Plusieurs mouvements sociaux ont éclaté en
Tunisie ces derniers jours notamment à El Faouar dans le Sud Ouest. Les
inégalités régionales et le chômage restent les principales causes de ce
genre de mouvements. Six agents de la Garde nationale (gendarmerie) et
de la police ont été blessés le week end passé, et un groupe de
protestataires a pu entrer dans le poste de la Garde nationale et
l’incendier. El Faouar, dans le gouvernorat de Kébili, est le théâtre de
violences sporadiques depuis que des médias ont annoncé la découverte
d’un puits de pétrole dans la région. Après cette annonce, de jeunes
habitants ont protesté et exigé d’être employés dans les compagnies
pétrolières à Kébili et que la région.
Affrontements à El Faouar
Fatnassa a encore été marqué lundi par une grève générale organisée dans les différents établissements publics ainsi que les commerces qui ont été fermés. Des habitants dénoncent toujours la négligence des autorités régionales et locales devant leurs revendications sociales. Le délabrement de l’infrastructure de base notamment des routes, le manque d’éclairage public, l’absence de projets qui pourraient relancer le développement dans la région et la marginalisation du secteur agricole sont les principaux problèmes qui ont incité les habitants à protester.
Affrontements à El Faouar
Fatnassa a encore été marqué lundi par une grève générale organisée dans les différents établissements publics ainsi que les commerces qui ont été fermés. Des habitants dénoncent toujours la négligence des autorités régionales et locales devant leurs revendications sociales. Le délabrement de l’infrastructure de base notamment des routes, le manque d’éclairage public, l’absence de projets qui pourraient relancer le développement dans la région et la marginalisation du secteur agricole sont les principaux problèmes qui ont incité les habitants à protester.
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