Vendredi 13 janvier 2012 5 13 /01 /Jan /2012 11:51
Nous rappelons que la base d’unité pour les communistes s’exerce à travers le principe « Unité-Critique-Unité », car le but de la critique est d’accéder à une unité supérieure, dans le cas présent, au renforcement du Mouvement Communiste International.
Une polémique se déroule actuellement au niveau international à propos de la question népalaise.
Notre analyse et notre position actuelle sur la question népalaise
Tous les maoïstes ont soutenu avec enthousiasme les 10 ans de guerre populaire dirigée par le Parti Communiste du Népal (maoïste) - PCN(m).
Au fil des cinq années après les accords de paix de 2006, nous avons suivi avec attention le processus qui a amené l’ensemble du mouvement communiste à rejeter le prachandisme comme théorie révisionniste.
Les résultats aux élections (40% pour le PCN(m)) après 10 ans de guerre populaire ont retardé la prise de conscience que le révisionnisme était bien au pouvoir.
Le PCN(m) avait présenté sa démarche comme un prolongement de la guerre populaire, une phase intermédiaire pour consolider et augmenter ses effectifs, renforcer son influence dans la population et préparer l’insurrection.
Dès la signature des accords de paix, les maoïstes du monde entier ont été inquiets. Seuls les anciens révisionnistes kroutchéviens et hoxhistes, ou le révisionnisme armé, les regardaient avec bienveillance.
Le Parti Communiste d’Inde (maoïste) -PCI(m), dès les accords de paix signés, avait mis en garde sur le danger de tels accords sans pour autant rompre avec le PCN(m), ni lui enlever son soutien. En revanche, il a dénoncé la thèse du « socialisme du XXIème siècle ».
Le Parti Communiste maoïste de France -PCmF- n’a jamais fait sienne « la théorie du XXIème siècle » de Prachanda, pas plus que celle de « la nouvelle synthèse » d’Avakian.
Le PCmF, en France, avait précisé que sa participation et son soutien au Comité de Solidarité Franco-Népalais était sous réserve que le processus pour aboutir à la démocratie nouvelle aille à son terme, et pour ce faire qu’une insurrection permette de prendre le pouvoir dans tout le pays.
Devant les attaques des réactionnaires et des révisionnistes, le PCN(m) a cédé à chaque fois du terrain et s’est enfoncé dans le bourbier, abandonnant peu à peu toute perspective révolutionnaire. L’aile gauche, par souci d’unité et de peur de provoquer la scission en rompant avec Prachanda et Bhattaraï, les chefs révisionnistes qui avaient encore un grand prestige, était paralysée.
Les derniers évènements ont posé la question de la rupture complète avec le révisionnisme de Prachanda-Bhattaraï que l’aile gauche désigne comme des traîtres. La gauche n’a pour l’instant pas complètement rompu avec cette dérive, ou a estimé que le moment n’était pas encore venu pour le faire.
Cette aile gauche arrivera-t-elle à se structurer, se forger en fraction rouge dans le parti, à réorganiser le mouvement de masses et reprendre le chemin de la guerre populaire après cinq ans d’interruption, après le démantèlement des organisations populaires, la remise des armes, l’intégration en cours d’une partie de l’APL dans des tâches de gardes forestiers et la tentative de neutralisation des autres combattants par des indemnités ?
Au fil du temps la situation s’est dégradée, nos articles ont été plus évènementiels que solidaires. A travers les articles, le comité a émis au fur à mesure ses réserves et montré les contradictions au sein du PCN(m) devenu PCUN(m) pour PC Unifié du Népal (maoïste).
La condamnation de la ligne Prachanda-Bhattarai, de la dérive du PCNU(m) doit être sans appel. Notre critique doit être sévère, sans concession, sans pour autant « jeter le bébé avec l’eau du bain ».
Au niveau international, le prachandisme est le dernier avatar du révisionnisme, tout le monde est d’accord là-dessus aujourd’hui. Certains l’ont perçu dès 2006, d’autres, tout en étant inquiets, ont rompu si on peut dire par étapes, espérant un redressement possible, ce qui ne s’est pas produit.
Notre tâche internationaliste est donc de soutenir les révolutionnaires au Népal qui veulent redresser la barre et reprendre le chemin de la lutte révolutionnaire. Comme nous le disions dans notre déclaration publiée le 14 septembre 2011 : « Il y a des maoïstes au Népal qui luttent pour la révolution et nous devons les soutenir face aux liquidateurs ! »
Or l’attitude du p « c » « mlm » est de rejeter en bloc le processus au Népal en analysant le PCUN(m) comme un bloc monolithique. Il y a une lutte de ligne au sein du Parti et elle aboutira soit à une reddition totale, soit à une reprise du combat révolutionnaire. Pour l’instant, la question n’est pas encore réglée, nous verrons.
La reconstitution du Mouvement Communiste International
La reconstitution du MCI n’est pas seulement basée sur le fait d’avoir vu clair le premier sur la question népalaise. Le critère pour juger si on est vraiment communiste, c’est la pratique, la pratique au sein de la lutte de classes, en lien avec les masses.
Une polémique se déroule actuellement au niveau international à propos de la question népalaise.
Notre analyse et notre position actuelle sur la question népalaise
Tous les maoïstes ont soutenu avec enthousiasme les 10 ans de guerre populaire dirigée par le Parti Communiste du Népal (maoïste) - PCN(m).
Au fil des cinq années après les accords de paix de 2006, nous avons suivi avec attention le processus qui a amené l’ensemble du mouvement communiste à rejeter le prachandisme comme théorie révisionniste.
Les résultats aux élections (40% pour le PCN(m)) après 10 ans de guerre populaire ont retardé la prise de conscience que le révisionnisme était bien au pouvoir.
Le PCN(m) avait présenté sa démarche comme un prolongement de la guerre populaire, une phase intermédiaire pour consolider et augmenter ses effectifs, renforcer son influence dans la population et préparer l’insurrection.
Dès la signature des accords de paix, les maoïstes du monde entier ont été inquiets. Seuls les anciens révisionnistes kroutchéviens et hoxhistes, ou le révisionnisme armé, les regardaient avec bienveillance.
Le Parti Communiste d’Inde (maoïste) -PCI(m), dès les accords de paix signés, avait mis en garde sur le danger de tels accords sans pour autant rompre avec le PCN(m), ni lui enlever son soutien. En revanche, il a dénoncé la thèse du « socialisme du XXIème siècle ».
Le Parti Communiste maoïste de France -PCmF- n’a jamais fait sienne « la théorie du XXIème siècle » de Prachanda, pas plus que celle de « la nouvelle synthèse » d’Avakian.
Le PCmF, en France, avait précisé que sa participation et son soutien au Comité de Solidarité Franco-Népalais était sous réserve que le processus pour aboutir à la démocratie nouvelle aille à son terme, et pour ce faire qu’une insurrection permette de prendre le pouvoir dans tout le pays.
Devant les attaques des réactionnaires et des révisionnistes, le PCN(m) a cédé à chaque fois du terrain et s’est enfoncé dans le bourbier, abandonnant peu à peu toute perspective révolutionnaire. L’aile gauche, par souci d’unité et de peur de provoquer la scission en rompant avec Prachanda et Bhattaraï, les chefs révisionnistes qui avaient encore un grand prestige, était paralysée.
Les derniers évènements ont posé la question de la rupture complète avec le révisionnisme de Prachanda-Bhattaraï que l’aile gauche désigne comme des traîtres. La gauche n’a pour l’instant pas complètement rompu avec cette dérive, ou a estimé que le moment n’était pas encore venu pour le faire.
Cette aile gauche arrivera-t-elle à se structurer, se forger en fraction rouge dans le parti, à réorganiser le mouvement de masses et reprendre le chemin de la guerre populaire après cinq ans d’interruption, après le démantèlement des organisations populaires, la remise des armes, l’intégration en cours d’une partie de l’APL dans des tâches de gardes forestiers et la tentative de neutralisation des autres combattants par des indemnités ?
Au fil du temps la situation s’est dégradée, nos articles ont été plus évènementiels que solidaires. A travers les articles, le comité a émis au fur à mesure ses réserves et montré les contradictions au sein du PCN(m) devenu PCUN(m) pour PC Unifié du Népal (maoïste).
La condamnation de la ligne Prachanda-Bhattarai, de la dérive du PCNU(m) doit être sans appel. Notre critique doit être sévère, sans concession, sans pour autant « jeter le bébé avec l’eau du bain ».
Au niveau international, le prachandisme est le dernier avatar du révisionnisme, tout le monde est d’accord là-dessus aujourd’hui. Certains l’ont perçu dès 2006, d’autres, tout en étant inquiets, ont rompu si on peut dire par étapes, espérant un redressement possible, ce qui ne s’est pas produit.
Notre tâche internationaliste est donc de soutenir les révolutionnaires au Népal qui veulent redresser la barre et reprendre le chemin de la lutte révolutionnaire. Comme nous le disions dans notre déclaration publiée le 14 septembre 2011 : « Il y a des maoïstes au Népal qui luttent pour la révolution et nous devons les soutenir face aux liquidateurs ! »
Or l’attitude du p « c » « mlm » est de rejeter en bloc le processus au Népal en analysant le PCUN(m) comme un bloc monolithique. Il y a une lutte de ligne au sein du Parti et elle aboutira soit à une reddition totale, soit à une reprise du combat révolutionnaire. Pour l’instant, la question n’est pas encore réglée, nous verrons.
La reconstitution du Mouvement Communiste International
La reconstitution du MCI n’est pas seulement basée sur le fait d’avoir vu clair le premier sur la question népalaise. Le critère pour juger si on est vraiment communiste, c’est la pratique, la pratique au sein de la lutte de classes, en lien avec les masses.
« Le point de vue de la pratique, c’est le point de vue premier, fondamental de la théorie matérialiste-dialectique de la connaissance. »
Marx, Thèses sur Feuerbach, printemps 1845
Marx, Thèses sur Feuerbach, printemps 1845
« La pratique est supérieure à la connaissance (théorique), car elle a la dignité non seulement du général, mais aussi du réel immédiat. »
Lénine, Matérialisme et empiriocritisisme, second semestre 1908, chapitre II, section 6
« Si l’on veut acquérir des connaissances, il faut prendre part à la pratique qui transforme la réalité. Si l’on veut connaître le goût d’une poire, il faut la transformer en la goûtant…Si l’on veut connaître la théorie et les méthodes de la révolution, il faut prendre part à la révolution. »
Mao Zedong, De la pratique, in 5 essais philosophiques, page 9
« Celui qui nie la participation personnelle à la pratique destinée à transformer la réalité, n’est pas un matérialiste…Il y a un vieux proverbe chinois « Sans entrer dans la tanière du tigre, comment capturer ses petits »…La connaissance coupée de la pratique est inconcevable »
Mao Zedong, De la pratique, in 5 essais philosophiques, page 10
Lénine, Matérialisme et empiriocritisisme, second semestre 1908, chapitre II, section 6
« Si l’on veut acquérir des connaissances, il faut prendre part à la pratique qui transforme la réalité. Si l’on veut connaître le goût d’une poire, il faut la transformer en la goûtant…Si l’on veut connaître la théorie et les méthodes de la révolution, il faut prendre part à la révolution. »
Mao Zedong, De la pratique, in 5 essais philosophiques, page 9
« Celui qui nie la participation personnelle à la pratique destinée à transformer la réalité, n’est pas un matérialiste…Il y a un vieux proverbe chinois « Sans entrer dans la tanière du tigre, comment capturer ses petits »…La connaissance coupée de la pratique est inconcevable »
Mao Zedong, De la pratique, in 5 essais philosophiques, page 10
Bien sûr, au début du regroupement communiste, il faut se délimiter comme disait Lénine, souvent au cours d’un processus complexe, plus ou moins long. Cependant, on ne se délimite pas en chambre mais en vérifiant la justesse de la théorie à travers la pratique de la lutte de classe, avec les masses pour apprendre d’elles.
L'attaque du p "c" "mlm" contre le PCmF
Se servant de la lutte contre le révisionnisme prachandisme le p «c» «mlm» a engagé une violente attaque contre le courant qu’il baptise « centriste » et contre notre Parti. Ceux qui donnent des leçons en France pourraient être plus modestes car ils sont passés eux-mêmes par un cheminement tortueux, certains reviennent de loin. Cette lutte a pris un tour particulièrement aigu à partir d’une attaque ridicule et dérisoire contre une lettre d’hommage au camarade Kinsenji (voir à ce sujet Assassinat du Camarade Kishenji : le fiel réactionnaire des cybers-"maoïstes" ).
Le maoïsme en kit sur Internet
L'attaque du p "c" "mlm" contre le PCmF
Se servant de la lutte contre le révisionnisme prachandisme le p «c» «mlm» a engagé une violente attaque contre le courant qu’il baptise « centriste » et contre notre Parti. Ceux qui donnent des leçons en France pourraient être plus modestes car ils sont passés eux-mêmes par un cheminement tortueux, certains reviennent de loin. Cette lutte a pris un tour particulièrement aigu à partir d’une attaque ridicule et dérisoire contre une lettre d’hommage au camarade Kinsenji (voir à ce sujet Assassinat du Camarade Kishenji : le fiel réactionnaire des cybers-"maoïstes" ).
Le maoïsme en kit sur Internet
Le p « c » « mlm » n’est présent que sur Internet, il n’a aucune pratique. Aucun ouvrier, aucun membre d’associations, aucun progressiste, ne l’a vu dans la rue à leurs côtés ! Et pour cause, il n’est jamais sur le terrain de la lutte de classe, ni dans les manifestations, ni aux portes des entreprises, ni dans la participation aux luttes pour y diffuser l’idéologie dont il se réclame, qu’il prétend défendre.
Attaques provocatrices contre les masses en lutte
contre les paysans producteurs de lait en lutte, les traitant de réactionnaires, oubliant que le mouvement maoïste et la Gauche Prolétarienne en particulier avaient organisé les longues marches en solidarité avec les paysans qui menaient la guerre du lait en Bretagne, comme Jean Carel à Pontivy.
contre les ouvriers en grève, parce dans l’impossibilité d’empêcher la fermeture d’une usine, parce qu’ils essaient de négocier au mieux les indemnités de licenciements (voir particulièrement notre article Provocations du P"c""mlm" contre la classe ouvrière ).
contre les militants « petit-bourgeois » traités de fascistes alors qu’ils dénonçaient l’attaque d’une librairie par un groupe fasciste-sioniste.
contre les militants qui soutiennent le peuple palestinien traités d’antisémites. Le p « c » « mlm » pratique l’amalgame sous prétexte qu’il existe quelques groupes qui, sous couvert d’antisionisme, sont des antisémites avérés. Cela revient à faire déconsidérer le soutien au peuple palestinien et renforce la propagande contre les musulmans, c'est-à-dire apporte de l’eau au moulin du FN qu’ils prétendent dénoncer.
Attaques contre le mouvement maoïste (liste non exhaustive)
contre « L’Hommage unitaire à Kishenji » signé par plusieurs partis et organisations maoïstes (dont notre Parti). Le p « c » « mlm » avait auparavant donné des leçons au PC d’Inde (maoïste) dans leur hypocrite « Hommage à Kishenji ».
contre la Revue « Maoist Road ».
contre le tract du Ier Mai 2011, signé par le PC du Bhoutan (MLM), le PCR du Canada, Le Comité de Lutte Populaire Manuel Bello (Espagne/Galice), le PC maoïste de France, le PC d’Inde (maoïste), le PCI (ML) Naxalbari, le PCUN (maoïste), le PC maoïste d’Italie, le PC maoïste de Turquie/ Nord Kurdistan et le Mouvement Communiste Maoïste de Tunisie.
contre le défilé du 1er Mai 2006 organisé à Paris par les PC maoïste de France, d’Italie et de Turquie/Nord Kurdistan sous prétexte de défiler à visage découvert.
contre le PC maoïste d’Italie qui ne ménage pas ses efforts pour la reconstitution du MCI.
contre le PC Révolutionnaire du Canada, parce qu’il ne se préoccuperait pas des bébés phoques, et qu’ainsi il ne s’occuperait pas des problèmes de son pays, de la biosphère « cheval de bataille » du p «c» «mlm» sur la voie lactée où il plane avant qu’il ne tombe dans un trou noir. Le PCR, à notre connaissance, s’occupe de l’environnement, de la biosphère, en combattant contre l’extraction des schistes bitumeux, lié aux masses ouvrières, mais aussi aux minorités nationales Inuits, en menant la lutte antifasciste etc., toutes activités concrètes que ne mènent pas dans la pratique nos théoriciens en chambre.
contre le PC maoïste de France qui a été créé en septembre 2001, avant le p « c » « mlm » (2003). Il faut rappeler que le 1er mai 1999, l’ORPCF (ancêtre du PCmF) et Front Social (ancêtre du p « c » « mlm ») avaient signé un tract commun. Un mois après, l’ORPCF proposa de faire un autre tract commun pour la jeunesse, à distribuer lors d’une manifestation de jeunes à l’initiative du MIB. Front Social s’est défilé en prétextant qu’il fallait mettre le portrait de Che Guevara parce que les jeunes aiment bien Guevara. Qui aurait compris qu’un tract des maoïstes mette en avant Guevara ? Comme opportunisme on ne fait pas mieux ! Pour autant ce tract n’était pas un préalable pour nous. Pour nous battre pour l’unité, nous avions décidé de renforcer le Secours Rouge. Front Social s’est servi de ce prétexte pour rompre les discussions au grand dam du PC maoïste d’Italie et d’autres partis qui encourageaient ce rapprochement.
Attaque à peu près tous les partis et organisations maoïstes menant concrètement la lutte de classe et la guerre populaire, y compris le PCP à qui il donnait des leçons, comme aujourd’hui il en donne au PC d’Inde (maoïste), distribuant bons points et blâmes comme un professeur d’école.
Sur l'économie
Le p « c » « mlm » désigne Sarkozy comme le représentant de la bourgeoisie industrielle, niant « le stade suprême du capitalisme » et déformant Lénine qui définit cette époque comme celle où le capital industriel a fusionné avec le capital bancaire pour former le capital financier qui domine toute l’économie. Sarkozy, comme tout dirigeant d’un pays impérialiste, dirige, soutient et défend le système dominé par ce capital financier. Quelle que soit la couleur politique d’un dirigeant national, il est choisi pour cela.
Un exemple de cette grossière erreur est la promesse de Sarkozy de « pérenniser l’activité » du site de l’usine ArcelorMittal de Gandrange faite aux ouvriers alors qu’il ne pouvait ignorer les plans de liquidation de la multinationale. Sarkozy a simplement rassuré, calmé les ouvriers, pour qu’ils ne se révoltent pas, faisant croire qu’il faisait son possible pour résoudre le problème. L’exemple de Gandrange montre bien que Sarkozy est en dernière analyse le représentant du capital financier. Cet exemple montre également que le p « c » « mlm » veut, lui aussi, mystifier les ouvriers en faisant croire que Sarkozy serait le représentant de la bourgeoisie industrielle. Aujourd’hui, à côté de l’usine de Gandrange, les ouvriers ont déposé une plaque commémorative « Ici reposent promesses de Nicolas Sarkozy ».
Sur le processus de transformation de l'appareil d'Etat
Depuis 1973, la crise n’a cessé de s’approfondir. Des mesures de restructurations économiques et sociales n’ont pas cessé et ont considérablement détérioré les conditions de vie de la classe ouvrière et des masses populaires. Elles ont été préparées idéologiquement par des matraquages idéologiques pour obtenir une résignation et un contrôle relatif de la colère et du risque de soulèvement des masses.
Bien qu’il n’y ait plus de camp socialiste et malgré le tampon protecteur que constituent aujourd’hui les partis, organisations et syndicats réformistes, la bourgeoisie sent le sol se dérober sous ses pieds et l’indignation, la colère, la révolte grondent dans tous les pays, y compris aux USA, Russie, Chine. La révolte des masses dans les pays arabes a été un avertissement.
La bourgeoisie, pour défendre son système économique, se dote d’une justice et d’une police de plus en plus répressives. La bourgeoisie modifie, vote de nouvelles lois dans le domaine administratif, judiciaire, social, pénal, etc.
Ce processus régressif, que certains appellent fascisation, est suffisamment avancé pour être qualifié de fascisme moderne. La croissance du Front National est l’expression la plus avancée du fascisme moderne, sa pointe avancée. Le fascisme ne peut être la reproduction exacte du précédent.
Les groupes néo-nazis et néofascistes en sont l’expression minoritaire extrême et sont plutôt formés comme éléments provocateurs. En fait, le fascisme moderne est composé de divers éléments, comme une poupée russe.
Le parti soit disant mlm nie ce processus et prétend que c’est uniquement le Front National qui est le représentant du capital financier.
Le fascisme, selon la formule juste de Dimitrov, « est le capital financier lui-même », son représentant le plus réactionnaire. Si le FN est l’aile la plus réactionnaire, pour autant Sarkozy n’est pas le représentant du capital industriel mais le représentant du capital financier d’aujourd’hui. Il a mis en route les bases du fascisme moderne.
La construction du fascisme aujourd’hui suit un processus complexe et monte sous différentes formes, piloté par des équipes gouvernementales variées. Ex : gouvernement de droite tendant la main à d’autres formations en France, alliance gauche-droite-extrême droite en Grèce, droite et extrême droite en Hongrie, etc.
Le p « c » « mlm » attaque ce concept et ceux qui le définissent : le PC maoïste d’Italie et de France et d’autres. Il se justifie par le fait que ce concept a été avancé dans le dossier « Nouveau Fascisme, Nouvelle Démocratie » du n° 131 de la revue « les Temps Modernes » dans les années 70 par Glucksmann, hier maoïste de la Gauche Prolétarienne (GP), aujourd’hui virulent anticommuniste, serviteur dans le domaine « philosophique » de la bourgeoisie.
En citant insidieusement Glucksman, le p « c » « mlm » cherche à discréditer la GP qu’il prétend défendre et démolir le maoïsme et son histoire. Le dossier « Nouveau Fascisme, Nouvelle Démocratie » posait le problème et montrait le début du processus qui a bien avancé aujourd’hui.
Glucksman a changé, le fascisme moderne s’est développé.
Le côté positif de la GP, au-delà de ses erreurs et défauts, c’était sa pratique de masses. Le p « c » « mlm », lui n’a aucune pratique et n’est pas habilité de ce fait à critiquer la Gauche Prolétarienne et donner la leçon au PC maoïste de France.
Dans la page de son site sur l’histoire de la GP, dans la partie consacrée à la Nouvelle Cause du Peuple, il cite divers textes théoriques, mais oublie comme par hasard les articles relevant de la pratique comme la lutte chez Sanders, ou la lutte à la Faser à Bourges, luttes que nous avions impulsé à cette époque. Significatif ! Reflet du mépris qu’il affiche pour la pratique.
Sur la question de Staline
Le p « c » « mlm » prétend que nous ne défendons pas Staline. Il cache que nous avons publié le « Manuel d’Economie Politique » qu’il a publié en plusieurs parties à partir de l’exemplaire papier que nous lui avons prêté en 1999 (et qu’il publie aujourd’hui à partir de la version piochée sur communisme-bolchevisme.net). Nous avons en outre publié les ouvrages suivants de Staline : « Perspectives de la révolution en Chine », « les Principes du Léninisme », « le Marxisme et la Révolution Nationale », « Sur la Guerre patriotique », « Questions/Réponses », « Le Matérialisme dialectique », « Problèmes économiques du socialisme en URSS », « Biographie », « Trotskisme ou léninisme » et bien d’autres articles, revues, livres, dans le Drapeau Rouge, etc.
La position du PCmF est claire par rapport à Staline, elle est conforme à celle de Mao Zedong, dans « La question de Staline ». Notre attitude envers le mouvement communiste est claire comme elle l’est en général pour les maoïstes. Nous assumons notre histoire. Le camarade Staline a défendu le léninisme, a construit le socialisme dans des conditions difficiles, a lutté contre les positions anti-léninistes des trotskistes, a organisé la lutte contre l’occupant hitlérien et a été un des principaux protagonistes de la victoire contre le nazisme, a aidé à la constitution d’un bloc socialiste et aidé le Parti Communiste de Chine. Nous devons recueillir l’héritage de Staline comme celui de Marx et d’Engels, de Lénine et de Mao Zedong.
Ce ne sont ni Staline, ni Mao qui ont restauré le capitalisme. Staline lui-même a dit à ses successeurs : « Vous allez vendre l’Union soviétique à l’impérialisme ». Mao lui-même a dit « qu’il était assez facile de restaurer le capitalisme ». Aussi les maoïstes aujourd’hui doivent aussi examiner les erreurs et les insuffisances, qui pour la plupart étaient inévitables faute d’expérience préalable, pour éviter de les reproduire. Ne pas le faire c’est ne pas être maoïste !
Il n’y a pas de vérité éternelle, de définition éternelle. La rupture dans l’évolution continue, par un bond qualitatif, s’appelle révolution. Mais les formes de la révolution, les moyens mis en œuvre pour la réaliser, ne peuvent être exactement les mêmes, pas plus que les moyens de l’adversaire, de l’ennemi pour s’y opposer, les formes varient en relation avec l’espace-temps. C’est pour cela qu’une révolution ne peut se reproduire à l’identique à une époque donnée et à une autre, dans un pays donné ou dans un autre sans tenir compte des spécificités de chaque époque, de chaque pays, peuple, conditions de vie, d’exploitation etc.
Sur le plan scientifique
Le p « c » « mlm » prétend détenir la vérité dans tous les domaines, être le parti de la science.
Le p « c » « mlm » désigne Sarkozy comme le représentant de la bourgeoisie industrielle, niant « le stade suprême du capitalisme » et déformant Lénine qui définit cette époque comme celle où le capital industriel a fusionné avec le capital bancaire pour former le capital financier qui domine toute l’économie. Sarkozy, comme tout dirigeant d’un pays impérialiste, dirige, soutient et défend le système dominé par ce capital financier. Quelle que soit la couleur politique d’un dirigeant national, il est choisi pour cela.
Un exemple de cette grossière erreur est la promesse de Sarkozy de « pérenniser l’activité » du site de l’usine ArcelorMittal de Gandrange faite aux ouvriers alors qu’il ne pouvait ignorer les plans de liquidation de la multinationale. Sarkozy a simplement rassuré, calmé les ouvriers, pour qu’ils ne se révoltent pas, faisant croire qu’il faisait son possible pour résoudre le problème. L’exemple de Gandrange montre bien que Sarkozy est en dernière analyse le représentant du capital financier. Cet exemple montre également que le p « c » « mlm » veut, lui aussi, mystifier les ouvriers en faisant croire que Sarkozy serait le représentant de la bourgeoisie industrielle. Aujourd’hui, à côté de l’usine de Gandrange, les ouvriers ont déposé une plaque commémorative « Ici reposent promesses de Nicolas Sarkozy ».
Sur le processus de transformation de l'appareil d'Etat
Depuis 1973, la crise n’a cessé de s’approfondir. Des mesures de restructurations économiques et sociales n’ont pas cessé et ont considérablement détérioré les conditions de vie de la classe ouvrière et des masses populaires. Elles ont été préparées idéologiquement par des matraquages idéologiques pour obtenir une résignation et un contrôle relatif de la colère et du risque de soulèvement des masses.
Bien qu’il n’y ait plus de camp socialiste et malgré le tampon protecteur que constituent aujourd’hui les partis, organisations et syndicats réformistes, la bourgeoisie sent le sol se dérober sous ses pieds et l’indignation, la colère, la révolte grondent dans tous les pays, y compris aux USA, Russie, Chine. La révolte des masses dans les pays arabes a été un avertissement.
La bourgeoisie, pour défendre son système économique, se dote d’une justice et d’une police de plus en plus répressives. La bourgeoisie modifie, vote de nouvelles lois dans le domaine administratif, judiciaire, social, pénal, etc.
Ce processus régressif, que certains appellent fascisation, est suffisamment avancé pour être qualifié de fascisme moderne. La croissance du Front National est l’expression la plus avancée du fascisme moderne, sa pointe avancée. Le fascisme ne peut être la reproduction exacte du précédent.
Les groupes néo-nazis et néofascistes en sont l’expression minoritaire extrême et sont plutôt formés comme éléments provocateurs. En fait, le fascisme moderne est composé de divers éléments, comme une poupée russe.
Le parti soit disant mlm nie ce processus et prétend que c’est uniquement le Front National qui est le représentant du capital financier.
Le fascisme, selon la formule juste de Dimitrov, « est le capital financier lui-même », son représentant le plus réactionnaire. Si le FN est l’aile la plus réactionnaire, pour autant Sarkozy n’est pas le représentant du capital industriel mais le représentant du capital financier d’aujourd’hui. Il a mis en route les bases du fascisme moderne.
La construction du fascisme aujourd’hui suit un processus complexe et monte sous différentes formes, piloté par des équipes gouvernementales variées. Ex : gouvernement de droite tendant la main à d’autres formations en France, alliance gauche-droite-extrême droite en Grèce, droite et extrême droite en Hongrie, etc.
Le p « c » « mlm » attaque ce concept et ceux qui le définissent : le PC maoïste d’Italie et de France et d’autres. Il se justifie par le fait que ce concept a été avancé dans le dossier « Nouveau Fascisme, Nouvelle Démocratie » du n° 131 de la revue « les Temps Modernes » dans les années 70 par Glucksmann, hier maoïste de la Gauche Prolétarienne (GP), aujourd’hui virulent anticommuniste, serviteur dans le domaine « philosophique » de la bourgeoisie.
En citant insidieusement Glucksman, le p « c » « mlm » cherche à discréditer la GP qu’il prétend défendre et démolir le maoïsme et son histoire. Le dossier « Nouveau Fascisme, Nouvelle Démocratie » posait le problème et montrait le début du processus qui a bien avancé aujourd’hui.
Glucksman a changé, le fascisme moderne s’est développé.
Le côté positif de la GP, au-delà de ses erreurs et défauts, c’était sa pratique de masses. Le p « c » « mlm », lui n’a aucune pratique et n’est pas habilité de ce fait à critiquer la Gauche Prolétarienne et donner la leçon au PC maoïste de France.
Dans la page de son site sur l’histoire de la GP, dans la partie consacrée à la Nouvelle Cause du Peuple, il cite divers textes théoriques, mais oublie comme par hasard les articles relevant de la pratique comme la lutte chez Sanders, ou la lutte à la Faser à Bourges, luttes que nous avions impulsé à cette époque. Significatif ! Reflet du mépris qu’il affiche pour la pratique.
Sur la question de Staline
Le p « c » « mlm » prétend que nous ne défendons pas Staline. Il cache que nous avons publié le « Manuel d’Economie Politique » qu’il a publié en plusieurs parties à partir de l’exemplaire papier que nous lui avons prêté en 1999 (et qu’il publie aujourd’hui à partir de la version piochée sur communisme-bolchevisme.net). Nous avons en outre publié les ouvrages suivants de Staline : « Perspectives de la révolution en Chine », « les Principes du Léninisme », « le Marxisme et la Révolution Nationale », « Sur la Guerre patriotique », « Questions/Réponses », « Le Matérialisme dialectique », « Problèmes économiques du socialisme en URSS », « Biographie », « Trotskisme ou léninisme » et bien d’autres articles, revues, livres, dans le Drapeau Rouge, etc.
La position du PCmF est claire par rapport à Staline, elle est conforme à celle de Mao Zedong, dans « La question de Staline ». Notre attitude envers le mouvement communiste est claire comme elle l’est en général pour les maoïstes. Nous assumons notre histoire. Le camarade Staline a défendu le léninisme, a construit le socialisme dans des conditions difficiles, a lutté contre les positions anti-léninistes des trotskistes, a organisé la lutte contre l’occupant hitlérien et a été un des principaux protagonistes de la victoire contre le nazisme, a aidé à la constitution d’un bloc socialiste et aidé le Parti Communiste de Chine. Nous devons recueillir l’héritage de Staline comme celui de Marx et d’Engels, de Lénine et de Mao Zedong.
Ce ne sont ni Staline, ni Mao qui ont restauré le capitalisme. Staline lui-même a dit à ses successeurs : « Vous allez vendre l’Union soviétique à l’impérialisme ». Mao lui-même a dit « qu’il était assez facile de restaurer le capitalisme ». Aussi les maoïstes aujourd’hui doivent aussi examiner les erreurs et les insuffisances, qui pour la plupart étaient inévitables faute d’expérience préalable, pour éviter de les reproduire. Ne pas le faire c’est ne pas être maoïste !
Il n’y a pas de vérité éternelle, de définition éternelle. La rupture dans l’évolution continue, par un bond qualitatif, s’appelle révolution. Mais les formes de la révolution, les moyens mis en œuvre pour la réaliser, ne peuvent être exactement les mêmes, pas plus que les moyens de l’adversaire, de l’ennemi pour s’y opposer, les formes varient en relation avec l’espace-temps. C’est pour cela qu’une révolution ne peut se reproduire à l’identique à une époque donnée et à une autre, dans un pays donné ou dans un autre sans tenir compte des spécificités de chaque époque, de chaque pays, peuple, conditions de vie, d’exploitation etc.
Sur le plan scientifique
Le p « c » « mlm » prétend détenir la vérité dans tous les domaines, être le parti de la science.
Il avance la thèse de l’inéluctable marche vers le communisme de l’Univers et d’autres déclarations délirantes du même acabit.
Il confond souvent les hypothèses et les lois avérées qui sont d’ailleurs relatives aux connaissances acquises, complétées, modifiées ou rendues obsolètes par de nouvelles découvertes.
Il se prend pour le nouvel Engels et le théoricien d’une « nouvelle » « Dialectique de la Nature ». Il est vrai que le p « c » « mlm » est plus mégalomane que modeste.
Qu’il s’en tienne à la vulgarisation de thèses scientifiques ou indique les meilleures vulgarisations mais un peu de modestie et de prudence en matière de science ou de jugement culturel.
Conclusion
Nous ne saurions confondre ce parti avec ceux qui, dans différents pays, cherchent leur voie, essaient de construire en théorie mais aussi en pratique avec les masses, en leur sein, le parti dont elles ont besoin.
Que vise le p « c » « mlm » en menant ces attaques ?
La critique du révisionnisme, de ses différentes formes, du prachandisme qui n’en est qu’un avatar, ne doit pas être utilisée contre la reconstitution des partis, pour masquer l’absence totale de pratique d’un « parti » « mlm » comme celui qui sévit en France. Au contraire, la lutte de lignes doit permettre d’aider à un mouvement général de rectification dans le mouvement communiste.
Les masses réclament l’Unité, c’est pourquoi dans la situation où l’affrontement général entre la classe ouvrière et la bourgeoisie approche, plus que jamais, la méthode « Unité-Critique-Unité » est la seule valable.
Cette attaque n’est pas due au hasard mais intervient juste au moment où les initiatives pour la reconstitution du Mouvement Communiste International sont en marche et où de nombreux pas ont été faits dans ce sens :
Conclusion
Nous ne saurions confondre ce parti avec ceux qui, dans différents pays, cherchent leur voie, essaient de construire en théorie mais aussi en pratique avec les masses, en leur sein, le parti dont elles ont besoin.
Que vise le p « c » « mlm » en menant ces attaques ?
La critique du révisionnisme, de ses différentes formes, du prachandisme qui n’en est qu’un avatar, ne doit pas être utilisée contre la reconstitution des partis, pour masquer l’absence totale de pratique d’un « parti » « mlm » comme celui qui sévit en France. Au contraire, la lutte de lignes doit permettre d’aider à un mouvement général de rectification dans le mouvement communiste.
Les masses réclament l’Unité, c’est pourquoi dans la situation où l’affrontement général entre la classe ouvrière et la bourgeoisie approche, plus que jamais, la méthode « Unité-Critique-Unité » est la seule valable.
Cette attaque n’est pas due au hasard mais intervient juste au moment où les initiatives pour la reconstitution du Mouvement Communiste International sont en marche et où de nombreux pas ont été faits dans ce sens :
le meeting de Paris du 10 octobre sur les révoltes arabes ;
la sortie de la revue internationale Maoist Road ;
la constitution du Comité International de Soutien à la Guerre Populaire en Inde ;
la semaine internationale de soutien à la Guerre Populaire en Inde ;
la journée internationale de solidarité avec les prisonniers politiques maoïstes marocains relayée en France unitairement par de nombreuses organisations (AGEN, Comité Anti-Impérialiste, Coup Pour Coup 31, Coup Pour Coup 87, FSE, La Cause du Peuple, Libertat, OCML-VP, PC maoïste de France, PC maoïste - Italie, PCR Canada, Secours Rouge Arabe, Secours Rouge de Belgique) ;
la constitution, en France, du Comité Anti-Impérialiste avec les camarades de l’AGEN.
Comme un avertissement !
Que ce prétendu parti maoïste laisse la lutte de ligne se mener pour résoudre les problèmes que le prolétariat de notre pays a à résoudre, que la nécessaire décantation idéologique se fasse pour que les maoïstes se réunissent dans un seul parti. Qu’ils se contentent de continuer à faire ce qu’ils sont capables de faire : compiler les textes et classiques. Alors ils seront utiles et pourront aider au renforcement du Parti en France et à celui du MCI.
Qu’il arrête ses provocations contre le mouvement communiste international en essayant de le diviser, qu’il cesse ses attaques contre Maoist Road dont le but n’est pas de sauver le bébé, mais de « jeter le bébé avec l’eau du bain ».
Comme l’a dit Mao Zedong, « Certains soulèvent des pierres pour se les laisser retomber sur les pieds ». C’est ce qui va arriver à cette secte si elle ne change pas.
Nous ne saurions confondre la lutte de ligne honnête de groupes ou partis dans différents pays, leurs tentatives pour rassembler les maoïstes et édifier le Parti d'avec les attaques provocatrices du p "c" "mlm" coupé des masses qui sévit chez nous. C'est le cours normal du processus de décantation de notre mouvement.
Pour finir : Ce parti prétend être le seul à faire connaître et défendre les grandes figures du mouvement communiste. Il feint d’ignorer nos écrits et publications tant sur papier que sur Internet, sans compter les tables de presse que nous tenons régulièrement dans les manifestations de rue et meetings, les centaines de tracts différents diffusés, les œuvres des auteurs classiques, les citations dans nos publications et tracts, etc.
Nous sommes à la disposition de nos lecteurs, de nos correspondants, de nos contacts, des lecteurs de Maoist Road, de la Cause du Peuple, de Drapeau Rouge, des progressistes, des associations et organisations, du Mouvement Communiste International, des révolutionnaires et de tous les maoïstes qui veulent participer à la reconstitution du Parti dans leur pays et à la reconstitution du mouvement communiste international, pour leur fournir les informations dont ils ont besoin. Chacun pourra ainsi participer de façon constructive à la décantation du mouvement communiste, ouvrier et populaire qui nous fait défaut pour affronter la citadelle économique, politique, idéologique, culturelle et scientifique, défendue becs et ongles par les impérialistes et leurs alliés conciliateurs dans les pays dominants et leurs « chiens de garde » dans les pays opprimés.
Ce travail de décantation est nécessaire pour donner au prolétariat et aux peuples du monde les instruments et moyens dont ils ont besoin pour mener la guerre populaire prolongée contre le capitalisme et l’impérialisme jusqu’à l’élimination de ce système dans le monde entier. Cela ne peut se réaliser qu’en lien avec les luttes des masses, dans le feu de la lutte de classe, et pas seulement sur Internet, coupé des masses.
PC maoïste de France
Janvier 2012
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