La police n’ayant strictement rien de
sérieux contre les militants arrêtés la garde à vue a été prolongée de
24h pour chercher des « éléments » en utilisant notamment la
vidéosurveillance de la CFDT. Néanmoins au bout de 48 heures de garde à
vue les camarades ont été relâchés sans suite. Voilà comment on peut
passer 48h en garde à vue pour un collage d’affiche et parce que l’on
est accusé sans preuve d’avoir fait un graffiti ! On s’aperçoit une fois
de plus qu’avec l’état d’urgence la police se croit tout permis. Cet
état d’urgence sert surtout à cibler les quartiers populaires en
augmentant le harcèlement policier et en perquisitionnant à toute heure
sans justification. Un autre de nos camarades passent notamment en
procès fin mai à Clermont-Ferrand car il est accusé d’être
l’organisateur d’une manifestation contre l’état d’urgence ! (voir ici)
A bas l’état d’urgence et la répression !
Organisons la solidarité contre la répression !
Rendons coup pour coup !
Osons lutter ! Osons vaincre !
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