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Georges Abdallah toujours présent dans les manifestations internationales de solidarité avec le peuple palestinien de Gaza, sous les bombes israéliennes depuis plus d’un mois.
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Dans la bande de Gaza, « prison à ciel ouvert « depuis bien trop d’années, les groupes de Résistance ont pris les armes contre la colonisation sioniste que les Palestiniens subissent depuis plus de 75 ans.
Tout au long de l’histoire, les groupes opprimés, qu’ils aient souffert du colonialisme de peuplement, des systèmes d’esclavage, de l’apartheid ou de la domination coloniale, ont utilisé la lutte armée comme stratégie pour se libérer et restaurer leur dignité humaine. Souvent, après l’échec des stratégies non violentes telles que les boycotts, les grèves générales et les appels à la bonne volonté de leurs oppresseurs, la violence devient l’outil naturel des opprimés.
Robert Inlakesh in https://ismfrance.org/index.php/2023/11/10/les-luttes-de-liberation-les-revoltes-desclaves-et-les-revolutions-sont-sanglantes-mais-necessaires/
En 2009, alors que Gaza était encore et encore attaquée, Georges Abdallah écrivait :
« Lors de cette énième agression sioniste contre Gaza, des centaines et des centaines de milliers ont investi les rues de la plupart des grandes villes du monde criant leur colère et leur indignation et affirmant leur indéfectible solidarité avec les masses populaires palestiniennes. »
Contrairement aux paroles prononcées à Tel Aviv par la présidente de l’Assemblée nationale française, rien ne doit empêcher (non pas Israël) mais les Palestiniens de se défendre de 75 ans d’une colonisation galopante sioniste avec son cortège de massacres, de destructions, d’emprisonnements et de harcèlement au quotidien.
« RÉSISTER ET TOUJOURS RÉSISTER JUSQU’AU CHANGEMENT DES RAPPORTS DE FORCES… »
Dans les décombres fumants de cette enclave grandit la prochaine génération de combattants palestiniens, plus déterminée que la précédente, le coeur rempli de rage et d’une inextinguible haine.
Alain Gresh, Monde Diplomatique, novembre 2023
Non seulement la solidarité avec le combattant communiste Georges Abdallah était scandé et affiché tout au long de ces manifestations de soutien à toute la Palestine, mais la complicité française avec cette offensive sioniste meurtrière sur la Bande de Gaza y a été aussi fortement dénoncée. Une complicité qui va de la vente d’armes régulière à Israël et du soutien inconditionnel à cet État, à un refus télécommandé par les États-unis de ne pas libérer notre Camarade Georges Abdallah depuis près de 40 ans, un résistant aux occupations sionistes de son pays le Liban, un militant aux côtés des Palestiniens depuis son plus jeune âge.
Les milliers de prisonnières et de prisonniers embastillé es depuis tant d’années, pour certain es depuis plusieurs décennies, incarnent aujourd’hui plus que jamais la Résistance du peuple palestinien dans la pluralité de ses expressions. Et ce gouvernement sioniste plus que tout autre auparavant, ne peut qu’intensifier la répression et tenter d’élargir toujours plus le champ de destruction de tout ce qui est Palestinien, et plus particulièrement tout ce qui agrège la volonté collective de Résistance globale. De toute façon dans sa fuite en avant il ne peut pas avoir d’autres choix… Certes, il va droit au mur et beaucoup de ses plus zélés protecteurs et complices le savent aussi ; mais eux à leur tour, ils n’ont pas d’autres choix et ils vont droit au mur.
Georges Abdallah, 17 avril 2023, Journée internationale des prisonniers palestiniens
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