LA LUTTE ANTIFASCISTE ET ANTICAPITALISTE EST RÉVOLUTIONNAIRE, PAS ÉLECTORALE !
Le PS obtient 21 % des voix. Il est éliminé dans 580 cantons et pourraient perdre 20 à 30 départements. L'UMP et l'UDI arrivent en tête avec plus de 29 % des voix. Le FN 25 %.
Sur 4108 sièges, 286 ont été élus au moins au premier tour dont 6 binômes FN. L'abstention est de 48,9 % + 2 % de votes blancs. Le nombre d'exprimés réels est entre 50/51 %. L'augmentation profite à l'UMP et au FN qui engrange 400.000 voix supplémentaires et obtient 1/4 des votes exprimés, 1/8 des inscrits.
Le FN n'est pas encore le premier parti de France, c'est l'abstention qui domine, symbole d'un rejet de la politique politicienne. Cependant, force est de constater que le FN est implanté dans tous les départements. Il étend ses tentacules sur de grandes régions comme celles de Toulon, Marseille, Avignon, Nîmes, l'Hérault, Narbonne, Carcassonne, Perpignan, Montauban, Toulouse et environs, Carmault, Graulhet, Villeneuve sur Lot, Agen, Nord Médoc, Nord Libour. Plus haut, les environs de Grenoble, Vienne, le Loiret, l'Yonne, Baummes les Dames, en Lorraine et en Alsace, dans la Marne, quasiment partout dans l'Aisne, l'Aube, l'Oise, dans le Nord et le Pas de Calais, plus disséminé en Normandie.
Dans un contexte de forte abstention, la montée du Front National se confirme. Cette montée s'inscrit dans la crise qui frappe de plein fouet la classe ouvrière et les couches inférieures de la petite bourgeoisie, provoquant un chômage massif et la ruine de milliers de paysans, artisans, commerçants et même d'entreprises moyennes.
Les partis bourgeois de droite et gauche ont été et sont incapables de juguler cette crise la plus profonde qu'ait connu le capitalisme. Aussi la bourgeoisie la plus réactionnaire représentant le capital financier envisage des solutions plus dures encore. Pour parvenir au pouvoir, le FN a besoin de gagner une base de masses la plus importante possible. Il s'appuie sur le mécontentement, la juste colère des exploités, des chômeurs et chômeuses et des couches menacées de la petite bourgeoisie. Son implantation dans les bastions de la classe ouvrière et parmi les ruraux abandonnés par les partis de gauche et de droite montre qu'il y parvient. Le fascisme veut-il le pouvoir pour ceux et celles qui travaillent et qui seuls créent les richesses ? Non, car il faudrait pour cela exproprier celles et ceux qui détiennent le pouvoir économique aujourd'hui dirigé par le capital financier. Leur programme est en réalité de sauver le capital et faire collaborer la classe ouvrière et les couches populaires à son projet, présentant les intérêts des travailleurs et travailleuses et des patrons et patronnes comme étant les mêmes et désignant l'ennemi comme étant « les immigrés », « les assistés », « les profiteurs », bref en semant la division au sein du prolétariat et en cachant la source du profit : l'exploitation. Le fascisme d'hier a montré que ce n'est pas des lendemains qui chantent que prépare le fascisme, mais la dictature brutale contre celles et ceux qu'il tente de mobiliser aujourd'hui.
Aujourd'hui, il avance masqué, se réclame républicain. C'est la forme moderne sous laquelle il se dissimule pour apparaître respectable, pour faire oublier le passé de ce courant qui a été la cause de 50 millions de morts. Les fascistes sont venus par les urnes, ne l'oublions pas, et aujourd'hui la bête immonde sort de nouveau des entrailles de la société capitaliste.
Hier, il y avait des partis communistes qui ont dirigé la résistance antifasciste, il existait un Etat socialiste, l'URSS, qui a mené une lutte résolue contre la barbarie. Aujourd'hui, il n'y a plus de camp socialiste. Les anciens partis communistes se sont engagés dans la voie réformiste, n'offrant plus aucune perspective révolutionnaire à la classe ouvrière.
Il faut reprendre le chemin de la lutte révolutionnaire. Seul un Parti communiste qui se fixe comme objectif la prise du pouvoir que la bourgeoisie n'abandonnera pas de plein gré, peut offrir cette perspective et unir le peuple dans un front anticapitaliste et antifasciste, et préparer la force combattante pour s'opposer à l'appareil d’État de la bourgeoisie capitaliste.
Le choix est entre le socialisme et la barbarie ; la paix entre les peuples pour le bien-être commun où la barbarie du système capitaliste. Le choix est entre un monde nouveau sur la terre entière, un monde de paix entre les hommes ou être entraînés dans une guerre de repartage entre les puissances impérialistes dans laquelle nous servirons de chair à canon.
Pour nous, le choix est clair, c'est celui du refus de la résignation face à ce système briseur de vies et le refus des semeurs d'illusions qui conduiront tôt ou tard à la barbarie ; c'est le choix de la lutte antifasciste, anticapitaliste et révolutionnaire comme seule voie pour l'émancipation de l'ensemble des travailleurs et travailleuses !
Le fascisme, c'est par la lutte révolutionnaire anticapitaliste qu'on le combat, pas dans les urnes !
La seule voie est celle de la révolution pour le socialisme en direction du communisme !
Le PS obtient 21 % des voix. Il est éliminé dans 580 cantons et pourraient perdre 20 à 30 départements. L'UMP et l'UDI arrivent en tête avec plus de 29 % des voix. Le FN 25 %.
Sur 4108 sièges, 286 ont été élus au moins au premier tour dont 6 binômes FN. L'abstention est de 48,9 % + 2 % de votes blancs. Le nombre d'exprimés réels est entre 50/51 %. L'augmentation profite à l'UMP et au FN qui engrange 400.000 voix supplémentaires et obtient 1/4 des votes exprimés, 1/8 des inscrits.
Le FN n'est pas encore le premier parti de France, c'est l'abstention qui domine, symbole d'un rejet de la politique politicienne. Cependant, force est de constater que le FN est implanté dans tous les départements. Il étend ses tentacules sur de grandes régions comme celles de Toulon, Marseille, Avignon, Nîmes, l'Hérault, Narbonne, Carcassonne, Perpignan, Montauban, Toulouse et environs, Carmault, Graulhet, Villeneuve sur Lot, Agen, Nord Médoc, Nord Libour. Plus haut, les environs de Grenoble, Vienne, le Loiret, l'Yonne, Baummes les Dames, en Lorraine et en Alsace, dans la Marne, quasiment partout dans l'Aisne, l'Aube, l'Oise, dans le Nord et le Pas de Calais, plus disséminé en Normandie.
Dans un contexte de forte abstention, la montée du Front National se confirme. Cette montée s'inscrit dans la crise qui frappe de plein fouet la classe ouvrière et les couches inférieures de la petite bourgeoisie, provoquant un chômage massif et la ruine de milliers de paysans, artisans, commerçants et même d'entreprises moyennes.
Les partis bourgeois de droite et gauche ont été et sont incapables de juguler cette crise la plus profonde qu'ait connu le capitalisme. Aussi la bourgeoisie la plus réactionnaire représentant le capital financier envisage des solutions plus dures encore. Pour parvenir au pouvoir, le FN a besoin de gagner une base de masses la plus importante possible. Il s'appuie sur le mécontentement, la juste colère des exploités, des chômeurs et chômeuses et des couches menacées de la petite bourgeoisie. Son implantation dans les bastions de la classe ouvrière et parmi les ruraux abandonnés par les partis de gauche et de droite montre qu'il y parvient. Le fascisme veut-il le pouvoir pour ceux et celles qui travaillent et qui seuls créent les richesses ? Non, car il faudrait pour cela exproprier celles et ceux qui détiennent le pouvoir économique aujourd'hui dirigé par le capital financier. Leur programme est en réalité de sauver le capital et faire collaborer la classe ouvrière et les couches populaires à son projet, présentant les intérêts des travailleurs et travailleuses et des patrons et patronnes comme étant les mêmes et désignant l'ennemi comme étant « les immigrés », « les assistés », « les profiteurs », bref en semant la division au sein du prolétariat et en cachant la source du profit : l'exploitation. Le fascisme d'hier a montré que ce n'est pas des lendemains qui chantent que prépare le fascisme, mais la dictature brutale contre celles et ceux qu'il tente de mobiliser aujourd'hui.
Aujourd'hui, il avance masqué, se réclame républicain. C'est la forme moderne sous laquelle il se dissimule pour apparaître respectable, pour faire oublier le passé de ce courant qui a été la cause de 50 millions de morts. Les fascistes sont venus par les urnes, ne l'oublions pas, et aujourd'hui la bête immonde sort de nouveau des entrailles de la société capitaliste.
Hier, il y avait des partis communistes qui ont dirigé la résistance antifasciste, il existait un Etat socialiste, l'URSS, qui a mené une lutte résolue contre la barbarie. Aujourd'hui, il n'y a plus de camp socialiste. Les anciens partis communistes se sont engagés dans la voie réformiste, n'offrant plus aucune perspective révolutionnaire à la classe ouvrière.
Il faut reprendre le chemin de la lutte révolutionnaire. Seul un Parti communiste qui se fixe comme objectif la prise du pouvoir que la bourgeoisie n'abandonnera pas de plein gré, peut offrir cette perspective et unir le peuple dans un front anticapitaliste et antifasciste, et préparer la force combattante pour s'opposer à l'appareil d’État de la bourgeoisie capitaliste.
Le choix est entre le socialisme et la barbarie ; la paix entre les peuples pour le bien-être commun où la barbarie du système capitaliste. Le choix est entre un monde nouveau sur la terre entière, un monde de paix entre les hommes ou être entraînés dans une guerre de repartage entre les puissances impérialistes dans laquelle nous servirons de chair à canon.
Pour nous, le choix est clair, c'est celui du refus de la résignation face à ce système briseur de vies et le refus des semeurs d'illusions qui conduiront tôt ou tard à la barbarie ; c'est le choix de la lutte antifasciste, anticapitaliste et révolutionnaire comme seule voie pour l'émancipation de l'ensemble des travailleurs et travailleuses !
Le fascisme, c'est par la lutte révolutionnaire anticapitaliste qu'on le combat, pas dans les urnes !
La seule voie est celle de la révolution pour le socialisme en direction du communisme !
Sur 4108 sièges, 286 ont été élus au moins au premier tour dont 6 binômes FN. L'abstention est de 48,9 % + 2 % de votes blancs. Le nombre d'exprimés réels est entre 50/51 %. L'augmentation profite à l'UMP et au FN qui engrange 400.000 voix supplémentaires et obtient 1/4 des votes exprimés, 1/8 des inscrits.
Le FN n'est pas encore le premier parti de France, c'est l'abstention qui domine, symbole d'un rejet de la politique politicienne. Cependant, force est de constater que le FN est implanté dans tous les départements. Il étend ses tentacules sur de grandes régions comme celles de Toulon, Marseille, Avignon, Nîmes, l'Hérault, Narbonne, Carcassonne, Perpignan, Montauban, Toulouse et environs, Carmault, Graulhet, Villeneuve sur Lot, Agen, Nord Médoc, Nord Libour. Plus haut, les environs de Grenoble, Vienne, le Loiret, l'Yonne, Baummes les Dames, en Lorraine et en Alsace, dans la Marne, quasiment partout dans l'Aisne, l'Aube, l'Oise, dans le Nord et le Pas de Calais, plus disséminé en Normandie.
Dans un contexte de forte abstention, la montée du Front National se confirme. Cette montée s'inscrit dans la crise qui frappe de plein fouet la classe ouvrière et les couches inférieures de la petite bourgeoisie, provoquant un chômage massif et la ruine de milliers de paysans, artisans, commerçants et même d'entreprises moyennes.
Les partis bourgeois de droite et gauche ont été et sont incapables de juguler cette crise la plus profonde qu'ait connu le capitalisme. Aussi la bourgeoisie la plus réactionnaire représentant le capital financier envisage des solutions plus dures encore. Pour parvenir au pouvoir, le FN a besoin de gagner une base de masses la plus importante possible. Il s'appuie sur le mécontentement, la juste colère des exploités, des chômeurs et chômeuses et des couches menacées de la petite bourgeoisie. Son implantation dans les bastions de la classe ouvrière et parmi les ruraux abandonnés par les partis de gauche et de droite montre qu'il y parvient. Le fascisme veut-il le pouvoir pour ceux et celles qui travaillent et qui seuls créent les richesses ? Non, car il faudrait pour cela exproprier celles et ceux qui détiennent le pouvoir économique aujourd'hui dirigé par le capital financier. Leur programme est en réalité de sauver le capital et faire collaborer la classe ouvrière et les couches populaires à son projet, présentant les intérêts des travailleurs et travailleuses et des patrons et patronnes comme étant les mêmes et désignant l'ennemi comme étant « les immigrés », « les assistés », « les profiteurs », bref en semant la division au sein du prolétariat et en cachant la source du profit : l'exploitation. Le fascisme d'hier a montré que ce n'est pas des lendemains qui chantent que prépare le fascisme, mais la dictature brutale contre celles et ceux qu'il tente de mobiliser aujourd'hui.
Aujourd'hui, il avance masqué, se réclame républicain. C'est la forme moderne sous laquelle il se dissimule pour apparaître respectable, pour faire oublier le passé de ce courant qui a été la cause de 50 millions de morts. Les fascistes sont venus par les urnes, ne l'oublions pas, et aujourd'hui la bête immonde sort de nouveau des entrailles de la société capitaliste.
Hier, il y avait des partis communistes qui ont dirigé la résistance antifasciste, il existait un Etat socialiste, l'URSS, qui a mené une lutte résolue contre la barbarie. Aujourd'hui, il n'y a plus de camp socialiste. Les anciens partis communistes se sont engagés dans la voie réformiste, n'offrant plus aucune perspective révolutionnaire à la classe ouvrière.
Il faut reprendre le chemin de la lutte révolutionnaire. Seul un Parti communiste qui se fixe comme objectif la prise du pouvoir que la bourgeoisie n'abandonnera pas de plein gré, peut offrir cette perspective et unir le peuple dans un front anticapitaliste et antifasciste, et préparer la force combattante pour s'opposer à l'appareil d’État de la bourgeoisie capitaliste.
Le choix est entre le socialisme et la barbarie ; la paix entre les peuples pour le bien-être commun où la barbarie du système capitaliste. Le choix est entre un monde nouveau sur la terre entière, un monde de paix entre les hommes ou être entraînés dans une guerre de repartage entre les puissances impérialistes dans laquelle nous servirons de chair à canon.
Pour nous, le choix est clair, c'est celui du refus de la résignation face à ce système briseur de vies et le refus des semeurs d'illusions qui conduiront tôt ou tard à la barbarie ; c'est le choix de la lutte antifasciste, anticapitaliste et révolutionnaire comme seule voie pour l'émancipation de l'ensemble des travailleurs et travailleuses !
Le fascisme, c'est par la lutte révolutionnaire anticapitaliste qu'on le combat, pas dans les urnes !
La seule voie est celle de la révolution pour le socialisme en direction du communisme !
No comments:
Post a Comment