Cité des Hauts Toupets à Vauréal
Le
19 juillet 2016, le jour de son anniversaire, Adama Traoré meurt
asphyxié lors d’une interpellation par les gendarmes de Beaumont. Très
vite, la « justice » bourgeoise nie le crime des gendarmes et le
procureur de la République déclare qu’Adama a eu un « malaise
cardiaque » suite à une « infection très grave » rajoutant même qu’il y
avait des « traces de cannabis » dans le sang d’Adama afin de rejeter la
faute sur la victime. Face à une famille unie et des proches solidaires
qui réclament justice pour leur fils, frère ou ami depuis un an, le
rouleau-compresseur de la justice bourgeoise n’a cessé de multiplier les
intimidations pour les faire taire et étouffer l’affaire du meurtre
d’Adama Traoré.
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