Friday, March 29, 2019

contre la repression des gilets jaunes - contre la repression des luttes ouvrieres et populaires in Europe - Soccorso rosso proletario - Italie pour une large campaigne




1 mai in Bruxelles

Alliance du 1er Mai Révolutionnaire si trova qui: Bruxelles.
Tou.te.s dans la rue pour le 1er Mai Révolutionnaire ! Luttons contre le fascisme, le racisme et le patriarcat, contre le capitalisme et ses États ! Solidarité avec les peuples en lutte, avec les travailleuses et travailleurs en lutte, avec les 

USA blog for Ajith 'We affirm that making revolution is no crime and add our voice to those demanding his release.



By Ed Dalton

....Sixty-five-year-old Comrade Ajith has been in prison for four years, based on accusations that he belongs to the illegal and clandestine Communist Party of India (Maoist), which carries out Protracted People’s War against the old decaying reactionary Indian state.
Ajith is well known for his polemic against the politics of the arch-revisionist Revolutionary Communist Party USA titled “Against Avakianism”, as well as his role as a theorist in the Revolutionary International Movement. As a prominent Indian intellectual and revolutionary ideologue, he has worked as an editor on important revolutionary publications such as the People’s March and A World to Win magazine.

During his incarceration at Yerawada Central Jail, Comrade Ajith was denied medical attention and not allowed to see a cardiologist in spite of his known heart condition. This is an example of the reactionary Hindu-fascist run state attempting to genocide political prisoners and especially eliminate anyone they identify as a leader of the undefeatable People’s War.
His fascist capturers deny him medical care, in violation of the Indian constitution, undeterred and in spite of increasing international condemnation.
Ajith, not having been convicted of any crime at all has suffered greatly at the hands of reaction for the past four years. Incendiary extends solidarity to Comrade Ajith, and all who will dare to rise and struggle in his defense. We affirm that making revolution is no crime and add our voice to those demanding his release.

Do not stop Ajith's campaign - free all political prisoners in India - ICSPWI Italy


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Rome, Indian Embassy Free Ajith! To be a revolutionary Intellectual of CPI Maoist is not a crime! Ajith, for 40 years serving the Indian masses and the Naxalite revolution, must be released!
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Rome: Freedom for Indian political orisoners! Solidarity with the workers struggles in India! Stop “Green Hunt”
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Rome, Indian Embassy; Ajith, internationalist Maoist, must be released!
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Rome
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Rome, the Banner of MFPR
Rome
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Rome

ISKRA - Canadà - Déclaration de la rédaction #2 – La reconstruction du parti

En effet, depuis 2017, nous sommes engagés dans un processus que nous appelons la reconstruction de notre Parti. Nous parlons bien de reconstruction du PCR, car la scission avec les opportunistes canadiens a fait perdre au Parti des effectifs et du territoire. Sur bien des aspects, la scission que nous avons connue nous a forcé à faire un pas de côté Elle nous a obligés à accepter comme un fait objectif la lutte politique traversant désormais le mouvement maoïste canadien, lutte rendant possibles une multitude de transformations pouvant nous permettre de rebondir et de regagner le chemin perdu. Cette lutte politique a ouvert une voie qui autrement aurait été inaccessible. Aussi, le fait d’accepter de mener la lutte est venu avec l’obligation, à terme, de revenir plus forts que nous l’avons été dans le passé.
L’idée de reconstruction d’un parti communiste est liée à une conception véritable reposant sur des expériences concrètes et précieuses de l’histoire de notre mouvement. Récemment, ce terme a d’ailleurs pris une importance renouvelée dans le mouvement international. Cela est normal car le mot d’ordre de la reconstruction est inspirant : il représente l’objectif et l’espoir largement partagés de revoir un essaim de partis communistes bouleverser le monde comme nous l’avons vu au 20e siècle. Il s’agit d’une sorte de cri de ralliement convoquant tous ceux et toutes celles qui ont choisi de continuer la lutte malgré tous les dangers et tous les défis. Reconstruisons! Unissons-nous sous ce mot d’ordre en nous rappelant qu’il n’y a aucun obstacle infranchissable, peu importe l’état de destruction dans lequel le camp de la révolution peut momentanément se trouver! Rangeons-nous derrière cet appel pour traverser les périodes difficiles avec patience et assurance, qualités que seul le fait de lutter pour une cause juste peut conférer!
La reconstruction dans l’histoire : continuer ou abandonner la lutte lors des moments décisifs
La notion de reconstruction est un aspect de la théorie ayant des assises variées dans l’histoire du prolétariat révolutionnaire. L’expérience qui en a fourni les bases fondamentales est sans contredit celle de la lutte contre le révisionnisme moderne. Après la Seconde Guerre mondiale, de larges fractions des partis communistes, qui ont été mis sur pied dans la foulée de la Révolution bolchévique et de la création de l’Internationale communiste, dévient lentement de la voie révolutionnaire. La lutte contre cette déviation révisionniste ouvre une période complexe pendant laquelle ont lieu de nombreuses scissions et de nombreuses expulsions dans les différents partis. À ce moment, les communistes doivent faire le choix entre nier la lutte de lignes avec la droite de leur parti ou bien l’assumer et la mener à terme. Il n’est pas rare que ceux et celles qui font ce choix difficile sont largement minoritaires. Décider de mener le combat implique donc de perdre une quantité souvent considérable d’effectifs et de gains organisationnels pour préserver les forces révolutionnaires de la liquidation de la révolution. Il s’agit parfois d’une perte monumentale. Les révolutionnaires doivent alors reprendre l’initiative et rebâtir l’organisation. La période suivant ces moments de rupture est alors habituellement qualifiée de période de reconstruction ou encore de réorganisation.

Brief der Angeklagten im TKP/ML Prozess zum Tag der politischen Gefangenen

Wir dokumentieren hier den Brief zweier Angeklagter im sogenannten TKP/ML Prozess, der von ihnen anlässlich des internationalten Tags der politischen Gefangenen verfasst wurde und den unsere Redaktion per Mail erhalten hat. Beide Verfasser befanden sich zum Zeitpunkt der Verfassung in einem 5-tägigen Hungerstreik in Solidarität mit Leyla Güvens:
Liebe Genossinnen und Genossen, Liebe Mitstreiterinnen und Mitstreiter,
 
die mit vom Herzen den Kampf für Freiheit, Revolution und Sozialismus führen,  als kommunistische Gefangene begrüssen wir Euch aus den Gefängnissen des imperialistischen Deutschlands mit innigen revolutionären Gefühlen.
Heute, am 18. März, ist der Tag der Solidarität mit politischen Gefangenen. Wir haben seit bald vier Jahren Eure Solidarität stets an unserer Seite gefühlt, sie hat uns viel Kraft gegeben. Tausend Dank dafür.

PCm Italy VIVA LA TERZA INTERNAZIONALE COMUNISTA -

pc 29 marzo - oggi a Ravenna Celebrazione del centenario della fondazione della terza internazionale comunista


INTERVENTO DI PROLETARI COMUNISTI/PCm ITALIA



EE.UU.: Solidarity Statement from the US Coalition to Free Professor G.N. Saibaba /

Declaración de solidaridad de la Coalición de los Estados Unidos por la libertad del Profesor G.N. Saibaba.



 
Solidarity Statement from the US Coalition to Free Professor G.N. Saibaba

Friends,
We in the US Coalition to Free Professor G.N. Saibaba heard about the Nagpur High Court’s outrageous decision to deny Saibaba bail on medical grounds. We are deeply disappointed, but not surprised. We have followed Saibaba’s case closely and we know that his health continues to deteriorate. It is clear that the Indian state is trying to kill him, and hoping that he will die a slow and painful death. In these circumstances his continued survival and writing are acts of rebellion and resistance. We have been inspired by his writings and work both before and after his imprisonment.
In this country it is still very rare for intellectuals to do as Saibaba and others have done, to stand firmly in support of people’s struggles. This was not always the case, but since the downturn of various movements, many intellectuals have retreated into their ivory towers. They look at manual labor with disdain, and some even blame working people for Trump’s election and many of the problems in this country. Given this intellectual climate, it is truly inspiring to see Saibaba’s work. We have learned much from his example and the example of other courageous intellectuals and academics in India. And we still have much more to learn, especially from the struggles of the oppressed and marginalized.

FRANCIA: Appel à bloquer les usines d’armement des forces de l’ordre françaises

. (La Cause du Peuple)


Appel à bloquer les usines d’armement des forces de l’ordre françaises



Nous partageons cet appel à bloquer les usines d’armement des forces de l’ordre françaises, qui ont fait et continuent de faire tant de victimes.
DU 29 AU 31 MARS 2019, POUR TOU-TES NOS BLESSÉ-ES !

BLOQUONS L’USINE ALSETEX ET TOUTES LES USINES D’ARMEMENT DES FORCES DE L’ORDRE !

Dans le cadre du maintien de l’ordre en métropole et dans les territoires d’outre-mer, l’État français a recours à un arsenal militaire sans commune mesure avec celui utilisé par ses voisins européens. Il est le seul à utiliser des grenades et un des rares à tirer sur la foule avec des balles de gomme.
Cette usage légitime de la violence était jusqu’alors réservé aux quartiers populaires et aux mouvements de révolte. L’histoire de l’après-guerre est rythmée par une violence systémique qui nous a amené à faire le constat suivant : sur les 20 dernières années, les forces de l’ordre françaises ont mutilé en moyenne 2 à 3 personnes par an et en ont tué en moyenne 15 chaque année.

ITALIA: Presentación del libro de Anurandha Ghandy en Verona y Bologna.

28 marzo - Verso Verona oltre Verona - Bologna 29 marzo - si presenta 'Tendenze filosofiche nel Movimento Femminista' un libro di Anuradha Ghandy



PERÚ: Organizaciones populares de Apurímac convocan paro regional para los días 2 y 3 de abril.



Paro de 48 horas en apoyo a los hermanos de Cotabambas


Los presidentes de los frentes de defensa de las siete provincias de Apurímac se reunieron en una asamblea realizada en Abancay y acordaron realizar un paro regional de 48 horas el próximo 2 y 3 de abril en apoyo a los comuneros de Fuerabamba.
Además de esta medida, la misma que podría ampliarse indefinidamente de no encontrar una solución, los frentes de defensa llegaron a otros seis acuerdos:
-Establecer una mesa de diálogo y solicitar la auditoría del cumplimiento de las 17 condiciones del contrato entre Las Bambas y el Estado.
-Solicitar la entrega del pago de impuesto por concepto de la venta de Xtrata Glencore, de sus acciones y derechos a la empresa China MMG.
-Solicitar el pago del cánon minero sea abonado el 2016 de acuerdo al contrato preestablecido.
-Cumplimiento de compromisos del acta firmada por el entonces ministro de Transportes y Comunicaciones, Martín Vizcarra Cornejo, por el monto que asciende a dos mil millones de soles en la provincia de Cotabamba.
-Solicitan el levantamiento del estado de emergencia en el corredor minero y la liberación del presidente de la comunidad de Fuerabamba, Gregorio Rojas Paniura, y sus asesores.
-La interpelación del presidente del Consejo de Ministros Salvador Del Solar, el ministro de Energía y Minas y el titular del ministerio de Transportes y Comunicaciones.

¡VIVA EL PUEBLO ORGANIZADO!
¡VIVA APURÍMAC!
(Extraído del blog del MEP)

The NPA: 50 years of People’s War under the leadership of the Communist Party - PCM France



PCF of the New People’s Army!

On March 29, 2019, the New People’s Army of the Philippines celebrates its 50th birthday. This anniversary is an opportunity to return to the heroic path of the Communist Party of the Philippines (CPP) and the New People’s Army (NPA). A story of exemplary revolutionary struggle at the service of the masses against the three mountains that crush the Filipino people: imperialism, bureaucratic capitalism and feudalism. This People’s War led by the CPP and the People’s Army, the NPA, is an inspiration for people all over the world aspiring to liberation.

The NPA: 50 years of People’s War under the leadership of the Communist Party of the Philippines

The struggle of the Filipino people is old: from 1895, it started a war of independence against Spanish colonialism with the national bourgeoisie. American imperialism, which was developing throughout Latin America and Asia-Pacific, threw its claws on the Philippines at that time, entering the war against the first Republic of the Philippines in 1899. Among the most important martyrs of this period, let us note the immortal name of Andres Bonifacio who inspired and continues to inspire generations of revolutionaries.

class struggle in China





Firmly safeguard the legitimate rights and interests of pneumoconiosis workers! Release Comrade Wei Zhili immediately!


Since January 2018, pneumoconiosis workers have come to Shenzhen again and again to safeguard their legitimate rights and interests. Most of the pneumoconiosis workers come from Hunan Province and are engaged in many industries such as blasting. (Pneumoconiosis, as the first occupational disease, currently has about 60 million patients in China. Most of them have been working in Shenzhen since the 1990s, mainly engaged in pneumatic drill blasting. They have been working in the dust environment without labor security for many years, and unfortunately suffer from pneumoconiosis. However, because most of them do not have labor contracts, they have built numerous landmark buildings, so it is difficult for them to claim compensation. High medical costs are a heavy burden on them. Ultimately, they die young with increasing difficulty in breathing, leaving orphans and widows in the world.) They have been to the office of letters and visits, to the municipal government, to the social security bureau, to prove the labor relations of pneumoconiosis workers and some people to the court filed a case. They have been to departments big and small that they think can help them solve problems. They have even been to Shenzhen Public Security Bureau many times. Over the past year, these pneumoconiosis workers have repeatedly traveled between

Tuesday, March 26, 2019

ICSPWI calls - maximun democratic and antimperialist mobilization for the freedom of SAIBABA

The 
My Present Health Condition- An Update 19/03/2019

With the fast deteriorating health condition and in the context of the development of complexities, the prisonʹs Chief Medical Officer in consultation with the doctors of GMCH and the Dean of the Government hospital decided to send me to the Departments of Cardiology, Neurology and Neurosurgery immediately. Unfortunately, there are no adequate faculties and methods of conducting the required investigations available at Government Medical College Hospital (GMCH), and GMCH Super specialties hospital, Nagpur. These Departments have already recorded non-availability of the facilities in the medical records earlier in 2014 and 2018. As there is no alternative here, I will be sent to these departments next week for immediate and emergency treatment whenever possible. I have been experiencing unbearable pain in my damaged muscles of the left hand, frequent and complete blackouts, round the clock dizziness and heavy pressure in my brain, and sleeplessness due to the shooting pain. The drugs have turned ineffective. Even sedatives have stopped working on me now. The prison doctors have informed me that they have held discussions with the doctors of the Departments of Physiotherapy (PT), Occupational Therapy (OT) and Orthopedics. Now they have decided to send me for different therapies daily and regularly because of my critical condition. It is too late.
Next week I will be also sent to the Department of Plastic Surgery to evaluate for muscle/tendon transfer surgery and nerve transfer surgery— none of which are available at GMCH-SSH. It is only a formality to send me.
It is pertinent to mention one important thing here. Though they have decided to send me to the above six departments now after repeated recommendations for the same in the past two years, it is not possible in practical terms to avail any minimum medical treatment because of the following reasons:
1. Adequate and proper treatment facilities are not available at GMCH-SSH; they are available only in Hyderabad + Delhi.
2. Police escort personnel are not available to take me regularly and daily to the hospital; it is a perennial problem.
3. I am not in a position to travel everyday or even for a single day. My physical condition is now impossible for traveling.
4. These Departments do not have facilities to admit me in the hospital (unless I agree for a surgery for which I have no courage to undergo in an ill-equipped hospital— for the removal of the gallbladder.) These Departments treat only outpatients unlike hospitals in Hyderabad and Delhi.
5. Everyday, my family members are required to be present in the hospital to handle my body, which is not possible.
As my condition has worsened, the escort police personnel now have to literary lift me in their hands to shift me to the vehicle, to the wheelchair, and to the hospital bed every time. They are untrained to do this and reluctant fearing inadvertent wrong handling resulting in further damage. Similarly, the two helpers in my cell have turned increasingly reluctant to continue as my position has been developing increasingly vulnerable for them to handle. They are no longer in a position to handle me.
I am half-dead by now. With the temperatures of Nagpur rising to 40 degrees Celsius even in early March, my condition is impossible to be controlled. All the ailments have gotten aggravated. Urinary and Prostate problems, pancreatitis an Syncope have reached uncontrollable levels. I have no courage to travel to the hospital on daily basis. Even if I go somehow, there is only temporary and cosmetic treatment without any real answers to my ailments. Kindly represent all these aspects mentioned here and in my 9th March letter as examples to your comprehensive document placed before the Honʹble Court after 4th March 19 (after the change if the bench now.)
G.N. Saibaba
Anda Cell
Central Prison
Nagpur
Via: A S Vasantha Kumari

Chile - MARCHA MAPUCHE EN TEMUCO FUERTEMENTE REPRIMIDA

El 20 de marzo se llevó a cabo la marcha por la paz, desmilitarización y la libre determinación mapuche en Temuco, entre otros puntos del país, la que también buscaba conmemorar y repudiar el asesinato del peñi Camilo Catrillanca a manos de Carabineros el pasado 14 de noviembre.Como denuncia la Comunidad Autónoma de Temucuicui, la “marcha fue imposible de realizar, dada la violencia innecesaria , racista y al mejor estilo de la Escuela de las Américas, propinada por la policía, realizando desmedidos y desquiciados operativos en contra de los comuneros participantes de la marcha, produciéndose detenciones arbitrarias contra personas inocentes que ni siquiera eran partícipes de la marcha y a comuneros mapuche que se encontraban, por ejemplo, al interior de vehículos particulares, como es el caso de Javier Llanca, quien fue violentamente detenido desde el interior del vehículo particular del werkén de la Comunidad Autónoma de Temucuicui, Jorge Huenchullán Cayul”.
No obstante, los más de 1.000 asistentes a la marcha resistieron por casi 3 horas los embates de las Fuerzas Especiales de Carabineros, desarrollándose la protesta en varios puntos de la ciudad, dejando como saldo 10 policías heridos y 23 detenidos, entre ellos el hermano menor de Camilo Catrillanca.La Fiscalía de la Araucanía formalizó por desórdenes públicos a 18 de los 23 detenidos, pidiendo arraigo nacional y firma en Carabineros, junto a la prohibición de acercarse a dependencias de la Intendencia Regional. Finalmente, esto fue desestimado por la jueza de turno al considerar que eran cuestiones desmedidas e injustificadas dados los antecedentes expuestos.

Los organizadores han convocado a una nueva marcha este 3 de abril

Philippines : fête des 50 ans de la Nouvelle Armée Populaire dans le Grand Manille



Les membres des organisations de masse souterraines aux Philippines se sont rassemblés pour une manifestation éclaire dans la rue Mendiola, à deux pas du Palais Présidentiel du tyran Duterte, dans le Grand Manille.
Le 29 Mars 1969, la Nouvelle Armée Populaire, qui lutte dans la Guerre Populaire aux Philippines, était crée pour servir le peuple et la révolution.
Crédit images : Manila Today

25 de Março: 97 anos da fundação do Partido Comunista do Brasil (PCB)



Por ocasião da passagem dos 97 anos da fundação do Partido Comunista do Brasil (PCB), completados neste 25 de março de 2019, reproduzimos (de forma adaptada) um artigo publicado na edição nº 207 de AND (1ª quinzena de abril de 2018).

Em 25 de março de 2019, completa-se 97 anos da fundação do Partido Comunista do Brasil (PCB). Inspirados pela Grande Revolução Socialista de Outubro, e a inauguração, junto com ela, de uma Nova Era da Humanidade – a era da revolução proletária mundial – o proletariado brasileiro se lançou à árdua e prestigiosa tarefa de constituir o seu partido revolucionário, o Partido Comunista.
Foi assim que Astrojildo Pereira, Hermogênio da Silva Fernandes, Manoel Cendón, Joaquim Barbosa, Luis Peres, José Elias da Silva, Abílio de Nequete, Cristiano Cordeiro e João da Costa Pimenta – representando 73 comunistas espalhados em diversos cantos do país – fundaram, em março de 1922, na cidade de Niterói (RJ), o Partido Comunista – Seção Brasileira da Internacional Comunista.
Em toda sua trajetória, destacam-se vários de seus feitos heroicos. Entre eles, o Levante Popular Armado de 1935, que foi a primeira tentativa do Partido a assaltar os céus, 13 anos após sua fundação. Outro marco foi a cisão com o grupo revisionista de Prestes e a reconstrução do Partido Comunista do Brasil (com a sigla PcdoB) em 1962, quando verdadeiramente constituiu-se como partido marxista-leninista, 40 anos após sua fundação. E, por fim, a gloriosa Guerrilha do Araguaia, quando acercado ao pensamento mao tsetung propõe-se à tarefa de iniciar a Guerra Popular no Brasil.
Fundadores do Partido Comunista do Brasil (PCB) em 1922
Com a derrota da Guerrilha do Araguaia e a brutal Chacina da Lapa, na qual foram assassinados os dirigentes Pedro Pomar, Ângelo Arroyo e João Batista Drummond, a esquerda na direção do Partido sofreu duras perdas, criando a situação para o abandono da linha revolucionária do partido da guerra popular prolongada. João Amazonas e sua camarilha revisionista, sabotando o justo balanço da experiência do Araguaia encabeçaram o golpe para liquidar o Partido Comunista do Brasil enquanto partido revolucionário, dando origem a mais uma organização revisionista, sob a continuação da sigla PCdoB.
Hoje, as diferentes siglas PCdoB, PCBrasileiro, PCR, etc., se unem com um mesmo programa de viés revisionista e eleitoreiro. Segundo as publicações do Núcleo de Estudos do Marxismo-leninismo-maoismo (NEMLM) que nos são enviadas, o “Partido Comunista do Brasil na clandestinidade, desenvolve há 20 anos, liderado por sua Fração Vermelha, por meio de duras lutas de duas linhas, o processo de sua reconstituição enquanto verdadeiro e autêntico partido comunista marxista-leninista-maoista, partido comunista militarizado. Período este que corresponde à segunda fase da terceira etapa de sua história, fundamentada pelas duras lutas contra linhas oportunistas de direita e de ‘esquerda’, principalmente de direita revisionista em seu seio em toda a sua história e na assimilação e encarnação teórico-prática da terceira, nova e superior etapa de desenvolvimento do marxismo, o maoismo”.
Conforme caracteriza o NEMLM, “cumprindo-se essa terceira etapa da sua história, com a reconstituição do PCB e a vitória completa sobre o revisionismo e todo oportunismo, se abrirá a sua quarta etapa, enquanto Partido Comunista do Brasil marxista-leninista-maoista, com o desencadeamento da luta aberta através da guerra popular prolongada pela Revolução de Nova Democracia, ininterrupta ao Socialismo, servindo à Revolução Proletária Mundial e no rumo do luminoso Comunismo”.
Bandeira comunista hasteada em Rondônia, Brasil, 2017

Brasil - RJ: SOLIDARIEDADE COM AJITH EM ATO CONTRA REFORMA DA PREVIDÊNCIA




No dia 22 de março, durante ato contra a reforma da previdência no Rio de Janeiro, manifestantes exigiram a liberdade para o camarada Ajith, atendendo o chamado internacional realizado no início da semana. O bloco de manifestantes marchou o ato exibindo os cartazes confeccionados pela campanha internacional. 

Foto: Ellan Lustosa / AND

Com palavras de ordem que exigiam a liberdade para Ajith e para todos os presos políticos da Índia expressas nos cartazes, os ativistas e militantes puderam expressas todo seu internacionalismo durante ato em defesa de direitos do povo trabalhador. 

Para maiores informações sobre o ato, acessar o seguinte endereço: https://anovademocracia.com.br/noticias/10609-22-de-marco-dia-comeca-com-protestos-em-todo-o-pais-contra-a-reforma-da-previdencia

INDIA: Deniegan la libertad bajo fianza al profesor GN Saibaba a pesar de su grave estado de salud. Carta de su compañera Vasantha Kumari.

 INDIA: Deniegan la libertad bajo fianza al profesor GN Saibaba a pesar de su grave estado de salud. Carta de su compañera Vasantha Kumari.


 
Professor, Human rights activist, 90% disabled and suffering from 19 high health risks couldn’t able to get bail on health grounds

March 25, 2019

With great disappointment and unfathomable pain, I inform all democratic forces and the academic community that, today, the Nagpur High Court bench has rejected the bail application of my husband, Dr. G N Saibaba, Delhi University English professor, who has been incarcerated in the Anda Cell for the past two years.
Saibaba is a 90 percent physically disabled, wheelchair bound person, who has been suffering from 19 ailments, some of them are life threatening and require immediate medical intervention. When he was convicted in a concocted criminal case two years ago, he was in an intensive care unit undergoing treatment. However, as a law-obeying citizen, he surrendered before the court, and was shifted to the high security prison. Since then, his health has been deteriorating because of the lack of proper diagnosis and treatment. The state has not provided him any assistance to take care of his basic daily needs, even though his jail cell is not conducive for a disabled person like Saibaba. Not only that every time they bring him to the hospital, the police, who are not professionals in dealing with disabled people, toss him in and out of the wheelchair as a piece of luggage, which has caused the total damage of his left hand. Currently, because of his deteriorating health, he is experiencing a partial paralysis of his body, as he could not move his body even to the bare minimum as he used to do previously. This is a gross violation of his human rights, dignity, and a grave threat to his life.
Every time before the court hearing, the police perform a big drama as if they are seriously attempting to provide treatment for Saibaba. But, in reality, they always bring him to hospitals, which have no infrastructural and personnel capacities either to properly diagnose or treat his illnesses. The output of this drama is yet another fabricated police summary report that explains to the court that Saibaba has been getting proper treatment and there is no danger for his life.
In reality, Saibaba is already half-dead, because several vital organs in his body (pancreas, prostate, gallbladder, urinary bladder, muscular system, nervous system and other) have reached to ill functioning. As a result, he has been experiencing excruciating life in the Anda Cell, Nagpur Central Prison. If the same situation continues any further, it is very clear that there is no chance for him to survive longer.
By rejecting Saibaba’s bail for medical treatment, I believe that the state is planning for his gradual but painful death in the prison. But, I would like to bring to the notice of the people of this country and the global community that by this bail rejection, Saibaba’s fundamental right to live has been curtailed.
Saibaba’s life has been endangered just because of his relentless fight for the rights of the oppressed castes, classes, and nationalities. I once again appeal to all democratic institutions, civil and human rights organizations, students, teachers, and writers to raise your voice against the gross human rights violation meted out to Saibaba, and demand for his release immediately.
Thank you!
Vasantha Kumari

Traducción oficisa de Google:

Profesor, activista de derechos humanos, 90% discapacitado y con 19 altos riesgos para la salud no pudo obtener una fianza por razones de salud

25 de marzo de 2019


Con gran decepción y un dolor insondable, informo a todas las fuerzas democráticas y a la comunidad académica que, hoy, el tribunal del Tribunal Superior de Nagpur rechazó la solicitud de fianza de mi esposo, el Dr. GN Saibaba, profesor de inglés de la Universidad de Delhi, quien ha sido encarcelado en el Anda Cell durante los últimos dos años.

Saibaba es un 90 por ciento discapacitado físicamente, en silla de ruedas, que ha sufrido 19 dolencias, algunas de ellas son potencialmente mortales y requieren una intervención médica inmediata. Cuando fue condenado en un caso criminal inventado hace dos años, estaba en una unidad de cuidados intensivos en tratamiento. Sin embargo, como ciudadano que obedecía la ley, se rindió ante el tribunal y fue trasladado a la prisión de alta seguridad. Desde entonces, su salud se ha deteriorado debido a la falta de un diagnóstico y tratamiento adecuados. El estado no le ha brindado asistencia para atender sus necesidades diarias básicas, aunque su celda de la cárcel no es propicia para una persona discapacitada como Saibaba. No solo que cada vez que lo llevan al hospital, la policía, que no es profesional en el trato con personas discapacitadas, lo arroja dentro y fuera de la silla de ruedas como una pieza de equipaje, lo que ha causado el daño total de su mano izquierda. Actualmente, debido a su salud deteriorada, está experimentando una parálisis parcial de su cuerpo, ya que no podía mover su cuerpo ni al mínimo como solía hacerlo anteriormente. Esta es una grave violación de sus derechos humanos, su dignidad y una grave amenaza para su vida.

Cada vez antes de la audiencia en la corte, la policía realiza un gran drama como si estuvieran intentando seriamente proporcionar tratamiento para Saibaba. Pero, en realidad, siempre lo llevan a hospitales, que no tienen capacidades de infraestructura y de personal para diagnosticar o tratar adecuadamente sus enfermedades. El resultado de este drama es otro informe de resumen policial fabricado que explica al tribunal que Saibaba ha estado recibiendo el tratamiento adecuado y que no hay peligro para su vida.

En realidad, Saibaba ya está medio muerto, debido a que varios órganos vitales de su cuerpo (páncreas, próstata, vesícula biliar, vejiga urinaria, sistema muscular, sistema nervioso y otros) han llegado a funcionar mal. Como resultado, ha estado viviendo una vida insoportable en la celda Anda, en la prisión central de Nagpur. Si la misma situación continúa, está muy claro que no hay posibilidad de que sobreviva más tiempo.

Al rechazar la fianza de Saibaba para recibir tratamiento médico, creo que el estado está planeando su muerte gradual pero dolorosa en la prisión. Pero, me gustaría informar a la gente de este país y de la comunidad mundial que, por este rechazo a la fianza, el derecho fundamental a la vida de Saibaba se ha reducido.

La vida de Saibaba ha estado en peligro solo por su implacable lucha por los derechos de las castas, clases y nacionalidades oprimidas. Una vez más, hago un llamamiento a todas las instituciones democráticas, organizaciones de derechos humanos y civiles, estudiantes, maestros y escritores para que expresen su voz contra la grave violación de los derechos humanos cometida en Saibaba y exijan su liberación de inmediato.

¡Gracias!

Vasantha Kumari

Monday, March 25, 2019

PCm Italy montly newspaper


France - Du 29 au 31 mars 2019, bloquons l’usine Alsetex et toutes les usines d’armement des forces de l’ordre !

Appel à action à l’initiative de blessé-es, de leurs proches, de leurs soutiens et de collectifs contre les violences d’État.


Appel à action à l’initiative de blessé-es, de leurs proches, de leurs soutiens et de collectifs contre les violences d’État.
Du 29 au 31 mars 2019, pour tou-tes nos blessé-es !
Bloquons l’usine Alsetex et toutes les usines d’armement des forces de l’ordre !

à Précigné, Sarthe (72) - 50km du Mans.
Dans le cadre du maintien de l’ordre en métropole et dans les territoires d’outre-mer, l’État français a recours à un arsenal militaire sans commune mesure avec celui utilisé par ses voisins européens. Il est le seul à utiliser des grenades et un des rares à tirer sur la foule avec des balles de gomme.
Cet usage légitime de la violence était jusqu’alors réservé aux quartiers populaires et aux mouvements de révolte. L’histoire de l’après-guerre est rythmée par une violence systémique qui nous a amené à faire le constat suivant : sur les 20 dernières années, les forces de l’ordre françaises ont mutilé en moyenne 2 à 3 personnes par an et en ont tué en moyenne 15 chaque année.
Mais depuis le mois de novembre 2018, face à l’ampleur et la spontanéité du soulèvement des Gilets Jaunes, la violence de l’État à l’égard des manifestations s’est considérablement durcie, faisant naître une prise de conscience collective des violences policières. Trois mois de révolte intense ont démontré, par une hécatombe sans précédent, que le facteur principal déterminant la violence d’État, c’est le caractère potentiellement révolutionnaire d’un mouvement de révolte.
Pourtant, sans être partie prenante du mouvement, Zineb Redouane a été tuée à Marseille, visée à sa fenêtre du quatrième étage par une grenade lacrymogène tirée en plein visage.
Également, trois personnes ont été éborgnées par des tirs de LBD à la Réunion dans les deux premières semaines de la révolte, suivies de 17 autres en métropole, dont 2 lycéens de 15 et 16 ans et 1 collégien de 14 ans.
Cinq personnes se sont fait arracher une main par des grenades GLI F4 à Paris, Tours et Bordeaux.
Plusieurs centaines d’autres ont été grièvement blessées, dont les deux tiers à la tête.
Et malgré ce carnage, aucun mot, aucun regret, aucune excuse de la part des autorités. Au contraire, la répression se fait chaque jour plus féroce et le ministre de l’intérieur, au comble du cynisme, explique à des enfants dans une mise en scène télévisée comment tirer au LBD.
Le maintien de l’ordre protège l’État et non le peuple, il est à la fois un placement politiquement rentable pour le pouvoir, apeuré par sa chute possible, et un commerce juteux.
L’État français se vante en la matière d’un savoir faire et d’une doctrine développés dans les anciennes colonies et sur les territoires d’outre-mer, et inspirées depuis les années 1980-90 par les théories sécuritaires et logiques commerciales agressives des idéologues au service du complexe militaro-industriel étasunien (hypothèse de la vitre brisée, brigades antigang et d’intervention en civil, armes sublétales, militarisation de la police).
La France achète et utilise des armes chimiques (proscrites par les conventions internationales sur les terrains de guerre) : les grenades lacrymogènes.
La France achète, vend et utilise des armes de guerre : les grenades GLI F4, les grenades de désencerclement...
La France achète et utilise des munitions qui mutilent : les cartouches à destination des Lanceurs de balles de défense de 40 et 44 mm (Flash Ball SuperPro et SuperPro2, LBD 40, Kann 44, Riot Penn Arms).
L’État français offre des milliards d’euros à sa police et aux marchands de mort, tandis que son système de santé est en faillite, que son système social est en faillite, que son système éducatif est en faillite, que son système de transports sert à nous taxer alors qu’il devrait être gratuit (pour le peuple et pour l’environnement) et que les grandes entreprises qui servent l’État refusent de payer des impôts, d’augmenter les salaires et de baisser le temps de travail, et cela alors même que le chômage bat des records.
Les augmentations d’impôts contre lesquelles nous nous battons servent à payer les armes qui répriment nos révoltes, alors il est temps de frapper là où le bât blesse.
Bloquer le complexe militaro-industriel français, c’est bloquer l’économie de mort de ce système.
Pour Zineb Redouane, pour les blesse-es, pour tou-tes celles et ceux mortes de s’etre revolte-es, du 29 au 31 mars 2019, bloquons l’usine alsetex.
Et pour tou-tes celles et ceux qui ne pourrons venir dans la Sarthe, nous appelons a bloquer tous les sites suivants :
  • VERNEY CARRON : fabrique pistolets Flash-ball, grenades de désencerclement - 54 Boulevard Thiers, 42002 Saint-Étienne
  • NOBEL : fabrique grenades lacrymogènes - 5 Rue du Squiriou, 29590 Pont-de-Buis-lès-Quimerch
  • SAPL : fabrique grenades de désencerclement, gazeuses, matériels de maintien de l’ordre – La Ferté Fresnet, Le Biot, 61550 La Ferté-en-Ouche
  • REDCORE : fabrique lanceurs de balles de défense, grenades de désencerclement - Technellys Bât C - 165 rue de la Montagne du Salut, 56600 Lanester
  • BGM : distributeur des lanceurs de 40 mm (LBD40 et lanceurs multicoups Penn Arms) - 15, Route de Meaux, Le Bois-Fleuri, 77410 Claye-Souilly
  • MSA : fabrique matériels de maintien de l’ordre (casques, boucliers…) - ZI Sud, 01400 Chatillon sur Chalaronne
  • PROTECOP : fabrique matériels de maintien de l’ordre - 2194 Route de Thiberville, 27300 Bernay
  • RIVOLIER : commercialise et importe les armements étrangers en France - Z.I. Les Collonges, 42173 Saint-Just-Saint-Rambert
  • SECURITE TIR EQUIPEMENT : commercialise et importe les armements étrangers et français destinés au maintien de l’ordre - 477, Chemin de l’Avenir, 13300 Salon de Provence
  • CENTRE D’EXPERTISE ET D’APPUI LOGISTIQUE : test et homologation des armes destinées au maintien de l’ordre – 168 rue de Versailles, 78150 Le Chesnay
  • BANC NATIONAL D’EPREUVE ET D’HOMOLOGATION : test et homologation des armes destinées au maintien de l’ordre – ZI Molina Nord, 5 rue de Méons, 42002 Saint Etienne
  • ETABLISSEMENT LOGISTIQUE DE LA POLICE : ZI Buxerolles, 1 rue Faraday, 87000 Limoges
  • NOBEL : siège social – 57 rue Pierre Charron, 75008 Paris : fabrique les système de mise à feu des grenades lacrymogène
  • BRÜGER & THOMET : fabrique les lanceurs de balles de défense de 40 mm – Tempelstrasse 6, CH-3608 Thun