Wednesday, November 30, 2016

Sur Castro et le castrisme - PCmaoiste France



castro
C’est fini. Fidel Castro, le “Líder máximo” qui dirigeait Cuba depuis 45 ans, s’est éteint paisiblement le 25 novembre.
Héros pour les uns, dictateur sanguinaire pour les autres, qu’en est-il vraiment ? Notre position n’a pas pour but de dresser un bilan définitif de la révolution cubaine, ni de l’histoire récente de l’île. Comme dans tout processus révolutionnaire, il est nécessaire d’adopter un point de vue de classe : oui, pour certaines personnes bénéficiant d’un système politique, le renversement de ce système sera vécu comme une horrible tragédie. Ce qui nous intéresse, ce sont les classes populaires de Cuba : ont-elles bénéficié du castrisme, et quel type de régime a-t-il été ? Communiste ? Socialiste ? Nationaliste ?
Castro dérange jusque dans sa mort. Les chefs d’état se divisent, certains voulant lui rendre hommage, d’autres non. Ainsi, les gouvernements vietnamien, nord-coréen, bolivien ou grec ont envoyé leurs condoléances, certains faisant le déplacement. Cette brochette de régimes n’ayant rien de communistes, ayant chacun à leur façon trahis leurs propres peuples, donne une idée de la situation. Mieux vaut parfois être seul que si mal entouré.
Quant aux régimes de l’OTAN, USA en tête, ils ont pris leurs distances. Si le marché intérieur cubain les intéresse, il faut encore garder les apparences, Cuba ayant longtemps représenté un puissant symbole anti-impérialiste à l’échelle mondiale.
Mais quel est le point de vue des communistes sur la révolution cubaine ? Nous autres maoïstes avons fait le bilan du révisionnisme moderne dans les années 60. Nous n’avons jamais eu d’illusions sur la révolution cubaine, nous n’entretenons pas un mythe comme peut le faire le PCF par exemple. Mais le maoïsme et le castrisme étant tous deux issus de révolutions ayant triomphé à la même période dans des pays semi-coloniaux, certaines personnes confondent ou mélangent les deux théories. Revenons sur quelques éléments historiques pour y voir plus clair.
Nous pouvons découper le castrisme en trois périodes : la révolution cubaine, la construction étatique pendant la guerre froide, et les réformes de la période contemporaine.
La révolution cubaine représente un moment historique héroïque mais très particulier. Castro s’est d’abord politisé dans différents pays d’Amérique latine, dont la Colombie. Dans ce pays comme à Cuba, des régimes autoritaires soutenus par les USA renversent par la force des gouvernements de gauche. Castro comprend que la bourgeoisie soutenue par l’impérialisme américain ne laissera aucune chance à des réformes passant par les élections, et se radicalise. Il est alors un nationaliste qui s’intéresse au marxisme mais ne se définit pas comme communiste. Après un premier échec lui valant un séjour en prison, il rencontre Ernesto « Che » Guevara au Mexique, et les deux révolutionnaires montent une expédition avec seulement 82 hommes et un bateau pour mener la révolution à Cuba. Parmi eux, 66 sont assez rapidement tués ou capturés. Tout semble fini avant d’avoir commencé.
Pourtant, le dictateur cubain Batista ne juge pas utile de traquer les survivants de l’expédition. Castro et ses hommes se replient dans la Sierra Maestra, obtiennent de plus en plus de soutien de la part des paysans, développent des contacts puis des cellules dans les villes, les encerclant par les campagnes. Au terme d’une lutte courageuse (de décembre 1956 à décembre 1958), les révolutionnaires prennent le pouvoir à Cuba. Plusieurs raisons expliquent ce succès : la détermination des combattantes et des combattants, bien sûr, mais aussi la faiblesse du régime de Batista, miné par une corruption généralisée et lâché par les USA, les erreurs stratégiques de celui-ci, ainsi que l’excellente image médiatique dont bénéficient les troupes de Castro.
Un embryon de guerre populaire triomphant dans une situation exceptionnelle est donc transformé en légende révolutionnaire. De cette mauvaise analyse de l’expérience cubaine naîtront des théories comme le castrisme et le guevarisme (ou « foquisme »), qui iront d’échec en échec, conduisant à la mort tragique mais prévisible de Che Guevara en Bolivie.
Néanmoins, des mesures populaires sont mises en œuvre : réforme agraire au bénéfice de la paysannerie par l’expropriation des grands propriétaires terriens ; expropriations des entreprises de la bourgeoisie compradore et des impérialistes américains ; accès gratuit à l’éducation, à la santé, aux transports et à la culture ; tout le monde à accès à un logement et un travail ; lutte contre le machisme et le racisme. Ces mesures améliorent considérablement les conditions de vie de la paysannerie et de la classe ouvrière et constituent une rupture radicale avec les conditions de vie sous Batista. La méthode utilisée est cependant trop bureaucratique, reposant plus sur des décrets que sur la mobilisation des masses populaires pour leur mise en œuvre.
Ensuite vient la période de la guerre froide pour l’île, de la crise des missiles de Cuba et du choix d’une dépendance économique de plus en plus importante vis-à-vis de l’URSS : Cuba produit du sucre pour le bloc soviétique, et plus que du sucre. Des biens de base et des machines sont importées massivement. Mais Castro, s’il se prétend alors marxiste-léniniste pour faciliter son intégration dans le bloc, reste avant tout un nationaliste. Quand l’URSS et la Chine populaire s’affrontent sur la question du révisionnisme, il refuse de choisir un camp : pour les maoïstes, cette position est « centriste », coincée entre deux chaises par opportunisme. Il s’agit bien sûr d’une conséquence de la dépendance économique de Cuba. Che Guevara, peu avant sa mort, avait rendu hommage à la révolution chinoise et les choses auraient pu aller dans un autre sens. Avec sa disparition le soutien cubain aux mouvements de libération en Amérique et en Afrique diminue aussi largement.
Les réformes continuent et se généralisent durant cette période, mais il n’y a pas de direction générale, de stratégie révolutionnaire guidant le pays vers le communisme : n’étant pas autonome, il ne peut pas « marcher sur ses deux jambes » et tracer sa propre voie.
De leur côté, les impérialistes américains ne peuvent tolérer cet état socialiste à leur porte. Ils attaquent Cuba systématiquement, mettant en place un blocus très dur, tentant d’assassiner les dirigeants, sabotant des installations, désinformant massivement et allant jusqu’à organiser une invasion militaire anticastriste se concluant par une défaite lors du débarquement de la Baie des Cochons. Castro construit alors toute sa propagande autour de cette menace impérialiste, bien réelle dans les années 60. L’anti-impérialisme de Castro est donc bancal puisqu’il s’axe sur la menace impérialiste la plus directe mais ne questionne pas le social-impérialisme soviétique ni la base idéologique sur lequel celui-ci s’appuie : le révisionnisme.
Seulement, les choses changent petit à petit, et le monde évolue. Le révisionnisme soviétique finit par s’effondrer. Et la situation de Cuba se détériore. Les travailleurs ne sont plus ou mal payés, les services sont de pire en pire, toute contestation est durement réprimée, et une monnaie réservée aux touristes est mise en place, dont l’économie de l’île devient de plus en plus dépendante. Les politiques sociales se dégradent petit à petit alors que le gouvernement de Castro s’enferme dans sa tour d’ivoire, attribuant tous les problèmes à l’impérialisme américain et au violent embargo que ce dernier impose à Cuba sans reconsidérer sa stratégie.
Nous connaissons ainsi de nombreux révolutionnaires sincères, ayant visité Cuba dans les dernières décennies, pour participer aux brigades de travail ou comme simples voyageurs. Celles et ceux qui ne s’aveuglent pas volontairement sont surpris par la misère, entraînant criminalité, vente de drogue, prostitution forcée et corruption. Si la culture gratuite et populaire est encore une exception cubaine, même le système de santé qui faisait la fierté de l’île est en train de se dégrader. La libéralisation de l’économie que certains anticastristes attendaient ne signifie pas la liberté collective : comme partout, les inégalités s’accordent très bien avec un régime répressif et antipopulaire. Derrière le symbole de résistance, la réalité de l’exemple cubain a fait son temps. Les classes sociales n’ont bien sûr pas été abolies par le révisionnisme. Loin de là. La classe ouvrière et la paysannerie sont aujourd’hui durement touchées par l’ouverture du marché aux capitaux étrangers.
Nous saluons la Révolution Cubaine et le rôle qu’a joué Castro dans cette révolution anti-impérialiste et démocratique ayant permis l’émancipation de Cuba du contrôle américain et qui fut base de nombreuses avancées sociales. Nous sommes néanmoins critiques de la direction qu’a pris la direction du Parti Communiste de Cuba avec à sa tête Castro de s’aligner derrière l’URSS pour se protéger de la menace d’intervention américaine. Cette ligne erronée a rendu l’économie cubaine déséquilibrée et a empêché le développement du socialisme, conduisant nécessairement à la restauration du capitalisme. Cela a conduit Cuba à se rapprocher des impérialismes russe et chinois après la chute de l’URSS. L’exemple révolutionnaire cubain n’est ainsi pas pour nous le phare de la lutte anti-impérialiste et Cuba, dès sa mise en orbite de l’URSS, ne pouvait plus être considéré comme pays socialiste en raison de la direction stratégique adoptée. Cette lutte est par contre riche d’enseignements pour les révolutionnaires, permettant de comprendre les dynamiques brutales de l’impérialisme et les problèmes stratégiques que rencontrent toute lutte de libération nationale.

Tjen Folket Media Solidaritet med India! Om hindufascismen og det indiske folkets kamp for rettferdighet

Tjen Folket Media har publisert et nytt podkastavsnitt:
Solidaritet med India! Om hindufascismen og det indiske folkets kamp for rettferdighet
I India er det skrikende behov for revolusjon, nytt demokrati og sosialisme. I verdens nest mest folkerike land, lever hundrevis av millioner i dyp fattigdom. Folk sulter i det som i propagandaen kalles “verdens største demokrati”. I podkastavsnittet stikker vi hull på denne myten. Den indiske staten er ikke demokratisk, den bruker fascistiske metoder for å undertrykke folk.
Det indiske kommunistpartiet CPI leder en geriljahær og enhetsfronter, i forsvar av Indias fattigste og mest undertrykka folk – til kamp for revolusjon.
Vi har nylig publisert denne teksten om temaet:
Sammenstøtet i Malkangiri – Undersøkelsesrapporten fra CDRO
Mer bakgrunn om India kan man lese i denne teksten av det Fillipinske Kommunistpartiet (MLM):
Filippinenenes kommunistiske parti om situasjonen i India

PCm Italy sobra muert de Castro - spanish, english, italian

unofficial traslation
traduccion no official

Fidel Castro ha muerto.

Como revolucionario anti-imperialista, los comunista marxistas-leninistas-maoístas sólo lo podemos recordar y honrar.
La Revolución Cubana, desarrollada y construida en manera entusiasmante junto con Che Guevara, su aspiración a hacer de Cuba un país socialista, la defensa intransigente de la revolución cubana frente a la agresión y el embargo del imperialismo yanqui.
Estas son páginas que aseguran su lugar en la historia.
Su aspiración a liberar a América Latina del dominio del imperialismo yanqui, la batalla de muchos años para hacer de Cuba un punto de referencia y apoyo para todo el movimiento anti-imperialista y las luchas armadas anti-imperialistas en el continente en los 70 han sido una contribución al desarrollo del anti-imperialismo EEUU en todo el mundo e influenció a una generación de anti-imperialistas en el mundo.

El imperialismo norteamericano y todos su partidarios en el mundo nunca han dejado de vilipendiar a Castro y Cuba y luchar contra él, llamándolo dictador y tirano, y ahora se alegran por su muerte, así como todos los cubanos exiliados fascistas en los EEUU y en todo el mundo.
Pero su alegría es la de los vencidos por la historia. Sus gritos son el mejor homenaje que se puede hacer a la figura de Castro y la Revolución Cubana.
Asimismo, la definición que Castro dio de sí mismo y el reconocimiento por muchos en el mundo de el como un comunista inflexible, último comunista, bandera del comunismo y la revolución en el mundo no corresponde a la realidad.
Desde este punto de vista Castro murió hace mucho tiempo. Cuando se casó con la transformación revisionista de la URSS, después del XX Congreso del PCUS, cuando se casó con la política y la acción internacional del social-imperialismo, cuando en nombre de la defensa de Cuba, aceptó de ser un peón en el enfrentamiento entre las dos super-potencias, cuando en el Movimiento Comunista Internacional, ha cubierto en forma antes centrista y después revisionista la posición del PCUS contra la China Socialista de Mao Tsetung, convirtiéndose en un peón en la lucha contra el marxismo-leninismo- maoísmo en la América Latina y en el mundo.
Así Cuba ha detenido su marcha hacia el socialismo y empezado el camino que a lo largo de los años, a partir de 1989, ha llegado a la nueva conciliación con el imperialismo estadounidense y Obama, de que por su suerte no el no verá las consecuencias futuras.

PCm Italia
27 de de noviembre de, 2017

I
In death of Fidel Castro

As anti-imperialist revolutionary, Marxist-Leninist-Maoist communist just can remember and honor him.
The Cuban Revolution, he developed and built in an exciting way along with Che Guevara, his aspiration to make Cuba a socialist country, the firm defense of the Cuban revolution facing the aggression and embargo by US imperialism.
These are pages that assign him a place in history.
The aspiration to free Latin America from US imperialism domain, the many years long battle to make Cuba a reference and support for the whole anti-imperialist movement and the anti-imperialist armed struggles in the continent have been a contribution for the development of anti-USimperialism worldwide and influenced a generation of anti-imperialists in the world.

US imperialism, all the supporters of US imperialism in the world have never ceased to vilify Castro and Cuba and fight him calling him a dictator and a tyrant, and now they rejoice for his death, as well as fascist Cuban exiles in US and around the world.
But their joy is that of who have been defeated by history. Their screams are the best tribute to Castro and the Cuban Revolution.
However, the way Castro defined himself and many in the world recognized him, as an uncompromising Communist, the last Communist, flag of communism and revolution in the world, does not correspond to the reality.
From this point of view, Castro died long ago. When he committed to the revisionist transformation of USSR, after the Twentieth Congress of the CPSU, when he committed to the social-imperialist policy and action, when, in the name of defense of Cuba, he agreed to be a pawn in the confrontation between the two superpowers, when he covered first in a centrist, then in a revisionist way the stand of CPSU against the Socialist China of Mao Tsetung in the ranks of the International Communist Movement, becoming a pawn in the struggle against Marxism-Leninism- Maoism in Latin America and worldwide.
So Cuba has stopped its march towards socialism, starting the path that over the years, after 1989, has led to the new conciliation with US imperialism and Obama, of which, luckily for him, he will not see the consequences.

PCm Italy
November 27, 2017


 è morto Fidel Castro - un saluto al rivoluzionario antimperialista

Fidel  Castro è morto.
Come rivoluzionario antimperialista, i comunisti marxisti-leninisti-maoisti non possono che ricordarlo e onorarlo.
La Rivoluzione Cubana, sviluppata e costruita in maniera entusiasmante insieme a Che Guevara, la sua aspirazione a fare di Cuba un paese socialista, l'intransigente difesa della rivoluzione cubana di fronte all'aggressione e all'embargo dell'imperialismo USA
Sono pagine che fissano il suo posto nella storia.
L'aspirazione a liberare l'America Latina dal dominio dell'imperialismo Usa, la battaglia per molti anni per fare di Cuba un punto di riferimento e un sostegno di tutto il movimento antimperialista e della lotta armata antimperialista nel Continente sono state un contributo negli anni 70 allo sviluppo dell'antimperialismo USA in tutto il mondo e influenzato una generazione di antimperialisti nel mondo.

L'imperialismo USA e tutti i sostenitori dell'imperialismo USA nel mondo non hanno mai cessato di denigrare Castro e Cuba e combatterlo definendolo un dittatore e un tiranno e oggi gioiscono di
fronte alla sua morte, così come gli esuli fascisti di Cuba negli Usa e nel mondo.
Ma la loro gioia è quella degli sconfitti dalla storia. Le loro strilla sono il miglior elogio che si possa fare alla figura di Castro e alla Rivoluzione cubana.
Ma la definizione di Castro di sè stesso e il riconoscimento che gli viene fatto da tanti nel mondo, come comunista intransigente, ultimo comunista, bandiera del comunismo e della rivoluzione nel mondo non corrisponde alla realtà:
Sotto questo punto di vista Castro è morto tanto tempo fa. Quando ha sposato la trasformazione revisionista dell'URSS, dopo il XX congresso del PCUS, quando ne ha sposato la politica e azione internazionale socialimperialista, quando in nome della difesa di Cuba, ha accettato di esserne una pedina nello scontro tra le due superpotenze. Quando nel Movimento Comunista Internazionale, ha coperto in forme centriste prime e revisioniste dopo la posizione del PCUS contro la Cina Socialista
di Mao tse tung, divenendo una pedina della lotta contro il marxismo-leninismo- maoismo, in America Latina e nel Mondo
Così Cuba ha interrotto la sua marcia verso il socialismo, iniziando quel percorso che negli anni la ha portato, dopo il 1989 alla nuova conciliazione con l'imperialismo USA di Obama, di cui per sua fortuna non ha visto le future conseguenze

proletari comunisti / PCm Italia27 novembre 2017

25 november Italy - Proletarian Women Call the Women’s Strike !

Against All the Violence of Masters, Government,
State, Men who hate women
Proletarian Women Call the Women’s Strike !


On November 25, workers, precarious, unemployed, immigrants women from various cities, from South and North, in the name of all the most exploited, oppressed women by this social system. They were in Piazza Montecitorio [in front of the Parliament] with a combative and lively demonstration, rich of speeches, agitation, full of their experiences of struggle.
Asserting that "We proletarian women are against all violence, and the first one is the systemic violence of masters, government, capitalist, imperialist State that nurtures and produces the horrific rapes and femicides" we have besieged the parliament, representative of all the corridors of power, and we said, "Enough! We will not stop! We fight and will fight all the way to put an end to this horror without end". It is this capitalist system that must be overturned, from earth to heaven, and as women we have to break not one but a thousand chains, because our whole life must change, and then there will not be oppression, double exploitation of women, sexual violence.
We also did something else. We have summarized all the expectations coming from our struggles in a platform, in a "booklet" where we counted, gathered our conditions of work / no work, life, all the attacks on us women, by big and small master on jobs, by the governments which with their laws in these years have worsened the condition of the majority of women on jobs, neighborhoods, homes, cutting expenses and essential social services - from kindergartens to pensions, the right to health on the territory, we think the women in Taranto and polluted cities - while the attacks on the right to abortion and racist attacks that hit twice our immigrant sisters revive.
We brought our Platform / booklet as a challenge to the corridors of power and this won two initial meetings, in the Parliament and at the Ministry of Labor, a result only of the strength of our struggles.
In these meetings, where, "breaking their rules," we went with large delegations and many unemployed workers women made hard speeches, we said that women do not want to hear their hypocritical words, we women want to talk and demand answers to our needs and dreams, put our conditions. And their failure to answer or false answer will also be a reason for increasing and hardening our struggle.
To the press we have said “do not speak about us" once a year, with gray statistics or scoop articles that offend us, "talk to us"! And as a proof that most of newspapers are against women, "The Messaggero", where a delegation of women went to speak, called the police, which came in force with men and trucks, to prevent us from entering.

Today we are here with all the women in this national demonstration to say:
And now: Women’s strike! As in Argentina, Poland, France ...

The women’s strike of has already begun in our country : 20 thousand women workers, precarious, unemployed, immigrants, have participated, on November 2013 and this year, in the strike called by the Feminist Proletarian Revolutionary Movement.
The women's strike is a strong weapon in the struggle. It is the women’s strike that scares masters, governments, collaborationist unions, men!
Today the proletarian women who lit this "spark" in Italy and launched a message also to other countries, call the women's movement as a whole to take the spark in their hand.
Large demonstration of women, such as this today, are not enough to change the balance of power between our real enemies and the majority of women, if they are not part of a process of continuous struggle against the entire social system, the masters, the government, the state, their fascist, sexist, racist males.
The women’s strike, the self-organization of the proletarian feminism are the current stages of the path for our liberation, that must be revolutionary.

Because there is no liberation without revolution!


Feminist Proletarian Revolutionary Movement. 26 November, 2016

Kerala : Colère après l’assassinat de deux maoïstes ! _ Inde Rouge



       Kerala : Colère après l’assassinat de deux maoïstes !kerala-maoist-759

keralafe00Le 23 novembre dernier deux maoïstes ont été assassinés dans l’Etat du Kerala lors d’une « fake encounter ». Les « fake encounter » ou « fausses rencontres » sont des « embuscades » montées de toutes pièces par les forces de répression pour justifier leurs exactions, cela implique en général de déplacer les corps, de placer des armes qui n’étaient pas là etc.
Nous publions ici le communiqué du RDF (Revolutionary Democratic Front – Front Démocratique Révolutionnaire) ainsi que les photos des mobilisations qui ont suivi les assassinats.
Communiqué du RDF :
Condamnons la « fake encounter » contre le camarade Kuppu Devaraj, membre du Comité Central, PCI (maoïste), en charge de la WGSGZ (Western Ghats Special Guerilla Zone – Zone de Guérilla Spéciale des Ghats Occidentaux) et la camarade Ajitha, membre du comité d’Etat de la Forêt de Nilambur, Kerala !
Exigeons une nouvelle autopsie des cadavres du défunt !
Exigeons une enquête judiciaire par la Cour suprême !
Hommage aux Camarades Martyrs !
Liberté pour le camarade Soman et tous les adivasis détenues illégalement en garde-à-vue !
Liberté pour MN Ravuni (78), le dirigeant de masse révolutionnaire depuis de longues années !
Appel aux organisations populaires et démocratiques et aux individus à faire entendre leur voix en solidarité.
Le camarade Kuppu Devraj (60 ans) connu sous le nom de Yogesh, membre du Comité central et en charge du PCI (maoïste) dans la Zone de Guérilla Spéciale des Ghâts occidentaux (WGSGZ), comprenant la triple jonction du Kerala, du Karnataka et du Tamil Nadu et la camarade Ajitha (45 ans) membre du Comité d’Etat de la WGSGZ ont été tués dans une fake encounter dans les premières heures du matin du jeudi 23 novembre 2016 jeudi dans la Forêt de Nilambur, dans le district de Mallapuram au Kerala.
Plus tôt avant cela, la police du Kerala impliqués dans l’Opération Coup de Tonnerre (destiné à éradiquer physiquement les Adivasis et maoïstes dans les Ghâts occidentaux pour les intérêts des sociétés multinationales et des entreprises compradores dans le pays) a bouclé la zone forestière pendant 18 heures et ne permettait pas de s’y déplacer, y compris pour les médias. L’agent de police chargé de l’Opération Thunderbolt a déclaré que la police ne permettait pas aux médias d’y accéder car il y aurait des mines plantées par les maoïstes autour de leur camp.
Le fait est que ces deux camarades qui souffrent de problèmes de santé et sans armes avaient trouvé refuge chez des Adivasi et qu’ils ont été capturés et tués de sang-froid et qu’ensuite leurs cadavres ont été amenés et jetés là-bas. Plus tard, les gens dans les régions avoisinantes ont dit aux médias qu’ils n’ont entendu aucun échange de coup de feu retentir lors de la nuit précédente. Même la police n’a pas fait état d’aucune blessure sur le personnel de police engagé dans la « confrontation ». Tandis que selon l’hôpital de l’université médicale du gouvernement19 balles ont été retrouvées dans le corps Devaraj et 7 dans le corps Ajitha.
Il y a des rapports contradictoires non confirmées disant que Soman, dirigeant local du PCI(maoïste) de Vynad a été blessé et est en garde à vue tandis que la police nie en disant que 11 guerilleros du PCI(maoïste) ont échappé à l’opération et qu’ils passent la zone au peigne fin.
Les cadavres de Kuppu Devraj et Ajitha ont été déplacés à l’hôpital de l’université médicale du gouvernementet la police affirment que l’autopsie a été effectuée et que les organes seront conservés à la morgue jusqu’à lundi 28 novembre. Cela signifie qu’aucune des instruction de la Commission Nationale des Droits de l’Homme n’a été suivi, de même concernant le récent jugement de la Cour suprême concernant les meurtres lors d’affrontements. Les photos des cadavres n’ont pas été publiées dans les deux journaux nationaux, sauf celui de Devraj avec le communiqué de presse de la police. Les familles ne sont pas informées. Les cadavres n’ont pas été présentés à la mère, le frère et la sœur de Devraj et à l’oncle d’Ajitha qui est arrivé à Kozikode le 25 novembre. Au lieu de cela les policiers ont inculpé et arrêté vingt membres de l’organisation des droits de l’homme (Janakeeya Manushyavakasha Prasthanam) et ont menacé les parents de défunts de quitter les lieux. Comme le nombre de manifestants a augmenté la police a été contrainte de libérer les militants de JMP mais celle-ci a aussi transféré le camarade MN Ravunuri, chef de masse révolutionnaire de Porattam et vice-président du Comité pour la libération des prisonniers politiques (CRPP) à un autre poste de police.
Le camarade MN Ravunuri a 78 ans et état l’un des principaux membres du Parti Communiste d’Inde dans la province de Madras en 1950, il est aussi un partisan connu de la voie Naxalbari.
Ammini, la vieille mère âgée de Kuppu Devarajan, Babu son frère et ses sœurs qui sont en attente depuis les quatre derniers jours dans un lotissement hospitalier exigent une nouvelle autopsie. Le CRPP et le JMP soutiennent leur demande et ont remplis une requête au tribunal de Kozikode qui sera entendue le mardi 29 novembre. Le tribunal a ordonné la conservation des cadavres dans la morgue de l’hôpital GMC, Kozikode jusqu’à ce que la requête soit traitée.
La Commission de l’Etat du Kerala pour les Droits de l’Homme a demandé au chef de la police de l’Etat pour traiter la question et de présenter un rapport dans les deux semaines. Le membre du comité pour les droits de l’homme K. Mohan Kumar a dit que le mystère entourant l’incident doit être démêlé.  La Direction générale de la criminalité est dirigé par le chef de la police de l’État, elle ne peut donc pas effacer les doutes de « fake encounter » car cela compromettrait toute l’Opération Thunderbolt et le programme anti-maoïste des trois états, à savoir le Kerala, le Karnataka et le Tamil Nadu et le gouvernement central, au service de l’intérêt des industries minières et privées de MNC et des grands bourgeois. Nous exigeons une enquête judiciaire par le juge ou juge à la retraite de la Cour suprême dans cette « fake encounter ». Le bureau du ministre en chef a publié une note disant que le ministre en chef Pinaraya Vijayan a ordonné une enquête judiciaire sur l’affrontement et a demandé au sous-collecteur de mener l’enquête.
Mani, le ministre de l’électricité dans l’État du Kerala a laissé entendre que, puisque les maoïstes ne sont pas communistes comme ils se livrent à la violence aveugle et l’extorsion alors méritent des tueries lors des embuscades. Cela contraste avec le scénario du Chattisgarh où le Secrétaire d’Etat du PCI (marxiste) est impliqué dans une affaire d’assassinat ainsi que les professeurs Nandini Sunder et Archana Prasad de Delhi. Ici, le gouvernement du PCI (marxiste) poursuit l’Opération Thunderbolt, faisant partie de l’opération Greenhunt, la Mission 2016, la guerre contre le peuple alors que le Congrès et le gouvernement actuel pro-Hindou de Modi ordonne de tirer à vue dans les Ghâts occidentaux. Lorsqu’il s’agit des Adivasis, des Dalits et des musulmans, les politiques des partis politiques au sein du gouvernement sont les même et cela est prouvé une fois de plus avec cette fake encounter. Dans les Ghâts occidentaux, c’est la deuxième « embuscade » importante après celle où le camarade Saketh Rajan perdit la vie en 2005 et peut-être la deuxième embuscade importante dans le Kerala après celle où le camarade Vergheese perdit la vie en 1969.
Ceci est peut-être la première embuscade majeure dans le Kerala sous le gouvernement du PCI (marxiste). C’est pourquoi même son partenaire du front de gauche le PCI la condamne comme une « fake encounter » et exige une enquête judiciaire.Le secrétaire d’Etat du PCI Kanam Rajendran et les dirigeants de l’État sont critiques de l’action de la police et avaient clairement que le PCI n’approuve pas que le Kerala soit transformé en une terre où les maoïstes sont traqués. Le chef de l’opposition, ministre de l’Intérieur au sein du gouvernement du Congrès Ramesh Chennithala s’est exprimé contre les enquêtes magistrales du département criminel en disant qu’elles sontnettement insuffisantes pour faire ressortir la vérité. Seule une enquête équitable pourrait convaincre les gens quant à la véracité des propos de la police. Par conséquent, Chennathala a dit qu’il doit y avoir une enquête par un juge ou juge à la retraite de la Haute Court. Bien que cette déclaration reflète le changement des couleurs et des positions des partis parlementaires lorsqu’ils sont dans ou hors du pouvoir, cela doit être enregistré.
Le camarade Kuppu Devraj est né à Krishnagiri dans le Tamilnadu, mais son activité politique révolutionnaire a pris place dans le Karnataka, jusqu’à ce qu’il a pris la responsabilité de la zone de guérilla spéciale des Ghâts occidentaux. Devaraj est diplômé en ingénierie avec un niveau intellectuel de haut calibre et parle couramment le Tamil, Kannada, Malayalam, Telugu et l’Anglais. Il était un artiste interprète et activiste culturelle et a servi en tant que membre exécutif de La ligue de toute l’Inde pour la culture révolutionnaire (AILRC – All India League for Revolutionary Culture) à la fin des années 1980. Après un certain temps, il est rentré dans la clandestinité et est devenu le secrétaire du PCI (ML) PW (Parti Communiste d’Inde (Marxiste-Léniniste) Guerre Populaire) dans le Karnataka et est monté jusqu’au Comité central du PCI (maoïste) après la fusion du MCCI (Centre Commuiste Maoïste d’Inde) en 2004. Il est plus âge que le Martyr Camarade Saketh Rajan et plus jeune que Cherukuri Raja Kumar du Karnataka.
La camarade Ajitha, fille de Parandhaman qui a servi dans les chemins de fer indiens comme officier, a rejoint le mouvement de masse révolutionnaire dans les années 1980 et a organisé le mouvement de libération des femmes et a également combattu pour les droits démocratiques comme avocate à Chennai. Plus tard, elle est entrée dans la clandestinité et est devenu une partie de la lutte révolutionnaire maoïste des Ghâts occidentaux.
En dépit de sa vision défaillante et de sa santé qui se détériorait Ajitha a résisté à l’épreuve d’une vie clandestine au milieu des Adivasis et des Dalits. Kuppu Devaraj et Ajitha sont nés dans des familles dalits et imbibées de conscience de classe révolutionnaire pour servir les grandes masses laborieuses exploitées de ce pays.
Le RDF rend hommage aux camarades Kuppa Devaraj et Ajitha et exige une nouvelle autopsie des cadavres et une enquête judiciaire sur l’embuscade et de punir les officiels impliqués dans cette opération. Le RDF les démocrates et le peuple à se lever en solidarité.
Varavara Rao
Président
Front Révolutionnaire Démocratique (RDF -Revolutionary Democratic Front)
Hyderabad
29 novembre 2016
Mobilisations suite aux assassinats :
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Le site Inde Rouge est lancé ! by CSR Inde


Ce site présentera en français les actualités de la Guerre Populaire en Inde, des documents d’analyses, des interviews et tout ce qui touche la révolution en Inde.
Il constitue la suite de ce blog du Comité de Soutien à la Révolution en Inde
Il s’enrichira également grâce à votre participation : envoyez-nous des articles, liens, vidéos, traductions, images, musique,… qui pourraient être publiés sur ce site.
Soutenons la Guerre Populaire en Inde !
Inde Rouge
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contact[at]inderouge.fr
Inde Rouge
L’Inde est en effervescence. Les opprimés s’y révoltent de manière conséquente en menant une révolution, la Guerre Populaire Prolongée, contre l’impérialisme et la bourgeoisie indienne.
Ce mouvement touche une grande partie du pays et réussit à chasser au moins temporairement les forces de répression de certaines zones de guérilla où le peuple a pris ses affaires en main et s’organise malgré les menaces constantes des forces de l’Etat indien et les massacres touchant non seulement les militants mais aussi les non organisés.
La guerre populaire a commencé là où la révolte, la pauvreté, l’exploitation tribale et capitaliste, l’oppression de caste, le pillage des ressources naturelles étaient les plus profondément enracinés et donc là où les contradictions générées par le capitalisme indien sous la direction de l’impérialisme étaient les plus aiguës. Aujourd’hui la guerre populaire est également en train de rallier la jeunesse, les étudiants, les intellectuels démocrates et révolutionnaires dans les villes. Malgré le silence des médias dominants, elle attire l’attention et gagne un soutien des démocrates et révolutionnaires dans le monde entier.
Contre la guerre populaire, l’Etat indien, dirigé par des fascistes hindous, avec le soutien de l’impérialisme, a déclenché une immense offensive de répression. Concrètement, l’Etat indien mène une véritable guerre d’extermination contre le peuple d’Inde avec de véritables escadrons de la mort qui pillent, violent et tuent les paysans, les Adivasis (tribaux) et les démocrates sans le moindre motif comme au Bastar.
Tout cela dans l’illusion de noyer dans le sang la lutte du peuple pour sa libération, tout cela avec le soutien des gouvernements impérialistes des USA, de l’Europe dont la France et de la Russie qui pillent les ressources, fournissent des armes et concluent des coopérations militaires et policières.
Un vaste front d’intellectuels s’est levé contre les crimes de l’Etat Indien. Il comprenant notamment l’écrivaine Arundhati Roy, le professeur Saibaba ou encore le poète Varavara Rao. Et dans le monde entier, des militants politiques et intellectuels comme Noam Chomsky mais aussi beaucoup d’anonymes ont dénoncé ces crimes et se mobilisent pour sauvegarder les droits fondamentaux du peuple d’Inde.
Inde Rouge s’inscrit dans ce mouvement de solidarité envers le peuple d’Inde, qui est en train d’écrire un nouveau chapitre de l’histoire de la lutte de classes et qui doit éclairer notre chemin en France pour nous mener à la Révolution.
Avec la guerre populaire en Inde, en avant pour la victoire !
Inde Rouge
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Galiza -India Honor e Gloria ao Camarada Kappusamy e a Camarada Kaveri!







Dende o Comité Galego de Apoio a Guerra Popular na India, queremos mostrar toda a nosa solidariedade coas familiares e amigos dos dous camaradas asasinados cobardemente o xoves pasado nun "falso encontro" en Kerala. Kappu Devraj, membro do Comité Central do Partico Comunista da India (Maoísta) e Ajitha, muller loitadora e activista.

Honor e Gloria ao Camarada Kappusamy e a Camarada Kaveri!

Longa Vida a Guerra Popular na India!


English unoficcial traslate:

From the Galician Committee for Supporting People's War in India, we would like all our solidarity with the families and friends of the two comrades killed cowardly on Thursday in a "fake encounter" in Kerala. Kappu Devraj, a member of the Central Committee of the Communist Party of India (Maoist) and Ajitha, woman fighter and activist.

Honor and Glory to Comrade Kappusamy and Kaveri Comrade!

Long Live the People's War in India!

Austria - Gegen den Wahlzirkus! Für aktiven Wahlboykott!

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Seit über einem Jahr befindet sich Österreich im Wahlkampf. Viele Millionen wurden für diesen Anlass inzwischen ausgegeben, während die Herrschenden gleichzeitig erzählen, dass für vieles andere „kein Geld da ist“, während die Arbeitslosigkeit steigt, Löhne gekürzt werden und Mieten immer teurer werden.
Eine „Wahl der Entscheidung“ über die Zukunft Österreich sei es, sagen die Herrschenden und die etablierten Medien, doch in Wahrheit ist es ein einziger großer Betrug am Volk! Van der Bellen, der angeblich liberale, linke Kandidat, stand seine ganze politische Karriere lang an der Seite jener, die mit allen Mitteln gegen die Arbeiter und die Volksmassen vorgehen – nicht umsonst spielte er in der Vorbereitung der NATO-Aggression gegen Jugoslawien eine wichtige Rolle und trat damals schon für eine enge Kooperation Österreichs mit der NATO ein. Daher wird er auch von Leuten wie Herrn Haselsteiner unterstützt, einem der einflussreichsten Industriellen Österreichs, der ebenso mit der Zerschlagung Jugoslawiens Profite in Milliardenhöhe machte. Nicht umsonst tritt Van der Bellen auch für massive (Steuer-)Erleichterungen für Großunternehmer ein. Van der Bellen ist ein Freund der Kriegstreiber, der NATO-Aggressoren und der milliardenschweren Industriellen, und er soll ein „Linker“ sein? Das ist schlichtweg lächerlich!
Norbert Hofer hingegen ist um nichts besser. Erst vor kurzer Zeit machte er offensiv Werbung für die Zeitschrift „Aula“, um welche sich Nazis und andere Faschisten sammeln. Er hat Verbindungen zur aktiven Nazi-Szene und zu Kreisen der Burschenschaften. Auch er wird von mehreren Industriellen unterstützt, seine Partei forderte in Oberösterreich vor einigen Wochen sogar die Abschaffung des 13. Monatsgehalts unter bestimmten Bedingungen. Er steht für einen offenen Rassismus, für Sozialabbau und den Abbau demokratischer Rechte. Auch er möchte viele Erleichterungen für milliardenschwere Kapitalisten schaffen und es ihnen leichter machen, die Arbeiterinnen und Arbeiter weiter zu schröpfen. Er kann niemals ein Kandidat der ArbeiterInnen und des Volkes sein.
Keiner der beiden Kandidaten ist für die ArbeiterInnen und das Volk, denn beide sind Kandidaten der herrschenden Klasse, die uns aussaugt und unterdrückt! Wie auch immer die Präsidentschaftswahl ausgeht, es wird sich nichts wesentlich ändern. Der Zirkus der Wahlen soll die Bevölkerung einwickeln und betrügen, er soll darüber hinwegtäuschen, dass wir unter jedem der beiden Kandidaten weiterhin die sein werden, die sich mit niedrigen Löhnen, Schulden, hohen Mieten, Arbeitslosigkeit, Rassismus, usw. herumschlagen müssen. Die Wahlen sollen uns die Illusion geben, dass wir dadurch Einfluss auf die Politik hätten, sie sollen verschleiern um was es tatsächlich geht: dass es eine Frage der politischen Macht ist, und nicht des „Gesichts“ dieser Macht. Es ist nicht entscheidend ob Hofer oder Van der Bellen, sondern ob die Arbeiterklasse oder das Kapital herrscht. Mit Wahlen ändert sich daran genau nichts, daher sollte man sich auch nicht daran beteiligen. Geht nicht wählen, sondern organisiert euch und unterstützt den Kampf für die Revolution, um die politische Macht der Arbeiterklasse, um den Sozialismus! Mit Wahlen werden wir an der Nase herumgeführt. Nur wenn wir Schulter an Schulter zusammenstehen gegen die Angriffe der herrschenden Klasse auf das Volk, nur dann werden wir etwas ändern und unsere Lage verbessern können.
Daher: Beteiligt euch nicht an den Wahlen! Für aktiven Wahlboykott! Organisiert euch selbst, schließt euch dem Revolutionären Aufbau an!

Nieder Mit dem Zirkus der Wahlen!
Für aktiven Wahlboykott!



Brasil - A nova democracia - editorial


Editorial – Abandonar as ilusões, partir para a luta dura e prolonga

!
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Camponeses bloqueiam rodovia no Norte de MG em 25/11

Centrar fogo para pôr abaixo Temer e sua quadrilha, derrotar os ataques aos direitos do povo, ganhando terreno no campo e na cidade a ideia de que só a Revolução de Nova Democracia pode libertar nosso povo da exploração e opressão e libertar a Nação da corrupção e do imperialismo.


Editorial AND nº 181, 1ª quinzena de dezembro
A eleição de Trump no USA é resultante deste afundamento do imperialismo ianque, em particular, e da agudização das contradições entre as classes dominantes no USA…. Quanto mais avança o afundamento geral do imperialismo ianque, mais reacionário e agressivo se fará. Assim vai se passar com todas as demais potências imperialistas.

I

O mundo inteiro está abalado pela gravíssima crise de todo sistema de dominação imperialista provocando distúrbios de magnitudes ímpares. O mundo inteiro está sacudido por tormentosas lutas e guerras. O aprofundamento da crise geral do imperialismo (o capitalismo de nossa época) aguça as contradições entre nações oprimidas e nações imperialistas por sua ação de rapina sobre as primeiras. Também agudiza as contradições entre as potências e superpotências imperialistas, principalmente a superpotência hegemônica única USA e a superpotência atômica Rússia, com mais guerras pela divisão de países (tal como Síria, Iraque, etc.) e por uma nova partilha do mundo entre os mais poderosos. Também agudiza a contradição entre proletariado e burguesia, principalmente com os violentos cortes de direitos dos trabalhadores nos próprios países imperialistas, a superexploração e o chauvinismo contra os trabalhadores imigrantes.
A eleição de Trump no USA é resultante deste afundamento do imperialismo ianque, em particular, e da agudização das contradições entre as classes dominantes no USA, a ponto do Partido Republicano ter que guindá-lo à Presidência, após uma disputa com tradicionais representantes das esferas políticas ianques. Ele conseguiu impor sua condição e já cumpriu o compromisso firmado com a extrema-direita, nomeando elementos seus para os postos-chave do Estado ianque.
Aparentemente, ele se confronta com o establishment ao se colocar acima dos políticos, entretanto, o círculo dos poderosos ianques, os banqueiros, os reis do petróleo e os do complexo industrial-militar, sentam-se é com o Pentágono, e já está determinado como tudo seguirá. Trump não fugirá ao que está escrito nas estrelas do Pentágono. O apoio de Kissinger – saído do sarcófago – é sinal de que o establishment está lá, e que vai ter queda de braço interna.
No caso da OTAN (Organização do Tratado do Atlântico Norte), por exemplo, constitui uma das maiores fontes de lucro da indústria bélica ianque e modo operacional de exercer seu domínio no mundo ocidental, e nisto persistirá.
As promessas de Trump para “tornar a América grandiosa de novo” embutem a ilusão de que basta implementar uma política protecionista para que o USA internalize empregos gerados por suas empresas no exterior. Ora, elas estão lá cumprindo uma lei maior do capitalismo que é a busca do lucro máximo e, não retornarão ao solo ianque, nem mesmo com a promessa de uma tarifa de 45% para produtos chineses. Contrariará também os consumidores, hoje habituados a pagar preços baixos por importados que substituíram a manufatura local. Daí, mais distúrbios diante da desilusão das massas de desempregados e das famílias que tiveram grande redução da renda.
Quanto mais avança o afundamento geral do imperialismo ianque, mais reacionário e agressivo se fará. Assim vai se passar com todas as demais potências imperialistas.

India : Release MN Ravunni





CONSTITUTE AN INDEPENDENT JUDICIAL ENQUIRY—FREE FROM THE INFLUENCES OF THE KERALA GOVERNMENT—INTO THE ALLEGED FAKE ENCOUNTER KILLINGS OF MS. AJITHA AND MR. KUPPU DEVRAJ, FUNCTIONARIES OF THE CPI (MAOIST)!

REDO THE POST MORTEM OF THE DECEASED UNDER THE GUIDELINES SET BY THE SUPREME COURT!

BOOK THE POLICE OFFICERS INVOLVED IN THE KILLINGS OF AJITHA AND K. DEVRAJ UNDER SEC. 302!

WITHDRAW ALL POLICE AND PARAMILITARY FROM AREAS WHERE STRUGGLES DEFENDING THE RIGHT TO LIVES AND LIVELIHOODS OF THE PEOPLE ARE GOING ON!

The usual reportage of the killings of alleged Maoists—Ajitha and Kuppu Devaraj—in a ?deadly? gun battle have possibly saturated the perception management exercises (as to how we see and understand) of the state and central governments. As the smokescreen settles, more and more questions abound about the veracity of the claims made by the Director General, Police Kerala or the local Malappuram SP and last but not the least Pinarayi Vijayan the Chief cum Home Minister of the CPM led LDF government, Kerala. Sifting through the narratives of the powers that be—the central home minister Rajnath Singh addressing police officers in Hyderabad or the statements of senior functionaries of the LDF government—one can see the policy of American exceptionalism getting articulated in various vocabularies by all apropos the modus operandi of dealing with the Maoist movement.

In the doctrine of American exceptionalism the enemy that you have declared before the world can be done away with by hook or crook. It is the most convenient tool in the hands of the US to run rough shod of international law, the notorious way US imperialism has/had been terrorizing and inflicting untold miseries and barbarity on the peoples of the world—all in the name of saving US and hence the world from the imminent danger of terror and evil.

Every international law or the UN charter is insanely and insidiously bent to make way for American exceptionalism which is nothing but the unbridled loot and plunder of the resources of the countries that US aspires to grab.

And here in the Indian subcontinent, the same barbarity becomes the state of exception, increasingly an everyday experience for the people of Jammu & Kashmir (especially Kashmiri Muslims),

RDF India - Condemn the Fake Encounter of Com. Kuppu Devaraj, Central Committee Member, CPI (M), Incharge WGSGZ and Com. Ajitha, State Committee Member in Nilambur Forest, Kerala




Condemn the Fake Encounter of Com. Kuppu Devaraj, Central Committee Member, CPI (M), Incharge WGSGZ and Com. Ajitha, State Committee Member in Nilambur Forest, Kerala

Demand re post mortem of the dead bodies of the deceased.
Demand judicial inquiry by a Supreme Court Sitting or Retired Judge
Homage to the Martyr Comrades.
Release Com. Soman and Adivasis if any in illegal police custody.
Release MN Ravuni (78), the veteran Revolutionary Mass Leader.

Appeal to the people and democratic organization and individuals to raise their voice in solidarity

Com. Kuppu Devraj (60) @ Yogesh, Central Committee Member and Incharge of CPI (Maoist) Western Ghats Special Guerilla Zone (WGSGZ), comprising the Tri junction of Kerala, Karnataka and Tamilnadu and Com. Ajitha (45) a State Committee Member of WGSGZ are killed in a fake encounter in the early morning hours of 23rd November, 2016 Thursday in Nilambur Forest of Mallapuram district, Kerala.

Earlier to that the Kerala police involved in ?Thunderbolt Operation? meant to physically eradicate the Adivasis and Maoists in the Western Ghats for the vested interests of Multi-national companies and comprador companies in the country, cordoned the forest area for eighteen hours and did not allow movement of the people including the media persons into the forest. The incharge police officer for the Thunderbolt Operation says that the police did not allow the media persons only to caution them that there will be land mines planted by the Maoists surrounding their camp.

The fact is that these two comrades who were suffering with ill health and unarmed taking shelter in the Adivasi habitation were caught and killed in cold blood and the dead bodies were brought and thrown there. Later, the people in surrounding areas told the media persons that they have not heard any fire exchange sounds in preceding night. Even the police did not claim any injury on any police personal engaged in encounter. Where as in government medical college hospital, Kozikode 19 bullets were found in Devaraj?s body and 7 in Ajitha?s body.

There are unconfirmed contradictory reports that Com. Soman, local CPI Maiost leader from Vynad is injured and is in police custody which the police are denying and saying that 11 CPI Maoist Guerillas have escaped and combing operations are being conducted in full swing.

The dead bodies of Kuppu Devraj and Ajitha are shifted to Government Medical College hospital, Kozikode (Calicut) and police claim that the post mortem is conducted and bodies will be preserved in the mortuary till Monday, 28th November, 2016. That means no NHRC guide lines and the recent Supreme Court Judgment regarding the encounter killings is followed. The photos of the dead bodies were not published in two National newspapers, except that of Devraj along with the press release of police. The families are not informed. The dead bodies were not shown to the mother, brother and sister of Devraj and Unlce of Ajitha who reached to Kozikode on the 25th November. Instead the police lathi charged and arrested twenty members of human rights organization (Janakeeya Manushyavakasha Prasthanam) and Porattam and threatened the relatives of deceased to leave the place. As the protesters number increased police were forced to release the JMP activists but shifted Com. M.N. Ravunuri, Veteran revolutionary mass leader of Porattam and Vice President of Committee for Release of Political Prisoners (CRPP) to another police station.

Com. M.N. Ravunuri is 78 and one of the senior members of undivided Communist party of India in Madras Province in 1950s and a public votary of Naxalbari path.

Ammini, the old aged mother of Kuppu Devarajan, Babu his brother and sisters who are waiting for the last four days in precincts GMC Hospital, Kozikode are demanding for repostmortem and CRPP JMP advocates also are supporting the demand and filled a petiotion in sessions court of Kozikode which will be heard on 29th of November, Tuesday. The court ordered the preservation of dead bodies in mortuary of GMC Hospital, Kozikode till the petition is disposed.

The Kerala State Human Rights Commission asked the state police chief to probe the matter and submit a report within two weeks.

SHRC member K. Mohan Kumar said that the mystery surrounding the incident should be unraveled. The order came on the basis of a complaint by an activist P.K. Raju who stated that the police has not been able to furnish a credible explanation on the killings even two days after the encounter.

The Crime Branch of State probe is ordered by the State Police Chief cannot clear the doubts of fake encounter since it involves the ?Operation Thunderbolt? and anti-maoist program of three states, i.e. Kerala, Karnataka and Tamilnadu and the Central government, to serve the vested interest of mining and private industries of MNC?s and big bourgeois. We demand a judicial enquiry by the sitting or retired judge of Supreme Court in to this fake encounter.

The Chief Minister office issued a note that the Chief Minister Pinaraya Vijayan has ordered a magisterial inquiry into the encounter and asked the sub collector to conduct the inquiry.

The Chief Minister has also referred the case registered in connection with the ?encounter killing? to the Crime Branch for further probe.
Mani, the minister for electricity in Kerala state govt. was suggesting that since Maoists are not communists as they indulge in mindless violence and extortion they deserve encounter killings and tried to guard himself, skipping that since magisterial inquiry is ordered he will not comment on ?Encounter?.

It contrasts with the contemporary scenario in Chattisgarh where the State Secretary of CPI (M) is implicated in a murder case along with Professors Nandini Sunder and Archana Prasad from Delhi. There the allegation is Maoists killed an Adivasi ofcourse a police stooge. Here the CPI (M) Govt. is continuing the Thunderbolt, part of Greenhunt Operation, Mission 2016, the War on People, the erst while Congress and present Modi?s Hinduthva government pogrom, with shoot at sight orders in Western Ghats. In dealing with Adivasis, Dalits and Muslims the policies of political parties in government are one and same is proved once again in Nilambur encounter.

In Western Ghats it is second major encounter after Com. Saketh Rajan in 2005 and may be second major encounter in Kerala after Com. Vergheese encounter in 1969.

Vijaya Kumar Ex CRPF Chief and security advisor on the Maoist movement to Govt. of India claimed in Chennai that it is great achievement to the state and big bolt to CPI Maoist. It seems his direction and Q branch of TN state role cannot be ruled out in this Thunderbolt operation. This will be the second direct involvement of Vijay Kumar after Kishanji?s encounter killing in Jangalmahal, Bengal.

This is perhaps the first major encounter in Kerala under CPI (M) government. That?s why even the left front partner CPI is condemning it as fake encounter and demanding judicial enquiry.

The CPI State secretary Kanam Rajendran and state leaders are critical of police action and had made it clear that the CPI did not approve of Kerala being turned into a land where Maoists are hunted down.

The leader of opposition, home minister in Congress government Ramesh Chennithala came out against magisterial and Crime Branch enquiries terming them grossly inadequate to bring out the truth.

?The Crime Branch inquiry would be particularly futile as the killing had been carried out by another wing of State Police. Only a fair inquiry would convince the people about the veracity or the police claims. Therefore, there must be an inquiry by a sitting or retired judge of the High Court? Mr. Chennathala said.

Though this statement reflects the changing of colours and positions of parliamentary parties while in and out of power, it should go on record for as posterity of history demands.

Com. Kuppu Devraj is born in Krishnagiri of Tamilnadu but his revolutionary political activity is all through in Karnataka, till he took the responsibility of Western Ghats special guerilla zone. Devaraj is an engineering graduate with an intellectual of high caliber and is well versed in Tamil, Kannada, Malayalam, Telugu and English.

He was a performing artist and cultural activist and served as an executive member of All India League for Revolutionary Culture (AILRC) in the later year of 1980s. After one term he has gone under ground and became the Secretary of CPI (ML) PW, Karnataka and rose to the Central Committee, CPI Maoist after the merger of MCCI in 2004. He is senior to Martyrs Com. Saketh Rajan and junior to Cherukuri Raja Kumar in Karnataka party during last four decades.

Com. Ajitha daughter of Parandhaman, who served in Indian Railways as an officer, since retired, and deceased, joined the Revolutionary mass movement in 1980s organized the women liberation movement and also fought for democratic rights as an advocate in Chennai. Later she went under ground and has become part of Western Ghats Maoist revolutionary struggle.

Inspite of her failing eye sight and deteriouling health Ajitha withstood the ordeal of an under ground life in the midst of Adivasis and Dalits. Kuppu Devaraj and Ajitha were born into Dalit families and imbibed Revolutionary class consciousness to serve the exploited toiling broad masses of this country.

RDF pays homage to tow comrades Kuppa Devaraj and Ajitha and demands for repost mortem of dead bodies and judicial inquiry into the encounter and punish the officials involved in this operation. RDF appeals to the Democratics and people to stand in solidarity.

Varavara Rao
President
Revolutionary Democratice Front (RDF)
Hyderabad
29th November, 2016

24 november - still from Greece - spanish language

Grecia: Protesta de solidaridad con los presos políticos y de condena de los asesinatos de revolucionarios, delante de la Embajada de la India



El sábado, 26 de noviembre de 2016, se produjo una manifestación frente a la Embajada de la India en Atenas. Los manifestantes condenaron el continuo encarcelamiento de revolucionarios indios Ajith y Kobad Gandhy así como otros presos políticos en la India. Fue una iniciativa del Comité de Solidaridad que fue apoyado por organizaciones de izquierda.
En esta reunión, los manifestantes gritaron consignas de solidaridad con los militantes indios y de condena de las acusaciones injustas y las duras condiciones de prisión. Condenaron las políticas bárbaras y sanguinarias del gobierno Modi . A través de sus lemas declararon que los verdaderos terroristas son los imperialistas y no los pueblos oprimidos ni los militantes que son un obstáculo para los planes imperialistas.





24 november - still from Brasil

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In Frankreich wurden in Paris und Clermont-Ferrand Kundgebungen abgehalten, in Paris auf dem Platz der Republik. Zusätzlich wurden Wandmalungen und Plakate an Universitäten angebracht.
Republique paris indien

24 november - still from Chile

Desde el Frente de Estudiantes Revolucionario y Popular adherimos a la campaña internacional de apoyo a la Guerra Popular en la India, por la libertad de los compañeros Ajith, Kobad Gandhy y todos los más de mil presos políticos de la India, en el día del quinto aniversario del cobarde asesinato del compañero Kishenji.

En este país ("la democracia más grande del mundo") el pueblo se ha alzado en armas contra el imperialismo, la semifeudalidad, el viejo Estado y su régimen fascista de Modi. Los campesinos conquistan su tierra, el proletariado dirige la revolución a través de un verdadero Partido Comunista Maoísta con bases de apoyo en más de un tercio del territorio. Las mujeres libran una heroica batalla como guerrilleras, barriendo con miles de años de opresión patriarcal.

Es por esto que este 24 de noviembre, acudiendo al llamado internacionalista del Comité Internacional de Apoyo a la Guerra Popular en la India, un destacamento de jóvenes populares y estudiantes revolucionarios del FERP realizaron una acción en la embajada de la India, además de otras acciones de propaganda, que junto con las hechas en todo el mundo, repercuten y apoyan el proceso de barrimiento del viejo Estado de la India que llevan a cabo los revolucionarios de ese país.

Llamamos a apoyar la revolución en la India y a seguir su camino, luchando también por la libertad de los presos políticos Mapuche y chilenos, y luchando por la Revolución de Nueva Democracia en nuestro país, siguiendo así el camino revolucionario que hoy, con Guerra Popular llevan adelante los pueblos del Perú, la India, Turquía y Filipinas

¡VIVA LA GUERRA POPULAR EN LA INDIA!
¡LIBERTAD AL COMPAÑERO AJITH, KOBAD GANDHY Y TODOS LOS PRESOS POLÍTICOS DE LA INDIA!


Frente de Estudiantes Revolucionario y Popular

24 november India - in Germany


India - Athens, Greece Protest of Solidarity with the political prisoners and condemnation of the murders of Revolutionaries, outside the Indian Embassy




On Saturday 26 November 2016 there was a protest outside the Indian Embassy in Athens. The protesters condemned the continuing imprisonment of Indian revolutionaries Ajith and Kobad Gandhy as well as other political prisoners in India. It was an initiative by the Solisarity Commitee which is supported by Left organizations.

In this gathering the protesters shouted slogans of solidarity to the Indian militants and of condemnation of the unjust accusations and the harsh conditions of imprisonment. They condemned the barbaric and murderous policies of the Modi government. Through their slogan they declared that the real terrorists are the imperialists and not the oppressed peoples and the militants who are an obstacle to the imperialist schemes.

The gathering and the resolution of the Solidarity Commitee condemned intensely the mass murders, tortures, rapes and extrajudicial executions that are an everyday occurrence in India in the context of Operation Green Hunt. We demanded a stop to this murderous operation that targets the communists and the poor peasantry who struggle for their land against the plunder of multinationals and mining corporations.

The protesters demanded to paste the resolution on the Indian Embassy entrance, but police forces denied them access to the Embassy. There was also presence of Indian security personel who videoscoped the protesters' faces. Of course we chased them away. We condemned the denial of our right to paste the resolution on the Embassy door as well as the attempt to terrorize us by mass presence of police forces.

We declare that state terrorism cannot silence all those that want to shout for peoples' rights! The Solidarity Commitee will continue acting in support of Indian revolutionaries and express in every instance its solidarity!