France : "Gilets noirs" interpellés au Panthéon, une vingtaine de sans-papiers en rétention administrative
Après l’action des "gilets noirs" au
Panthéon à Paris, une vingtaine de sans-papiers ont été placés en
rétention administrative. Par ailleurs, une personne est en garde à vue
pour "violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité
publique". Le vendredi 12 juillet, environ 700 personnes ont brièvement
occupé le Panthéon à Paris avant d’être évacuées par la police. Ces
"gilets noirs" sont des sans-papiers qui réclament leur régularisation
et un rendez-vous avec le Premier ministre Édouard Philippe.
Affrontements entre gilets noirs et police devant le Panthéon de Paris le vendredi 12 juillet 14 juillet 2019
Affrontements entre gilets noirs et police devant le Panthéon de Paris le vendredi 12 juillet 14 juillet 2019
France : Gilets jaunes à Paris, 175 arrestations
175 personnes ont été interpellées par les
forces de l’ordre à l’occasion du 14 juillet à Paris, où les "gilets
jaunes" avaient appelé à manifester. Quelques dizaines d’entre eux ont
sifflé le président Macron alors qu’il descendait l’avenue des
Champs-Elysées à bord d’un "command car", avant le défilé militaire. En
début d’après-midi, les manifestants sont parvenus à se rassembler sur
les Champs-Elysées. Les manifestants essayaient d’ériger des obstacles
sur l’avenue tandis que les forces de l’ordre tentaient de les disperser
par des tirs de grenades lacrymogènes.
Trois figures du mouvement des "gilets jaunes", Jérôme Rodrigues Maxime Nicolle et Eric Drouet, ont été placées en garde à vue dimanche. Les deux premiers pour "organisation d’une manifestation illicite", le troisième pour "rébellion". C’est la première fois depuis le 16 mars que des « gilets jaunes » parviennent à retourner manifester sur les Champs-Elysées.
Arrestation cet après-midi à Paris
Trois figures du mouvement des "gilets jaunes", Jérôme Rodrigues Maxime Nicolle et Eric Drouet, ont été placées en garde à vue dimanche. Les deux premiers pour "organisation d’une manifestation illicite", le troisième pour "rébellion". C’est la première fois depuis le 16 mars que des « gilets jaunes » parviennent à retourner manifester sur les Champs-Elysées.
Arrestation cet après-midi à Paris
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