solidarité avec Khaled Baraka

Message de Solidarité de la Campagne Unitaire IDF pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, dont est membre le CLGIA :

NOTRE ENTIERE SOLIDARITÉ AVEC L’ÉCRIVAIN PALESTINIEN KHALED BARAKAT !

Depuis le 22 juin 2019, alors qu’il s’apprêtait à donner une conférence sur le « Deal du siècle » et la lutte de libération nationale de la Palestine, l’écrivain palestinien Khaled BARAKAT s’est vu signifié par les autorités allemandes l’interdiction de pouvoir s’exprimer librement dans toute activité politique ainsi que la notification de quitter le territoire allemand d’ici le 31 juillet 2019.
La campagne unitaire pour la libération de Georges Abdallah condamne avec fermeté les attaques réitérées ces derniers temps de l’Etat allemand contre toutes les formes de soutien à la résistance du peuple palestinien et dénonce en particulier l’acharnement qui s’abat sur Khaled BARAKAT, ami et compagnon de lutte pour la libération de Georges Abdallah.
Ces atteintes aux libertés fondamentales d’expression et de libre circulation sont un nouveau signe de la réalité de ce pouvoir qui n’hésite pas à bafouer ses propres principes et lois pourtant hautement brandis comme garants d’une pseudo-démocratie, quand son seul intérêt ou celui de ses alliés – en l’occurrence ici l’entité sioniste – le lui commande.
Nous dénonçons avec force cette collusion d’intérêts entre l’impérialisme allemand et l’entité sioniste qui, en s’en prenant aux défenseurs de l’émancipation des peuples comme l’est Khaled BARAKAT ou d’autres militants par exemple de l’organisation jugendwiderstand ou du mouvement BDS, nie le droit juste et légitime du peuple palestinien à se révolter et à résister contre l’occupation sioniste.
Nous nous inscrivons pleinement dans le mouvement de solidarité lancé par Samidoun, qui s’élève désormais dans le monde entier et nous réaffirmons notre soutien inconditionnel à Khaled BARAKAT et à travers lui à toute la résistance du peuple palestinien.
Paris, le 29/06/2019
La Campagne unitaire pour la libération de Georges Abdallah