le cri rouge
Octobre 1991 était le début d'une longue série d'attaques barbares et sanguinaires menées par les fascistes islamistes contre les universités marocaines surtout de Fès et Oujda : bastions du mouvement militants marxistes léninistes qui dominait incontestablement l’UNEM (Union Nationale des Etudiants du Maroc).
Le mouvement estudiantin sous la direction du VDB (nomination du mouvement ML au sein de l’université) a pu résister aux représailles de l’Etat marocain pendant les années 1984, 1986,1987 et 1988, résister et réussir à mobiliser les masses estudiantines et menés de grandes luttes comme celle du boycott des examens en 1989, durant ces années plusieurs sont tombés comme martyrs Moustapha Belhouari, Boubker Douraidi, Zoubida Khalifa et Adil Ajraoui et d’autres ont purgés de longues années de prison.
Face à l’impuissance de l’Etat réactionnaire à mettre sa main sur ces universités/bastions, il a trouvé opportun d’utiliser les fascistes islamistes afin de continuer à perpétrer des crimes contre les étudiants communistes et c’est ainsi que le 25 octobre 1991à 06 du matin les patrouilles de la police qui ne quittaient jamais leurs positions devant les différents bâtiments de l’université de Fès se sont retirés et les milices islamistes (entre 2000 et 3000 selon certaines sources) ont commencé leur attaque et ont visé la cité universitaire (résidence),qui était en quelque sorte le quartier général des camarades, la bataille a duré plusieurs heures, voir tout le week end ;chaque fois que les étudiants sous la direction du VDB arrivaient à repousser et à écraser une attaque, les forces de l’ordre intervenaient. Devant ces scènes flagrantes de la complicité de l’appareil répressif de l’Etat, les quartiers populaires avoisinants le complexe universitaire ont rejoint les camarades et ont étaient d’une aide inestimable en logistiques et en informations. Après de grands sacrifices (graves blessures, arrestations…)les fascistes ont fini par être chassés comme des rats.
Le 31/10 cette fois-ci à Oujda, après une semaine d’affrontements (de moindre ampleur mais aussi sanglante qu’à Fès ) avec les fasciste islamistes, ces derniers ont réussi a kidnappé à 11h00, le camarade Boumli Maati de son cours de travaux pratiques devant son professeur et ses collègues, il a été conduit dans une maison et sera exécuté en lui coupant les artères (surtout celles de ses jambes) avec un pince et en le laissant se vider de son sang. Le lendemain à 5h00 du matin ses assassins ont laissé son corps avec une bouteille remplie de son sang.
Deux ans plus tard, un autre martyr tombera mais à Fès, il s’agit d’Ait Al Jid Benaissa (frappé à la tête avec un trottoir détaché de la voirie).
Octobre 1991 était le début d'une longue série d'attaques barbares et sanguinaires menées par les fascistes islamistes contre les universités marocaines surtout de Fès et Oujda : bastions du mouvement militants marxistes léninistes qui dominait incontestablement l’UNEM (Union Nationale des Etudiants du Maroc).
Le mouvement estudiantin sous la direction du VDB (nomination du mouvement ML au sein de l’université) a pu résister aux représailles de l’Etat marocain pendant les années 1984, 1986,1987 et 1988, résister et réussir à mobiliser les masses estudiantines et menés de grandes luttes comme celle du boycott des examens en 1989, durant ces années plusieurs sont tombés comme martyrs Moustapha Belhouari, Boubker Douraidi, Zoubida Khalifa et Adil Ajraoui et d’autres ont purgés de longues années de prison.
Face à l’impuissance de l’Etat réactionnaire à mettre sa main sur ces universités/bastions, il a trouvé opportun d’utiliser les fascistes islamistes afin de continuer à perpétrer des crimes contre les étudiants communistes et c’est ainsi que le 25 octobre 1991à 06 du matin les patrouilles de la police qui ne quittaient jamais leurs positions devant les différents bâtiments de l’université de Fès se sont retirés et les milices islamistes (entre 2000 et 3000 selon certaines sources) ont commencé leur attaque et ont visé la cité universitaire (résidence),qui était en quelque sorte le quartier général des camarades, la bataille a duré plusieurs heures, voir tout le week end ;chaque fois que les étudiants sous la direction du VDB arrivaient à repousser et à écraser une attaque, les forces de l’ordre intervenaient. Devant ces scènes flagrantes de la complicité de l’appareil répressif de l’Etat, les quartiers populaires avoisinants le complexe universitaire ont rejoint les camarades et ont étaient d’une aide inestimable en logistiques et en informations. Après de grands sacrifices (graves blessures, arrestations…)les fascistes ont fini par être chassés comme des rats.
Le 31/10 cette fois-ci à Oujda, après une semaine d’affrontements (de moindre ampleur mais aussi sanglante qu’à Fès ) avec les fasciste islamistes, ces derniers ont réussi a kidnappé à 11h00, le camarade Boumli Maati de son cours de travaux pratiques devant son professeur et ses collègues, il a été conduit dans une maison et sera exécuté en lui coupant les artères (surtout celles de ses jambes) avec un pince et en le laissant se vider de son sang. Le lendemain à 5h00 du matin ses assassins ont laissé son corps avec une bouteille remplie de son sang.
Deux ans plus tard, un autre martyr tombera mais à Fès, il s’agit d’Ait Al Jid Benaissa (frappé à la tête avec un trottoir détaché de la voirie).
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