não param a luta por território

Sem escrúpulos, de forma ameaçadora, os invasores de terras matam a tiros cachorros da comunidade indígena, que não se intimidam e seguem firme em seus territórios.

Em junho, garimpeiros ilegais armados batem de forma proposital com seu barco contra uma canoa que afundou. Nela havia seis crianças, com idades entre dez e onze anos, e dois adolescentes que pescavam no Rio Uriracoera. Os indígenas caíram da embarcação e conseguiram correr pela mata sendo perseguidos pelos garimpeiros até chegar à Comunidade Yakepraopë onde receberam refúgio.

Em maio, aconteceu outro ataque semelhante: duas crianças indígenas, uma de 1 ano e outra de 5 anos, morreram afogadas após a colisão do barco provocada pelos garimpeiros ilegais.

 

INDIA: El levantamiento popular en Telangana –




SAMADHAN-PRAHAR - la ofensiva estratégica sobre Telangana continúa en muchas direcciones como parte de su objetivo de erradicar la revolución de nueva democracia. La aplicación de las operaciones LIC en este caso, está en fase de desarrollo. Actualmente, el enemigo está ideando varios planes de ataque para conseguir su objetivo. Las fuerzas del Partido Comunista de la India (maoísta) han estado activas en Telangana, y mientras, los partidos de la clase dominante en el estado se están quemando a fuego lento entre la gente. Al notar el gobierno estatal que la gente que esperaba el liderazgo del partido se sentía atraída por PCI- maoísta, emprendió la ofensiva y es, en este contexto que el gobierno del TRS está intensificando las brutales detenciones. En el proceso, el propio director general de la Policía supervisa las áreas revolucionarias bajo las órdenes del ministro jefe K. Chandrashekar Rao y el SIB(departamento de inteligencia) y los Greyhounds (grupos paramilitares ilegales) siguen llevando a cabo redadas a gran escala y sin interrupciones por parte de la policía. Como parte de esta política represiva, se están llevando a cabo por el estado encuentros, falsos encuentros, detenciones, falsa propaganda, despliegue de fuerzas, operaciones conjuntas, controles zonales, reformas, construcción de carreteras, expansión de las comunicaciones, refuerzo y aplicación de una variedad de métodos represivos.

Como parte del mantenimiento de la paz y la seguridad en Telangana en todo el estado, había 45.817 policías para una población de 3.50.03.674 en 2017, mientras que en el presente hay 65.159 policías. Incluyendo las nuevas, hay 18 comisarías, 28 Superintendencias de Distrito y 13 cuarteles generales para las fuerzas de seguridad del estado y sus grupos especiales. Hay en total, 164 subdivisiones, 185 oficinas zonales y 538 comisarías. En 2017, había 29.290 policías en el sector civil, desde condestables hasta policías locales y ahora a través de contrataciones, hay 34.334. En 2017, había 16.625 policías armados / fuerzas especiales cuyo número ha aumentado hasta 30.825. (Datos de un libro de estadísticas publicado recientemente por el gobierno)

En los cálculos anteriores se incluyen fuerzas especiales como los GreyHounds. Además de las comisarías, se han creado campamentos de CRPF y COBRA (fuerzas especiales paramilitates) para controlar las actividades del partido maoísta en la frontera entre Telangana, Chhattisgarh y Maharashtra con la excusa de proteger los proyectos en construcción y dichos grupos no constan dentro del estado. Se sigue reclutando en 12 turnos para completar el plan de reclutamiento policial basado en el desempleo. Los chalecos azules, los equipos de policía para mujeres, la policía lacustre, los drones. Como resultado, cada vez más se está incrementando el número de agentes de policía y oficiales reclutados.

Tras la formación del estado de Telangana, la oficina administrativa del gobierno y la administración de la policía aumentó debido a los cambios geográficos en distritos y zonas. Los agentes de policía se concentraron, especialmente en las zonas afectadas por los maoístas. En el pasado, los OSD fueron asignados específicamente para erradicar el movimiento y fueron suprimidos después de que éste fuera mermado. Ahora los OSD han sido reincorporados. Se han nombrado dos AAP y DSP (fuerzas especiales) junto con los oficiales de policía habituales. Aparte de estos, también se han asignado oficiales de inteligencia. Los oficiales retirados con experiencia en el exterminio de la revolución están siendo nombrados de nuevo con carácter temporal. Esto también incluye técnicos.

El gobierno del TRS ha lanzado un plan para erradicar el partido maoísta en Telangana. Primero fueron los ataques a lasorganizaciones populares. Más de 20 personas han sido detenidas y encarceladas por ser líderes y activistas de organizaciones públicas de masas que dirigen las luchas populares. Cientos de líderes comunitarios, milicias y civiles fueron detenidos y encarcelados. La Ley de Prevención de Actividades Ilícitas (UAPA) les acusa de promover la ideología maoísta, fortalecer las organizaciones populares para reclutamiento en el partido, recaudación de fondos para el mismo, contrabando de municiones y otras actividades antigubernamentales. Las 16 organizaciones populares han sido prohibidas inconstitucionalmente por colaborar supuestamente con los maoístas. Los nombres de todos los que trabajan en los pueblos están siendo anunciados públicamente en los medios de comunicación y anuncios/vallas publicitarias. Se está intimidando a las personas que luchan por la democracia. Por otro lado, están lanzando ataques feroces contra el partido y sus líderes, socavando las relaciones públicas, diluyendo su política revolucionaria para separar al partido de del pueblo y debilitar la confianza del pueblo en el partido maoísta. Como parte de la guerra psicológica, arguyen que el país está demasiado desarrollado económicamente y que la revolución en un país democrático es impensable. En ausencia del naxalismo, el desarrollo del estado de bienestar en el estado de Telangana se está acelerando rápidamente. La policía está celebrando reuniones públicas en los pueblos para intimidara la gente para que dé información o emprenderán acciones legales contra ellos.La gente de las aldeas está refugiando a los escuadrones maoístas sin creer la falsa propaganda de la policía. La gente de varios pueblos se volvió contra la policía que vino a rastrear, haciendo incursiones policiales, con funcionarios forestales y detenciones. En el distrito de Adilabad, los habitantes de Addala Thimmappur, Thokkiguda, Chorupalli, Mangi Pathagudem y otras aldeas fueron atacadas con piedras y palos. La gente está protegiendo a los escuadrones de las redadas de la policía y proporcionándoles comida. Cuando los escuadrones entran en un pueblo, todos los aldeanos los invitan a participar en la reunión. Sabiendo esto, el gobierno y la policía lanzaron una campaña de desprestigio contra el partido maoísta.

Comerciantes, ingenieros, médicos, la gente está siendo aterrorizada. La policía de la SIB sigue cometiendo maldades a gran escala a través de los medios de comunicación social. Los medios de comunicación burgueses resaltan aún más esta ruin propaganda y provocan que los gobiernos y la policía compartan la represión.

Además de la “mala” publicidad, también se han intensificado los ataques armados del enemigo. El gobierno del TRS ha asumido el reto de que las escuadras del Partido Maoísta están reforzando el poder de cohesión popular en el proceso de desarrollo de la zona guerrillera. Llevó a cabo operaciones represivas para exterminar a las tropas y aumentó severamente las detenciones. Durante los meses de septiembre-octubre, el propio DGP visitó los distritos de Kumuram Bheem -Asifabad, Mulugu y Bhadradri -Kottagudem en las zonas de movimiento popular y dirigió los ataques armados. El DGP permaneció 5 días en el distrito de Asifabad y desplegó miles de tropas en los bosques. Durante los tres meses, de agosto a octubre, las tropas fueron ... alcanzadas. En cuatro incidentes, 8 camaradas fueron detenidos, torturados y asesinados a tiros en nombre de un falso contrafuego. Un total de 10 compañeros fueron asesinados. Se produjeron 5 encuentros. Adilabad, zona de Mangi Una mujer llamada Ramba Devi fue supuestamente golpeada por un maoísta. Sin embargo, en muchos lugares las tropas estaban notando de antemano el asedio del enemigo.

Falsos encuentros, disparos, despliegue de fuerzas enemigas, detenciones, visitas de agentes de policía en zonas revolucionarias, mítines especiales, acordonamientos, los escándalos de los "controles" se han convertido en un tema candente cada día en todo el estado, creando terror y confusión entre el pueblo.

El sistema de vigilancia se ha ampliado. Las cámaras de videovigilancia están corrigiendo los errores y están reforzando la red de informadores en cada pueblo.Los mensajeros son detenidos en secreto y “convertidos” en encubridores. Las frutas, los frutos secos, los medicamentos y otros alimentos que traen (con toxinas) pueden causar enfermedades crónicas e incluso la muerte. Un envenenamiento similar tuvo lugar en la escuadra Wajedu - Venkatapuram en octubre. Como consecuencia, hubo gente enferma durante mucho tiempo.

El objetivo común de las clases dominantes explotadoras es erradicar el partido maoísta que lucha contra las políticas de explotación, las brigadas que luchan en nombre del pueblo y los activistas prodemocráticos. No importa cuántas contradicciones y disputas existan entre los partidos gobernantes, están unidos con un único entendimiento para suprimirlos movimientos populares. También se anunció que la operación Samadhan-Prahar continua en y desde Telangana. Altos funcionarios de la policía de Telangana y Chhattisgarh se reunieron en el Centro Venkatapuram Mandal en el distrito de Mulugu el 4 de octubre de 2020 para implementar estos planes. A la reunión asistieron el DGP de Telangana Mahender Reddy, el asesor principal del Ministerio del Interior de la Unión, Vijay Kumar TG, el DG de la CRPFIGs de CG, oficiales de inteligencia y SPs. Se discutieron temas como las operaciones conjuntas, la coordinación en el intercambio de servicios de inteligencia, la prestación de asistencia, el bloqueo de todo tipo de logística, así como recursos financieros. De acuerdo con la decisión, 5.000 fuerzas Cobra, DRG y Greyhounds atacaron el campamento revolucionario en Bhattigudem, un pueblo fronterizo de Telangana-Chhattisgarh. Con el apoyo de la población, las fuerzas de Telangana escaparon del ataque. Por eso, un agricultor adivasi de la aldea fue asesinado a tiros. 6 militantes Adivasis fueron encarcelados.Un agente de la Greyhound resultó herido en una reciente represalia de las fuerzas del PLGA en Telangana. El líder del TRS, Bishwer Rao, guarda de tierras a la par que terrateniente, comerciante y delator, fue castigado. Los habitantes de pueblos de Addalathimapuram y Pocharla en el distrito de distrito de Asifabad fueron atacados por los Greyhounds cuando llegaron para combatir. El SI fue asesinado cuando los Greyhounds llegaron para combatir y abrieron fuego contra otro equipo de Greyhounds en el bosque de Chennapuram de Bhadradri Kottagudem, creyendo que eran maoístas. El jefe de policía, que estaba rastreando los bosques de Adilabad, murió de un ataque al corazón por miedo a ser atacado. A pesar de la fuerte represión enTelangana en nombre de Samadhan Prahar, la gente está protegiendo a los escuadrones sin miedo. Lucha contra la represión estatal. Los gobiernos central y estatal andaban como locos durante los últimos años convencidos que el partido habia sido suprimido en Telangana. Pero después de que el gobierno y la policía fueransorprendidos por los esfuerzos del partido en 2020, este año los medios de comunicación nacionales y estatales también deben reconocer que 'los maoístas están activos enTelangana". Con esto, los gobiernos central y estatal deben aceptar la influencia de los maoístas, y están diciendo que crearán un nuevo centro de formación de policías en Kottagudem y así convertir Telangan en un estado libre de maoístas.

¡El gobierno fascista de KCR se desenmascara al prohibir 16 organizaciones populares democráticas en Telangana!

El gobierno de Telangana el 30 de marzo, 2021 emitió una notificación (GO. Ms. 73) prohibiendo 16 organizaciones populares en virtud de la Ley de Seguridad Pública de 1992, declarándolas "asociaciones ilícitas" y organizaciones frontales del prohibido partido PCI (maoísta). La notificación se hizo pública tres semanas después, el 24 de abril de 2021, por el secretario general Somesh Kumar. La prohibición será de un año continuado en virtud de la Ley de Prevención de actividades ilegales (UAPA). Estas organizaciones son: Comité de Libertades Civiles (CLC), Telangana Praja Front(TPF), Adivasi Organization' Tudum Debba', Revolutionary writers Association(Virasam), Telangana Asanghatitha Rangam(TAKS), Telangana Rythanga Samithi, Telangana Vidyarthi Vedika(TVV), Organización Democrática de Estudiantes (DSU), Telangana Vidyarthi Sangham (TVS), Adivasi students union (ASU), Comite para la liberacion de prioneros politicos (CRPP), Praja kala Mandali (PKM), Frente Democrático de Telangana (TDF), Foro contra la Ofensiva Fascista Hindú (FAFHO), Chaitanya Mahila Sangam (CMS), Amurula Bandu Mithrula Sangham (ABMS).

Estas organizaciones de Telangana está nluchando por los derechos democráticos y contra la explotación del pueblo desde hace mucho tiempo. Se mantuvieron firmes y lideraron lalucha por una "Telangana democrática e independiente" desde el principio del movimiento. El gobierno de KCR difundiendo propaganda falsa sobre estas organizaciones democráticas, debe ser considerado un aorden fascista del Telangana Rashtra Samithi y conesta prohibición de las organizaciones democráticas, el ministro jefe KCR se quitó la máscara de “estado de derecho" en Telangana imponiendo represión a las masas combatientes, a las organizaciones y a los individuos democráticos.

El gobierno declaró que estas organizaciones están luchando por la liberación del poeta Varavara Rao, Saibaba y los demás acusados del caso Bhima Koregaon.Es completamente ilegal la razón por la que el gobierno estatal impone la prohibición de estas organizaciones. Si se aplican los mismos criterios usados para prohibir estas organizaciones, también tendrian que prohibir a los líderes del partido del Congreso como RahulGandhi y Chidambaram, a todos los líderes de partidos de izquierda, demócratas, personalidades conocidas, poetas, artistas en todo el país. El Tribunal Supremo de este país ha dado claramente directrices al Estado por las cuales un ciudadano pueda tener cualquier ideología política, así como fe en sus proyectos, y no pueden ser suprimidas o prohibidas por el Estado. De acuerdo con la sentencia del Tribunal Supremo, cualquier ciudadano puede creer en el marxismo-leninismo-maoísmo y también propagar sus teorías y perspectivas políticas sin ser consideradas por ello actividades ilegales. Pero el gobierno de KCR prohibió los proyectos de estas organizaciones. El verdadero motivo de la prohibición de estas organizaciones es que el gobierno formado por KCR en su segunda etapa implementa las políticas antipopulares del anterior gobierno de Andhra Pradesh unido y continúa explotando el estado. KCR prioriza los intereses de los fascistas hindúes brahmánicos y reprime a las masas combatientes, y más aún con la nueva agencia NIA (NationalInvestigation Agency). KCR está imponiendo leyes negras que suprimenla voz de los demócratas, intelectuales, trabajadores, estudiantes, campesinos, empleados, dalits, adivasi, mujeres y minorías del estado. Además, la prohibición puede ser aplicada en Andhra Pradesh,Jharkhand, Bihar, Maharashtra, Tamil Nadu, Punjab, y Haryana enfuturo próximo. Debemos condenar a los gobiernos fascistas del Estado y del país y luchar por la libertad política y el derecho que la historia nos enseñó acerca de la protección dela libertad y los derechos del individuo.

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Sorprendente y silenciosamente igual que cuando se impuso, el pasado martes 6 de Julio, la prohibición fue revocada. KCR debe de tener miedo a perder el poder al ver la imparable reacción popular contra semejante ataque a las libertades personales y derechos civiles de los acusados y las organizaciones en las que militan.

Muchos le consideran un traidor pues tras haber combatido juntos por la partición de Andra Pradesh y la creación de Telangana, su actitud desde que llego al poder en las primeras elecciones tras la partición ha sido diferente y totalmente contraria a los principios que motivaron su lucha. Se ha convertido en un ser megalomaníaco (se construyó una nueva mansión donde hasta el cuarto de baño esta blindado), sus políticas populistas cubren su fascismo creciente, en su partido impera el nepotismo y sus hijos son la prueba. Revocar la prohibición puede interpretarse de diferentes maneras, pero lo que ha quedado claro para muchos es que KCR, o está asustado o está preparándose por si el barco se hunde pues sus políticas represivas han ido de la mano de las políticas represivas del gobierno central y no es un secreto que ambos partidos pueden intercambiarse pues en estos momentos es mucho más lo que le une que lo que les separa.

Sus temores quedan reflejados en el incremento de dotaciones policiales, grupos paramilitares y la operación sustituta de Salwa Judum : Samadhan Prahar.

Ya veremos cómo termina esto, pero lo que esta claro es que el pueblo se está moviendo.

Lal Salam