Un groupe secret formé d’environ 200
militaires de la Bundeswehr, des forces spéciales et des membres de
l’association des soldats d’élite Uniter planifiaient d’éliminer des
politiciens, des leaders d’organisation défendant les demandeurs d’asile
et des migrants. Le complot prévoyait rassembler des hommes politiques
impopulaires dans un lieu de meurtre un « jour J ». La liste
d’éventuelles victimes reprend entre autre le nom de Dietmar Bartsch, le
chef de file du parti Die Linke au Bundestag. Des dépôts secrets
d’armes et de carburant avaient également été aménagés.
Un lieutenant-colonel du Service de sécurité militaire (MAD) avait tenté de faire obstruction à l’enquête en mettant en garde les conspirateurs contre des perquisitions et en les informant sur le déroulement de l’enquête en général. Des poursuites judiciaires auraient été engagées à son encontre par le tribunal de Cologne. La conspiration aurait été mise au jour dans le cadre d’une enquête sur l’affaire d’un soldat qui préparait des attaques terroristes contre les autorités allemandes. Ce soldat avait livré de fausses informations au service de migration, affirmant notamment qu’il était un réfugié syrien, dans le but de rejeter la responsabilité des attentats sur des migrants musulmans.
Un lieutenant-colonel du Service de sécurité militaire (MAD) avait tenté de faire obstruction à l’enquête en mettant en garde les conspirateurs contre des perquisitions et en les informant sur le déroulement de l’enquête en général. Des poursuites judiciaires auraient été engagées à son encontre par le tribunal de Cologne. La conspiration aurait été mise au jour dans le cadre d’une enquête sur l’affaire d’un soldat qui préparait des attaques terroristes contre les autorités allemandes. Ce soldat avait livré de fausses informations au service de migration, affirmant notamment qu’il était un réfugié syrien, dans le but de rejeter la responsabilité des attentats sur des migrants musulmans.
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